Texte En Point De Vue Interne

Qui est le protagoniste? Le protagoniste est le vieillard aveugle. Quel est le statut du narrateur (externe ou interne à la narration? C'est un narrateur externe. Quel est le point de vue du narrateur? C'est un narrateur interne, car il n'est pas dit dans le texte ce que pense le protagoniste, et ce n'est pas un personnage du texte. Pourquoi personne n'a-t-il rien dit au protagoniste quand il était aveugle sur sa couleur de peau ? Sûrement, certaines personnes

faire est que tous les textes sont du point de vue interne. En effet, on remarque que dans les textes A et C, les narrateurs parlent à la troisième personne du singulier « elle avait ignoré » ; « il eut un moment de honte ». En revanche le texte B, est écrit à la première personne du singulier « j’ai raconter à quelle occasion ». Il va de soi que tous les textes expriment les sentiments et pensées du narrateur. Après avoir souligné l’importance du point de vue adopté, on peut noter le sentiment commun

tantôt comiques. On y croise un jeune militaire en permission, un musicien amoureux d’une photographe, un gosse de riche qui abîme la voiture de son père, une écrivaine refusée par son éditeur… Tous ces personnages très différents ont pourtant un point commun : l’attente nourrie d’un espoir vertigineux ou futile, vital ou banal. Ils espèrent tous être aimés, pardonnés, acceptés ou compris. Orfèvre de la nouvelle à chute, l’autrice nous invite à la rencontre d’êtres qui nous ressemblent et dont

morale de l'histoire structure de cette nouvelle : comment faire bref manière de raconter l'histoire dialogues : points de vue genre narratifs : nouvelle/roman Normandie nouvelles(Ô300 mots), six romans, dont Bel Ami, Une Vie réalités fantastiques réalisme => folie courant littéraire du XIX ème siècle réalisme - vraisemblance => décrire la réalité. I) La chronologie du récit Histoire longue = années (3 ans) (= évenements) => déroulement chronologique

Nana, Emile Zola Le texte que nous allons étudier est tiré du livre Nana qui est le 9ème volume de la série Les Rougon-Macquart d’Emile Zola. [LECTURE DU TEXTE]L’extrait progresse en trois temps. Du début du texte à la ligne 10, il s’agit du portrait de Nana vu par elle-même, puis des lignes 11 à 17, nous avons le point de vue de Muffat et pour finir, des lignes 18 à 32, c’est le portrait de Nana vu par Muffat. Cette première partie traite donc l’autoportrait de Nana. Le texte commence avec un verbe

est venue sans qu’au préalable aient été vues les notions de focalisations ni de types de texte, en revanche les différences entre auteur/narrateur/personnage étaient maîtrisées. Objectifs - lecture : Etudier la vision de la rencontre amoureuse du XVIIIème au XXème siècles à travers l’étude du lexique, des temps et de la focalisation dans les romans. - écriture : Rédiger une suite de texte, respecter les temps, la focalisation, le registre de langue, la logique narrative.

une bonne française vivant à Paris. A ce moment du texte, nous voyons Madame de Varandeuil et un médecin visitant une Germinie en train de mourir de son alcoolisme vers la fin de sa descente de bonne honnête en être dégénéré. Le passage est intéressant en tant que passage représentatif du réalisme, une étude a la loupe d'une situation normalement caché par la société, caractéristique du réalisme. Dans ce commentaire, nous verrons en comment ce texte est réaliste et comment ces éléments guident le lecteur

étudierons deux points opposés. I. Une description subjective qui embellie la scène 1.Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité «même», «vide», «ennui». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Frédéric se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une «négresse» est banale à cette époque. 2. Un point de vue qui transfigure

l’autre,  sans que lecteur ne devine la conclusion à laquelle il pourrait arriver : on passe ainsi de l’apparence physique de Bérénice (1 er paragraphe)  à un vers de Racine qui lui-même évoque le Proche-Orient,  ce qui a peu de rapport avec le début du texte. Cependant la pensée du personnage progresse par association d'idées,  ce qui assure une certaine cohérence : le vers de Racine qui est répété deux fois en italique est évoqué par le prénom de la femme et ce vers parle d'une ville du Proche Orient

Il y aura un texte de l’Abbé Prévost, auteur du Siècle des Lumières, puis un texte de Chateaubriand, un auteur du romantique et enfin un texte de Flaubert, un auteur réaliste . Nous nous demanderons donc quelle vision de la mort apporte ces differents textes . Dans les 3 textes , la vision de la mort est omniprésente et décrite de façon similaire mais le ton des auteurs est different. Le texte Manon Lescaut est du registre pathétique , le texte Atala est du registre lyrique et le texte de Flaubert