Texte De Bergson Nous Ne Voyons Pas Les Choses Mêmes

ma nationalité etc, je dois jouer un rôle que les facteurs sociaux m’imposent. Je dois jouer un personnage (persona : masque). C’est l’automate conscient dont parle Bergson : le moi social, le moi superficiel, occulte et empêche l’expression du moi individuel, du moi profond. (Cf texte Bergson) 2 – La révélationLe masque que porte l’acteur dans les théâtres antiques servait aussi à porter sa voix, à l’amplifier : le personnage que la situation sociale m’impose

.............................................................................. 483 > Étude du livre I du Contrat social de Rousseau .................................................................. 505 > Étude de la conférence de Bergson « La Conscience et la Vie » (1911) dans L’Énergie spirituelle ............................................................................................................................................ 531 Sommaire général-PH00 475

stoïciens dans l’Antiquité voyaient dans ce refus de ce qui ne dépend pas de nous, une source de souffrance et une soumission aux désirs. Ils invitaient à changer nos désirs plutôt que l’ordre du monde et voyaient dans l’acceptation de cet ordre des choses, un signe de sagesse et de liberté. Aussi on peut se demander si être libre c’est dire non. C’est donc du problème de la définition de la liberté dont nous allons traiter. Se poser cette question, c’est présupposer que la liberté peut être. Pourquoi

Henri Bergson (1900) Le rire. Essai sur la signification du comique Un document produit en version numérique par Bertrand Gibier, bénévole, professeur de philosophie en France Courriel: bertrand.gibier@ac-lille.fr Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Une collection développée en collaboration

Henri Bergson (1900) Le rire. Essai sur la signification du comique Un document produit en version numérique par Bertrand Gibier, bénévole, professeur de philosophie en France Courriel: bertrand.gibier@ac-lille.fr Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Une collection développée en collaboration

COMMposite, Vol. 12, n°1, pp. 39-57 © Joëlle Basque, 2009. www.commposite.org CECI N’EST PAS UN TEXTE SUR MAGRITTE REFLEXIONS SUR LES ŒUVRES DE MAGRITTE, LA PERCEPTION ET LA SIGNIFICATION Joëlle Basque Université de Montréal Résumé : Cet article explore les liens entre les phénomènes de perception et de signification pour quiconque s’intéresse aux possibilités créées par les médias à travers la disposition des sens humains. Dans un champ d’étude qui conçoit souvent le signe comme élément

LE LANGAGE INTRO La Tour de BabelC’est un récit que l’on trouve dans le livre dit de la genèse qui raconte un temps où les Hommes parlaient la même langue « Tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots » or les Hommes vont décider de construire une ville et une tour la plus haute possible et Dieu (Yabué) voyant cette tour s’élever de + en + haut va décider de stopper ce projet collectif et « il confondit leur langage afin qu’ils ne s’entendent plus les uns des autres », « Yabué

Henri Bergson (1902) “ Camille Bos – Psychologie de la croyance ”. (Compte rendu de livre) (1902) Un document produit en version numérique par Bertrand Gibier, bénévole, professeur de philosophie au Lycée de Montreuil-sur-Mer (dans le Pas-de-Calais) Courriel: bertrand.gibier@ac-lille.fr Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur

faire un peu vite la part belle à la pensée ? Quel est donc le lien entre le langage et la pensée ? Le langage n'est-il qu'un outil pour la pensée ? I. Le langage, un outil de la pensée ? 1) Le langage, un moyen de communication ? Peu de choses nous sont aussi familères que le langage. Aussi loin que nous nous souvenons, nous parlons. Ne définit-on pas l'homme comme homo loquens ? Nous recourons sans cesse au langage ; mais nous ne lui prêtons pas d'attention pour autant. Car ce n'est

éléments n’ont peut-être pas la portée que nous leur donnons : nous devons plutôt souligner le fait qu’il témoigna d’une vertu décisive, d’une vertu créatrice, qui n’est plus nécessaire aujourd’hui. Nous n’avons ajouté, malgré tout, que peu de choses aux biens que nos prédécesseurs immédiats nous ont laissés : rien ne justifierait de notre part le sentiment d’être plus grands qu’ils ne furent. L’« homme de Lascaux » créa de rien ce monde de l’art, où commence la communication des esprits. L’«