Totalitarisme Economie Différences Allemagne Italie Urss

froide (anglais : Cold War, russe : холодная война, khalodnaïa vaïna) est la période de tensions et de confrontations idéologiques et politiques entre les deux superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et, de manière plus large, entre les régimes communistes et l'ensemble des régimes non communistes. La guerre froide débute en 1947 et dure jusqu'en 1989, année de la chute des régimes communistes en Europe, ou jusqu'en 1991, année de l'implosion

Classification des formes d’exercice du pouvoir politique 9 1.La classification ancienne 9 1.1. Les trois formes de gouvernement 9 1.2. Le gouvernement mixte 10 2.Les classifications contemporaines 11 2.1.Démocratie et autocratie 11 2.2.Totalitarisme et libéralisme 11 2.3.Gouvernement pluraliste et gouvernement moniste 12 2.4.Concentration ou partage du pouvoir 12 3.La démocratie dans ces classifications 13 Leçon 3 – La démocratie repose sur la souveraineté des gouvernés 15 1.La souveraineté

manichéisme. Cette logique de la guerre froide, selon laquelle celui qui n'est pas un allié ne peut être qu'un ennemi, implique l'organisation de blocs. Le bloc a deux caractères : a/ Il exige une union globale, qui touche les armées, les économies, les régimes et, bien sûr, la politique internationale. Le concept de guerre froide suggérant un conflit total et permanent, l'alliance classique ne saurait convenir : le dispositif doit, lui aussi, être total et permanent. Le caractère quasi-religieux

et du manichéisme. Cette logique de la guerre froide, selon laquelle celui qui n'est pas un allié ne peut être qu'un ennemi, implique l'organisation de blocs. Le bloc a deux caractères : a/ Il exige une union globale, qui touche les armées, les économies, les régimes et, bien sûr, la politique internationale. Le concept de guerre froide suggérant un conflit total et permanent, l'alliance classique ne saurait convenir : le dispositif doit, lui aussi, être total et permanent. Le caractère quasi-religieux

fuite des derniers savants et artistes qui se réfugient en Italie (relecture des textes antiques, à l'origine de la renaissance). La conquête de Constantinople ne créa pas de grande crise, les Ottomans étaient très compréhensifs. Il y eu une rupture symbolique. Miniature du XVe siècle représentant la prise de Constantinople par les Ottomans en 1453 Tintoret (1518-1594), La Prise de Constantinople, huile sur toile. Palais ducal de Venise, Italie Histoire moderne et contemporaine : Synthèse : InfoCommULB

ce qu’ils ont déclarés. -Principe de l’imputabilité des actions de l’état au gouvernement Ce principe est important afin que l’électeur puisse sanctionner le politicien, notamment électoralement. Ex du sang contaminé… (cf grands débats…). En Allemagne les deux partis gouvernent ensemble donc ils sont tous les deux responsables. Mais a qui les électeurs vont imputer la responsabilité des lois car lorsqu’il y a une bonne loi chacun s’impute la bonne loi… -Principe de l’équité des moyens politiques

est désormais que plus pressante. De nos jours, 60 ans après, le chemin parcouru est impressionnant : Document 1 L’Union européenne de 15 à 27 Séquence 12-HG00 5 © Cned – Académie en ligne A partir du noyau des Six (Benelux, Allemagne, Italie, France), la CEE s’est élargie à 9 autres pays, d’abord vers l’Europe du Nord-Ouest en 1973, puis vers l’Europe méditerranéenne dans les années 1980 enfin vers le Grand Nord et l’Autriche en 1995. A l’exception de la Norvège et de la Suisse,

de pouvoir d’achat), les ¾ en monnaies courantes. La fin de la guerre froide n’a pas débouché sur la consolidation de cette hégémonie, au contraire. Désormais la Chine et l’Inde s’affirment sur la scène internationale comme les locomotives d’une économie mondiale en crise. Elles multiplient les investissements dans les PED et les accords de coopération avec les pays d’Afrique ou d’Amérique latine, sans tenir compte des prescriptions du FMI. En ce début du XXI e s, nous assistons à un glissement

européennes, des transferts de souveraineté. Les premiers sont autorisés : ils consistent en un transfert qui est réversible, tandis que les seconds sont inconstitutionnels, car définitifs. Cependant, de nombreux détracteurs de l'Union considèrent cette différence comme relevant d'un caractère uniquement sémantique, puisque même s'il est possible que la France sorte de l'Union et retrouve ses pleines compétences, c'est hautement improbable. Mais le souverain ne délègue pas toutes ses compétences. Avec l'émergence

de la nature), qui sont les autres, sans a priori : en connaissant son environnement, on va forcément émettre un jugement de valeur et on va se positionner. Comparer c’est se connaître aussi, et c’est mettre en relief les points communs et les différences, ainsi on peut voir les particularismes chez soi mais aussi chez les autres. Le comparatisme permet ensuite de comprendre, c'est-à-dire d’interpréter, de tendre vers une sorte d’objectivité, d’impartialité, qui doit prendre garde aux deux écueils