Thrombopénie

optique est intéressant à observer dans les dysthrombopoièse. Par ailleurs à partir du frottis, il est possible de contrôler les résultats de la numération plaquettaire en estimant grossièrement le nombre de plaquettes avant de conclure à une thrombopénie ou une thrombocytose affichée par les appareils automatiques. C : Morphologie des G.B. Les G.B. normalement rencontrés dans le sang périphérique sont les polynucléaires neutrophiles, les polynucléaires éosinophiles, les polynucléaires basophiles

reflet de la consommation et de la production de : Leucocytes (PN ou L) : leucocytose = augm° de GB, leucopénie = très peu de GB ds le sang ( infections virales Plaquettes : variation plus modérées, thrombocytose = augm° plaquettes modérée ou thrombopénie = peu de plaquettes. 4. Dissémination = rupture du foyer inflammatoire Propagation , passage de l’agent dans un organe voisin Dissémination = Passage de l’agent dans la circulation lymphatique (lymphangite + ds ganglions lymphatiques : adénite)

période épidémique, antécédents de primo infection  des arguments cliniques : fièvre élevée, syndrome hyperalgique, rémission de 2-3 jours, signes de fragilité capillaire ou hémorragiques  des arguments biologiques d’orientation : leucopénie, thrombopénie, hématocrite élevé Ceci peut être confirmé par un bilan biologique nécessitant une prise de sang… 19 | P a g e Réaliser avec l’aide de l’institu Pasteur. Utilisation de : www.doctissimo.fr, http://www.futura-sciences.com/, http://www.sante.gouv

tension artérielle systolique > 30mmHg ou de la tension artérielle diastolique > 15mmHg ET au moins un des signes suivants : Toxémie gravidique sévère et convulsion, coma, ictère, œdème pulmonaire, oligurie sévère, éclampsie protéinurie massive, thrombopénie < 100.000 plaquettes, éclampsie (au moins 2 des signes suivants : vision floue, céphalée en casque, barre épigastrique) ; ou crise convulsive ET traitement anti-hypertenseur ou protéinurie massive ou œdème généralisé Diagnostic clinique de septicémie

diarrhée sanglante et abondante. Les manifestations sont plus graves chez les enfants de moins de 8 ans et chez les personnes de plus de 65 ans. Le syndrome hémolytique et urémique (SHU) se manifeste entre autres par une anémie hémolytique, une thrombopénie et une insuffisance rénale aiguë. Crise sanitaire de 2011 en Europe Article détaillé : Escherichia coli O104:H4. Article détaillé : Épidémie de syndrome hémolytique et urémique de 2011. E. coli entéroaggrégatives (ECEAgg) Jusqu’au début des

Amérique Photo-dermatoses : fréquentes Cutanée : 10% polymorphisme Fièvre, AEG, SMG Porphyrie cutanée tardive : Ethylisme, toxicomanie Hépatite B ou C TMP-SMZ, pénicilline, antirétroviraux Rash maculo-papuleux Fréquente Gale : Norvégienne Purpura Thrombopénie vascularite Dermatoses non infectieuses Prurit : Fréquent Lésions non spécifiques Difficulté thérapeutique - Dermite séborrhéique : Fréquent avec CD4 Atypique Psoriasis : Sévère Sébopsoriasis Cour de dermatologie 2011-2012 93 Le pemphigus

atteinte oculaire, 84, 212 atteinte bucco-pharyngée, respiratoire, 84, 85, 127 gastro-entérite, 73, 302 hépatite aiguë ou chronique, 83, 320 exanthème, 84, 85, 94, 314 ulcération génitale, 84, 88, 89, 343 polyadénopathie, 84, 85, 291 purpura, thrombopénie, anémie, syndrome mononucléosique, 84, 85, 316, 330, 334, 335 anomalie du développement intra-utérin, 84 3.1. Connaître les étiologiques virales à évoquer systématiquement dans les situations ci-dessus (B). 3.2. Savoir prescrire les examens

souvent cathéter veineux ombilical). C’est donc une procédure lourde, pour laquelle le choix et la préparation des produits sanguins demandent un délai de plusieurs heures. Cette thérapeutique, grevée de 5 à 10 % de morbidité et mortalité immédiate (thrombopénie, entérocolite, hypocalcémie, septicémie, etc.), est de moins en moins pratiquée. Elle est actuellement indiquée exclusivement en cas de : ■ ictère résistant à une thérapeutique maximale bien conduite, avec une évolution du taux de bilirubine à

4 (10.81%) | 7 (18.91%) | 1 (2.70%) | - | diarrhée | 6 (07.40%) | 2 (05.40%) | 1 (2.70%) | - | mucite | - | 3 (08.10%) | 3 (08.10%) | - | alopécie | - | 2 (05.40%) | - | - | anémie | 1 (02.70%) | - | 1 (2.70%) | - | thrombopénie | - | 2 (05.40%) | - | - | neurotoxicité | 1 (02.70%) | 3 (08.10%) | 1 (2.70%) | - | Syndrome main-pied | - | 1 (2.70%) | - | - | II. ETUDE DE LA SURVIE 1. SURVIE MEDIANE Le recul de suivi des patients a été comptabilisé en nombre

000 (DEL PALACIO et al., 1990 ; LOWE et al., 1993 ; VAN’T WOUT et al., 1994 ; IHRELUNDGREN et al., 1995). BAGRE ISSA 31 PHARMACODYNAMIE BIOCHIMIQUE THESE UNIQUE BIOCHIMIE - MICROBIOLOGIE * Modifications de la formule sanguine (neutropénie, thrombopénie) réversibles à l'arrêt du traitement (KOVACS et al., 1994 ; SAYAG et al., 1995 ; ZAIAS et al., 1996). Ces manifestations justifient une surveillance sanguine tous les mois en cas de traitement long, comportant une surveillance de la NFS et des