Texte De Bergson

l’identité et de la conscience de soi. Or, dans ce texte, Bergson semble aborder ce thème d’une tout autre manière. Pour lui, la conscience serait rattachée à l’activité des être vivants. Notre problème est de savoir comment, dans ce texte Bergson met en place une argumentation répondant au véritable problème : Quelle conception de la conscience cette argumentation met elle en évidence ? Bergson expose ainsi une toute nouvelle thèse, à la fin de son texte, qui définie la conscience comme une capacacité

Extrait d’un texte de Bergson Notre conscience nous avertit […] que nous sommes des êtres libres. Avant d’accomplir une action, quelle qu’elle soit, nous nous disons que nous pourrions nous en abstenir. Nous concevons […] divers motifs et par conséquent diverses actions possibles, et après avoir agi, nous nous disons encore que, si nous avions voulu, nous aurions pu autrement faire. – Sinon, comment s’expliquerait le regret d’une action accomplie ? Regrette-t-on ce qui ne pouvait pas être autrement

La pensée et le mouvant _ Bergson Bergson pose un autre problème , en disant que l’art nous dit la vérité. Elle nous montre encore plus que la réalité. Une grande œuvre , est , selon Bergson , une œuvre qui est vraie. Bergson dit que le peintre ne nous montre pas quelque chose de totalement nouveau , nous somme d’une certaine façon familier avec ce qu’il nous montre. L’art éduque notre regard. Il ne crée pas la réalité , il nous la rend accessible. En cela l’artiste est un révélateur. L’art est

Cet extrait est issu de Julie ou la Nouvelle Héloïse, une œuvre parue en 1761 et écrite par Jean-Jacques Rousseau. Le thème qui est abordé est le désir. En effet, dans ce texte, l’auteur nous décrit l’état de l’homme lorsqu’il possède ce qu’il a désiré et nous montre que la réalité est très opposée à ce que l’imagination humaine fait de l’objet du désir. Il expose donc que l’imaginaire humain « embellit » cet objet au moment du désir. De ce fait, on remarque que le désir est synonyme d’illusions

Les divinités antiques sont le fruit du pouvoir inventif des hommes, sans logique ni cohérence entre elles. Celles-ci peuvent êtres plus ou moins abouties . Mais Cette faculté créatrice ne peut être conçue comme une seule déclinaison de l'imagination, qui serait réductrice, mais comme une aptitude de l'esprit a former des héros. Cette capacité en appelle une autre de modification délibérée de la perception qui ferait que l'on réagisse a des inventions comme on le ferait face a des vérités. L'énigme

Dans ce texte, Bergson défend la thèse que « nous n’oublions rien ». Notremémoire serait infinie, bien que cela échappe à notre conscience. * Dans un premier temps, Bergson opère une distinction entre les souvenirs présents accessibles et les souvenirs absents,inaccessibles, mais pourtant réels .Dans un second temps, il nous décrit le mode d’existence fantomatiques des souvenirs .Enfin, il montre que le rêve permet à ces souvenirs mystérieux de refaire surface.Apres avoir expliqués ce texte, nous

| |Ce texte de Bergson, extrait du chapitre IV de L’Evolution créatrice, a pour objet d’exposer la racine d’une illusion trop | |répandue en ce qui concerne notre rapport au réel. On peut d’ores et déjà préciser que cette genèse, en même temps qu’elle | |sera la déconstruction de cette illusion, en sera le redressement. Ainsi la question centrale du texte, qui revient à se | |demander pourquoi les philosophes se trompent inéluctablement

Dans ce texte Bergson parle de la vérité. Beaucoup de gens doutent parfois d'une vérité et certaine personnes ne la cherche même pas. Comment peut-on définir la vérité? La vérité définie une affirmation qui correspond a la réalité. Mais comment peut-on douter de la vérité ? En effet, chaque fois que l'on parle on prétend dire quelque chose de vrai. Donc, quand quelqu’un dit qu'il n’y a aucune vérité, il se contredit puisqu’il prétend que son affirmation est vraie. Donc la question de vérité est présente

1ère 5 Le texte que nous allons étudier est un extrait issu du chapitre III de l’ouvrage philosophique, Le Rire, paru en 1900 et écrit par Henri Bergson, philosophe français du 20ème siècle. A travers cet extrait, Bergson aborde le thème de la conscience et de la réalité qui nous entoure. Dans ce texte, Bergson pense que l’homme est incapable de percevoir la réalité telle qu’elle est vraiment. L’homme se fit trop aux informations simplistes que lui apportent ses sens. Bergson affirme que notre

Bergson, dans ce texte, tente de nous faire réfléchir sur l'art. Par la littérature, qui est un art au même titre que la musique ou la danse par exemple, Bergson s'interroge sur la fonction même de celui-ci. L'art, pour Bergson, aurait pour but d’étendre notre vision de la réalité. Il ne se limiterait donc pas à une imitation mais serait plutôt une redécouverte du réel, transmettant la vision de l’artiste à ses spectateurs. Suivant cette thèse, nous pouvons nous poser plusieurs questions : Quel est