Tirésias

dans le théâtre tragique qui peut montrer la face ''noir'' de ces héros. En effet, on peut voir que Oedipe est un personnages irrespectueux en certain points. En effet, il remet en cause les prédictions de Tirésias donc celle des Dieux. De plus, il n'hésite pas a prouver lors du dialogue avec Tirésias qu'il c'est fait tout seul. Il pense être le plus intelligent pour avoir résolu l'énigme du Sphinx. Il se fait donc roi sur ces seuls prétexte mais aussi car le peuple lui est reconnaissant alors que normalement

" Et je la crains, je n'ose pas m'en séparer. C'est affreux C'est affreux ! Elle me tuera." Page 59 : (Tirésias) "Votre pied sur le bout de l'écharpe. Vous avez failli étrangler la reine." (Jocaste) "voilà que tu le traites d'assassin parce qu'il a marché comme toi sur mon écharpe" Page 40: (Jocaste) "je tremble, je suis sortie avec tous mes bijoux" Page 57: (Tirésias) "Votre broche seule a des perles grosses comme un oeuf" Page 58: Les objets en général Pages 36 et

fantasmatique est sur le point d'émerger: le sacrifice du leader lui-même. Une prophétie auto-accomplie. Pour tirer l'affaire au clair, Œdipe interroge Tirésias, le devin aveugle qui a connu six générations de mortels. C'est lui qui - bien des années auparavant - avait rapporté la malédiction d'Apollon prédisant que Laïos serait tué par son premier fils. Tirésias se refuse d'abord à parler, mais devant les insinuations d'Œdipe qui le soupçonne de cacher la vérité, il finit par prononcer une nouvelle imprécation:

berger), d’âges différents (la petite Antigone et le « vieux » Tirésias), ainsi que leurs réactions (Créon est impulsif et Tirésias garde son calme). Les dialogues sont aussi très brefs et variés: la conversation entre Eodipe et le berger amène vite la révélation, en quelques lignes, notamment grâce à des périphrases, pour éviter de nommer le geste innommable « celui », « celle », « ce »(l.9-10) Ensuite, le dialogue entre Créon et Tirésias est plutôt banal, discussion à propos d’un « lingère», « sœur

contraindre les dieux à faire ce qu'ils ne veulent pas ? LE CORYPHÉE. − Je voudrais bien alors te donner un second avis. OEDIPE. − Voire un troisième, si tu veux. Va, n'hésite pas à parler. 15 Oedipe roi LE CORYPHÉE. − comme sire Apollon, sire Tirésias possède, je le sais, le don de clairvoyance. En recourant à lui pour mener cette enquête, on serait renseigné très exactement, roi. OEDIPE. − Mais je n'ai pas non plus négligé ce moyen. créon m'en a parlé, et j'ai dépêché sur l'heure au devin deux

mêlé pour leur malheur commun. Jocaste apparaît comme une victime pitoyable des dieux infernaux II- la relation Tirésias Jocaste • Tirésias adopte l'attitude d'un père on le remarque par les apostrophe affectueuse " ma petite brebis" • tutoiement sur le ton paternel et protecteur il l appelle à la modération " calmez-vous " et essaie toujours de la rassurer. • En fait Tirésias qui est devin cherche a conjurer le destin tragique de Jocaste en l’enfermant dans un sommeil réparateur symbole

dépendent de la volonté des Dieux, en qui ils croient tous à l’époque. Cet extrait est un dialogue entre Tirésias, un oracle et oedipe, roi de Thèbes. Oedipe est le héros connu pour avoir épousé sa mère, tué son père et terrassé le sphinx qui terrorisait Thébes. Pour récompenser son héroisme et son courage, il est nommé roi. Ce texte théâtral raconte que Oedipe a fait appel au divin Tirésias afin qu’il dénonce le meurtrier de l'ancien roi. L’oracle, connaissant la vérité de son crime sur son père

illustrent les querelles familiales les plus célèbres dans la mythologie et la tragédie antiques, presque toutes reprises dans des tragédies françaises classiques ou modernes. 1. ŒDIPE : a. extrait d’Œdipe-roi de Sophocle : affrontement d’Oedipe et de Tirésias, v. 300 – 462. b. extrait d’Œdipe de Sénèque : affrontement d’Oedipe et de Créon, v. 660 – 708. 2. ANTIGONE : affrontement d’Antigone et de Créon, v. 446 – 581. 3. MÉDÉE : a. extrait de Médée d’Euripide : affrontement de Médée et de Jason, scène

infligé ces maux". ainsi Oedipe est-il définitivement déculpabilisé. ( c'est ce que démontre Sophocle dans *Oedipe à Colone*) Les métaphores de la lumière et de la cécité sont récurrentes dans toute la pièce et sont à l'origine de paradoxes : Tirésias est aveugle mais il connaît le passé et l'avenir ; Oedipe est clairvoyant quand il déchiffre l'énigme du sphinx, mais il est aveugle pour lire les signes de son propre destin. Il est aveuglé par son hyhris et croit savoir. C'est lorsqu'il est aveugle

sommeil. Ce serait trop triste. Acte IV Le dénouement 1 5 10 15 20 25 30 35 40 ŒDIPE. – Jocaste ! Toi ! Toi vivante ! JOCASTE. - Non, Œdipe. Je suis morte. Tu me vois parce que tu es aveugle ; les autres ne peuvent plus me voir. ŒDIPE. - Tirésias est aveugle ... JOCASTE. - Peut-être me voit-il un peu.. mais il m'aime, il ne dira rien ... ŒDIPE. – Femme ! ne me touche pas ... JOCASTE. -Ta femme est morte pendue, Œdipe. Je suis ta mère. C'est ta mère qui vient à ton aide ... Comment ferais-tu