Travail d'intérêt général

collectives (texte qui vient spécifier les conditions de travail dans un secteur particulier) National : pour tout ce qui concerne par exemple l’assure chômage = négociation avec des représentants car ce n’est pas géré par l’Etat (gestion tripartite : salarié, employeur et Etat), ou encore sur la réforme des retraites car ce n’est pas géré par l’Etat mais la CNAV Sécurité sociale (SS) en 1945 avec : la CNAM (maladie), CNAV (retraite), accidents du travail, CAF (allocations familiales) et de l’autre côté

INTRODUCTION Les relations collectives de travail sont des relations qui s’établissent entre l’employeur et la collectivité du travail. Dans ce cadre, les salariés exercent des droits à travers leurs représentants. Ces représentants doivent être des représentants directs c'est-à-dire qu’ils sont élus par les salariés pour une période de 4 ans (délégué du personnel, CE, CHSCT). Cela peut être aussi des représentants indirects notamment les représentants syndicaux (représentation des salariés, négociation

Société industrielle = lieu central/objet du travail/opposition de classes Avant la société industrielle, on avait une société agraire (le lieu de création des richesses était le terrain agricole, l’activité principale était le travail de la terre). Société industrielle : société dans laquelle le lieu premier de création des richesses et le lieu premier d'un point de vue des relations sociales, c'est la grande usine qui rassemble sur un même lieu de travail des centaines, des milliers d'ouvriers (exemple :

professionnelle qui ne dépend en aucun cas de l’Etat mais qui est reconnu par lui, et dont ses actions sont régies par un certain nombre de lois. Par exemple, en France, la création de syndicats doit respecter les articles L2131-1 à L2131-6 du Code du Travail et par sa forme particulière d’association l’article L411 de ce même Code. Parmi ces syndicats, l’on peut trouver des syndicats ouvriers, des syndicats agricoles, des syndicats de producteurs, des syndicats de profession libérale, ou bien sûr des

et de la "loi le Chapelier" le 14 juin , qui interdit le droit de coalition des métiers et les grèves. Par ailleurs, cette loi instaure un marché du travail caractérisé par un déséquilibre entre ouvriers et employeurs, ces derniers pouvant fixer les salaires et licencier sans entraves alors que les ouvriers ne disposaient que de leur force de travail. Cette loi a retardé en France la constitution d'un système de relations professionnelles et interdit de fait les syndicats. Le 22 novembre 1831 éclate

LA CONDITION OUVRIERE AU XIX ème siècle dans GERMINAL de Zola Au XIX ème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue : privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible promiscuité. Corruption et vices règnent, et l'existence de ces malheureux, auxquels une étincelle pourrait rendre leur dignité d'hommes, se passe entre l'alcool et les femmes. Telle est

intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, bien que des liens puissent exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail. La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution française en 1791 avait interdit tout groupement professionnel. Le droit d’adhérer à un syndicat

des Affaires sociales sous la présidence du Premier Ministre (Ce texte ne sera pas signé) Les organisations professionnelles et syndicales, Confédération Générale du Travail, confédération Générale du Travail Force Ouvrière, Confédération Française Démocratique du Travail, Confédération Française des Travailleurs Chrétiens, Confédération Générale des Cadres, Fédération de l’Education Nationale, Confédération Nationale des Petites et Moyennes Entreprises, Conseil Nationale du Patronat Français se sont

21 mars 1884 = reconnaissance officielle des syndicats. Sous lʼimpulsion du ministre de lʼintérieur René Waldeck-Rousseau, les députés votent une loi qui sʼinscrit dans une dynamique de réglementation du travail et de la prise en compte des intérêts ouvriers. Ainsi, le parlement républicain instaure une liberté syndicale et dʼassociation professionnelle. La loi Le Chapelier sʼefface donc devant une volonté dʼasseoir les libertés républicaines. Le droit dʼadhérer à un syndicat et de défendre ses droits

Autorités de tutelle Syndicats Salariés La gouvernance d’entreprise : Dans une grande entreprise, le pouvoir est partagé entre les actionnaires et l’équipe dirigeante. La gouvernance de l’entreprise définit les relations entre la direction générale, le conseil d’administration, les actionnaires et les autres parties prenantes. Le dirigeant doit trouver un compromis entre les attentes des différents acteurs, attentes qui sont souvent incompatibles (par exemple, réduction des coûts pour l’entreprise