Tolerer La Difference

entendait par tolérance. On a tous plus ou moins entendu cette phrase ou on l’a même sûrement déjà prononcée « Je tolère cela mais dans une certaine limite » j’ai même vu sur un panneau de stationnement « Stationnement toléré 10mn ». Je me suis posé cette question : Est-ce que la tolérance est une simple indulgence pour ce que l’on ne peut empêcher. Ce premier sens de ce que tolérer veut dire pour moi, est qu’il recouvre en fait, dans des relations interpersonnelles, un dispositif de domination

laissant à chacun la latitude de s'exprimer et de défendre des opinions qu'elles-mêmes ne partagent pas, n’a de sens selon Comte-Sponville que si l’on a quelque chose à perdre car, tolérer ce qui ne nous touche pas, n’est pas de la tolérance, c’est de l’égoïsme selon lui. Alors, être tolérant, est-ce tout tolérer? Que tolérer dans les pratiques amoureuses et sexuelles? La vérité à l’égard de la sexualité nous apparaît tomber sous le « sens commun » tellement elle relève de notre nature même « d’être

tolérant. La tolérance implique que nous devons accepter que les autres ne pensent pas comme nous, sans les haïr, les marginaliser ou les tuer. Elle ne doit pas nous amener à renoncer à nos propres opinions mais à accorder à l’autre le droit à la différence. Pourtant, l’intolérance est assurément l’une des tendances les plus oppressives de la nature humaine. Elle est aussi vieille que la société. L’intolérance a toujours gouverné toutes nos sociétés et habite chacun d’entre nous. En effet, malgré

étant donné qu’il s’agit d’une notion de relations humaines. On ne peut pas dire que tolérer c’est accepter l’opinion des autres comme la plupart des gens peuvent penser car lorsqu’on est tolérant avec l’opinion de quelqu’un, cela ne veut pas dire qu’on l’accepte personnellement. Finalement, on peut dire que tolérer c’est ne pas critiquer ou même nier l’opinion d’autrui, encore plus simplement on peut dire que tolérer c’est laisser autrui en paix. Dans ce cas la peut-on dire que tout est tolérable 

chacun) est assimilé à la recherche du bonheur personnel. ... Je suis globalement du même avis que l'auteur. Développement Problème : La tolérance a l'air d'être nécessaire et impossible en même temps La tolérance, c'est avant tout respecter les différences. Le problème, c'est qu'elle semble difficile à appliquer mais essentielle en même temps. Causes : semble essentielle = sinon personne ne s'entendrait + essentielle à la liberté de tous semble impossible = trop de monde, trop différents (cultures

principe de la non-discrimination à l'embauche. En deuxième plan nous allons définir la discrimination à l'embauche. En troisième plan nous aborderons les différences des traitements tolérées, et pour terminer, les sanctions encourues. 1/ Principe de la « non-discrimination » t/ La non-discrimination c'est le refus d'établir une différence entre le traitement des personnes en fonction de leurs origines, de leur sexe, de leur race. 2l Définition de la discrimination à l'embauche :

temps cette vertu est de plus en plus convoitée, on l’utilise à toutes les sauces. Du côté politique, de la religion ou tout simplement dans la vie de tous les jours, est-ce qu’il faut tout tolérer ou non? Ma dissertation va s’enligner vers une question un peu plus globale : être tolérant, est-ce tout tolérer? La réponse serait définitivement non. Nous avons évolué depuis le temps où certains États avaient le monopole sur nous. Ainsi, nous avons eu la démocratie pour laissez libre à nos opinions

publié en 1763, invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux : savoir tolérer, c’est « l’apanage de l’humanité », la condition indispensable pour mériter le nom d’être humain. Tout comme John Locke, il invite au respect des choix religieux de chacun. En outre le côté religieux, il faut également ne pas être raciste et respecter l’autre malgré sa différence : durant l’Apartheid en Afrique Du Sud les noirs étaient mal considérés et ensuite Nelson Mandela a réussi

puisqu’en maintenant un dispositif relationnel asymétrique et en laissant au « tolérant » l’entière liberté de fixer les limites de sa bienveillance, elle place le « toléré » dans une situation d’insécurité psychique qui constitue en elle même une violence effective. Mais entre la menace de l’exclusion et l’exclusion actualisée, la différence n’est pas insignifiante, surtout du point de vue de l’exclu-e. Par exemple, le professeur qui ne remet pas en cause son préjugé défavorable à l’égard du « foulard

humaine ne consiste-t-elle pas à le dénoncer et à le combattre ? Il nous semble que la vocation de l’homme est de lutter contre l’erreur et le mal moral, non de s’en accommoder. Inversement, si ce qui est réprouvé a sa légitimité, il n’y a pas à le tolérer mais à le respecter. Qu’est-ce donc qui peut conduire les hommes à s’accommoder de l’inacceptable ou bien à avoir une attitude condescendante là où le respect serait de rigueur ? Ne faut-il pas admettre que ce sont des principes peu honorables rejetant