Transfiguration

d’âme du poète. Vers 1 à 4 : Il décrit le paysage des étangs et le mouvement du vent. Vers 5 à 8 : Solitude du personnage pendant ses promenades « moi seul ». Le poète s’enferme. Vers 7 à 10 : Verlaine a une vision, une hallucination, c’est la transfiguration du réel par l’imaginaire Vers 11 et 12 : retour à la promenade Vers 13 à 16 : paysage identique malgré tout ce qui s’est passé C’est une organisation concentrique de l’extérieur vers l’intérieur du personnage. 2- Effet de continuité, fluidité

immense, avec sa mousse ». Chute du sonnet : évocation de l’acte sexuelle : rayon de soleil phallique – chope symbole féminin – mousse ; liquide. Aboutissement de la relation entre cette femme généreuse et ce jeune homme en manque de tout. - Transfiguration du réel : ce jeune qui a souffert pendant ses fugues arrive affamé dans un lieu où il trouve tout ce qui lui est nécessaire pour être comblé. Il arrive dans un état de frustration : la présence féminine comble le personnage. - Homogénéité des

culture élevée : il utilise un langage fleuri, des expressions métaphoriques des images,… (l ). Cependant, sa rencontre avec Wang-Fô a eu des effets très différents de ceux produits sur Ling : alors que la peinture du maître est perçue comme une transfiguration du réel pour celui-ci, l’empereur la rejette parce qu’elle ne correspond pas à la réalité. Il reste donc enfermé dans la non-coïncidence sans faire ce saut de transformation. L’issue sera par conséquent différente pour les deux personnages : celui-ci

centre de notre monde. Or si c’est la Vie qui imite l’Art, et que chaque Vie a son individualité, alors il y aurait autant de conceptions de l’Art qu’il y aurait de perceptions de la vie… Alors, si l’homme, par sa conscience et le pouvoir de transfiguration de cette dernière, ne fait que déambuler dans le monde en le façonnant à son goût, n’est-il pas finalement qu’un illusionné ? A ce point ci de notre raisonnement nous ne pouvons voir l’homme que comme un être barricadé dans une sphère qui est

l’univers médiéval, Sénéfiance n° 28, 1990, p. 97-108. LABBE Alain, L’architecture des palais et des jardins dans les chansons de geste, Paris-Genève, Champion-Slatkine, 1987. LEGROS Huguette, « Du verger royal au jardin d’amour : mort et transfiguration du locus amoenus (d’après Tristan de Béroul et Cligès) » in Vergers et jardins dans l’univers médiéval, Sénéfiance n° 28, 1990, p. 215-235. NOTZ Marie-Françoise, « Hortus conclusus. Réflexions sur le rôle sémantique de la clôture dans la description

ouvrages de critique d'art. Dans son livre « La transfiguration du Banal. Une philosophie de l’art » Arthur Danto étend à l'ensemble des pratiques artistiques l'interrogation soulevée par une telle "expérience de pensée" : le même objet peut être ici une vulgaire roue de bicyclette, là une œuvre (Roue de bicyclette, par Marcel Duchamp) fort cotée à cette Bourse des valeurs esthétiques qu'on appelle le "monde de l'art". Une telle transfiguration montre que la spécificité de l'œuvre d'art ne tient

confirmera que Delmare ne voit plus en Ralph un danger). - un sorcier : les jeux de lumière le font finalement ressembler à un « sorcier ». Figure dominante, « maître » de la parole et de la lumière, il possède un « charme » sombre. Toutefois, cette transfiguration n’est proposée qu’avec des précautions (« on eût dit » ; « ressemblait assez ») qui jettent un doute sur la réalité de son pouvoir. 4 b. Indiana, une jeune femme étouffée. - Indiana n’est pas nommée. Elle se définit immédiatement par son statut

6 : vision du « je » sur ce qui l’entoure sur un mode descriptif : énumération dans une suite de | |phrases au rythme irrégulier | |transition : soleil sur l’eau( transfiguration de la lumière( aube | |l. 7à 11 : phase de lutte/ bataille ( consonnes dentales et gutturales | |Octosyllabe de chute : phrase lapidaire( poème se termine dans la brutalité

du Christ(25 décembre) Théophanie(6 janvier) Présentation du Christ au Temple(2 février) Annonciation à la Mère de Dieu(25 mars) Dimanche des Palmes(5 avril) Pâques Orthodoxes(12 avril) Ascension du Seigneur(21 mai) Pentecôte Orthodoxe(31 mai) Transfiguration du Christ(6 août) Dormition de la Sainte Marie(15 août) Périodes de jeûne Le Grand Carême Carême des Apôtres Carême de la Dormition Carême de la Décollation de Saint Jean-Baptiste Carême de l'Exaltation de la Sainte Croix Carême de Noël Carême

qu’il n’avais plus que "la peau sur les os", sentiment d’inquiétude face au caractère inéluctable de la mort. Pourtant, la poésie est ailleurs : ce qui fait la poéticité d’un texte n’est pas la sincérité de la souffrance exprimée, mais plutôt sa transfiguration par le rythme, les image ou sonorités. La poésie est dans la langue et non pas dans le sentiment, et la souffrance serait ainsi davantage un prétexte à la poésie qu’une de ses composantes. La souffrance pouvant bel et bien être une source d’inspiration