Tribunaux De Commerce

par un dahir portant loi ; 2 - Les tribunaux administratifs ; 3 - Les tribunaux de commerce ; 4 - Les tribunaux de première instance ; 5 - les cours d'appel administratives ; 6 - Les cours d'appel de commerce ; 7 - les cours d'appel ; 8 - la Cour suprême. Le siège, le ressort et les effectifs de ces juridictions sont fixés par décret. Chapitre II : Des tribunaux de première instance Section I : Composition et organisation Article 2 : Les tribunaux de première instance comprennent :

Chapitre II : les tribunaux d’exception Elles sont d’exception car un texte particulier leur attribue compétence soit par la nature du litige soit par leur valeur : * Tribunal d’instance * Tribunal de proximité * Tribunal de commerce * Prud’homme * Tribunal de la sécurité social * Tribunal paritaire des baux ruraux Section 1 : Le tribunal d’instance 1. Organisation Instauré par une ordonnance du 22 décembre 1958, il a succédé au juge de paix), il s’occupe de plusieurs

professionnel 18 c) les obligations de l’acheteur 20 4) Les garanties du vendeur non payé 20 L’ORGANISATION JUDICIARE DU COMMERCE 21 La compétence des tribunaux de commerce 21 1) La compétence légale 21 * La compétence matérielle : 21 * La compétence territoriale : 22 2) Les clauses attributives de compétence 22 La procédure devant les tribunaux de commerce 23 Les mesures d’instruction 23 La procédure de référés 24 L’arbitrage 25 L’ENTREPRISE INDIVIDUELLE 26

autonome, notamment au regard du droit civil, les commerçant ayant depuis des siècles obtenu, voire façonné, des règles juridiques spécifiquement appropriées à leur activité. Les commerçants voient leur contentieux soumis en première instance aux tribunaux de commerce, même s’il faut préciser que, dès la seconde instance, le contentieux commercial est dévolu aux juridictions de droit commun, certes à travers des chambres spécialisées, notamment la chambre commerciale et financière de la Cour de Cassation

n’accepte pas l’idée de patrimoine d’affectation : dans ce domaine, il y a eu deux réformes successives qui vont dans le sens d’un patrimoine d’affectation. Il s’agit de la loi du 1er août 2003 dite d’initiative économique (cf. article L626-1 du Code de commerce) qui a permis aux entrepreneurs individuels de déclarer insaisissable la résidence principale (cette mesure ne prend effet que pour les créanciers postérieurs). La loi du 4 août 2008 vient étendre cette possibilité de déclarer insaisissable en prévoyant

1996 SYNTHESE DES PRINCIPAUX AMENDEMENTS DU PROJET DE CODE DE COMMERCE (PORTES DANS LA NOUVELLE LOI) Nos études sur le code de commerce se sont déroulées sur plusieurs numéros ( 1) et ont été effectuées sur la base du projet de loi officiellement communiqué. Aujourd’hui, nous synthétisons à la lumière du dahir n° 1-96-83 du 15 rabii I 1417 (1er août 1996) portant promulgation de la loi n° 15-95 formant code de commerce, l’essentiel des changements apportés sous forme de tableaux thématiques

l'ouverture de son redressement judiciaire. Ainsi, le plan de continuation qui fait l’objet de notre étude est défini au sens de les articles L626-1 et suivant du Code de commerce français mis en place après la période d'observation, lorsqu'il existe une possibilité sérieuse pour l'entreprise d'être sauvegardée, est arrêté par le tribunal, pour que le débiteur en reprenant la tête de ses affaires, puisse continuer à conserver tout ou partie des emplois existants et puisse désintéresser ses créanciers

Administration, service public Continuité (CAD si Pb dans les 48 h gratuités de la réparation ex : EDF) Egalité, (ex : droit du fonctionnaire.) Droit administratif, constitutionnel, fiscal, d’urbanisme. Sécurité (Police, Gendarmerie, Militaires.) * Tribunal cour d’appel (ou l’on juge l’affaire) cour de cassation (ou l’on juge le jugement de l’affaire) cour d’appelle de renvoi cour de cassation cour d’appel de renvoi n° 2 (décision finale.) * Les personnes et le patrimoine. Les personnes physiques

ACTES DE COMMERCE INTRODUCTION C’est la notion qui permet de délimiter le domaine du droit commercial. Cf. page 3, Art L121-1 LA DÉFINITION DE L’ACTE DE COMMERCE I. Le critère objectif. 1. Les actes de commerce par détermination de la loi. • Les actes de commerce par leur forme. ➢ La lettre de change, cf. page 3, Art. L110-1.10. ➢ Les sociétés commerciales, cf. page 3, Art. L210-1. Ce que fait une société commerciale relève du droit commercial. • Les actes de commerce par leur nature.

les règles fondamentales du droit des obligations. Dans le code de commerce on va retrouver des choses qui concernent la responsabilité contractuelle du commerçant. Ex : on a acheté un ordi, le commerçant doit nous le remettre en bon état. Nous garantir contre les vices cachés… L’ordi brûle, le commerçant a une responsabilité sur le produit défectueux. Le droit commercial est constitué de règles particulières liées au commerce. Il existe des interactions entre ces deux droits. Le droit