Tétrachlorométhane

si ces deux atomes ont des électronégativités différentes. Une molécule est polaire si les barycentres des charges positives et négatives ne sont pas confondus. L’eau (a) est polaire, l’éther diéthylique (b) est peu polaire alors que le tétrachlorométhane (c) est apolaire. Extractions, séparations … Les extractions de substances naturelles mettent en œuvres diverses techniques de séparation. Elles reposent sur la nature des interactions intermoléculaires qui dépendent principalement des polarités

III.4.7. 'RQQHUO¶H[SUHVVLRQOLWWpUDOHGHODPDVVHHQLRQVF\DQXUHHQPJFRQWHQXVGDQVNJ GHPDQLRF)DLUHO¶DSSOLFDWLRQQXPpULTXH 17 ANNEXE 1 : Schéma du montage de sublimation du camphre ANNEXE 2 : Spectre IR du bornéol dans le tétrachlorométhane ANNEXE 3 : Spectre IR du bornéol dans le bromure de potassium 18 1,4 1,2 C III II B A I D 1 0,8 E(V) 0,6 0,4 0,2 0 0 7,4 pH 14 ANNEXE 4 : Diagramme E-S+GHO¶pOpPHQWLRGH ANNEXE 5 : DISPOSITIF DE MESURE

Solvants, antigels, fluides hydrauliques, parfumerie, détergents, polyuréthanes. Alcools « Oxo » Solvants synthèse. Propan-2-ol Synthèse, acétone, solvant. Acrylonitrile Fibres textiles, résines élastomères, peintures. Tétrachlorométhane Dérivés fluorés et chlorofluorés, solvant. Chlorure > Glycérol d’allyle Résines glycérophtaliques, peintures, explosifs, pharmacie. (Polymérisation) Polypropylène, résines thermoplasiques, plastifiants, détergents. Cumène

|Formule |Lignes directrices fixées par | | | | |l'OMS | |Alcanes chlorés |Tétrachlorométhane |C Cl4 |4 μg/l | | |Dichlorométhane |C H2 Cl2 |20 μg/l | |

Terphényles hydrogénés Tétrabromo-1,1,2,2 éthane (Tétrabromure d'acétylène) Tétrabromométhane Tétrachloro-1,1,1,2 difluoro-2,2 éthane Tétrachloro-1,1,2,2 difluoro-1,2 éthane Tétrachloro-1,1,2,2 éthane (Tétrachlorure d'acétylène) Tétrachloroéthylène Tétrachlorométhane Tétrachloronaphtalène Tétrahydrofurane Tétraméthylsuccinonitrile Tétranitrométhane Tétryl TGIC [1335-88-2] [109-99-9] [3333-52-6] [509-14-8] [479-45-8] 100 0,5 0,005 [76-11-9] [76-12-0] [79-34-5] Voir Carbone, tétrabromure de 500 500 1 4170

certains mécanismes envisagés. On étudie la cinétique de la sulfonation du benzène (C6 H6, noté BH dans cet exercice) par le trioxyde de soufre SO3 fraîchement préparé et préalablement dissous dans un solvant tel que le chlorométhane ou le tétrachlorométhane. L’équation chimique est : BH + SO3 → BSO3 H Les résultats essentiels peuvent être résumés de la façon suivante : Dans tous les solvants, la réaction est d’ordre un par rapport au benzène. Par contre, suivant le solvant, on observe une

est souvent invisible, et que certains toxiques infiltrés dans le sol ne produisent souvent leur effet qu'après un long délai et que de nombreux polluants agissent en synergies complexes. Ainsi un déversement accidentel de 4 000 litres de tétrachlorométhane, survenu près d'Erstein en 1970 et passé presque inaperçu à l'époque, entraîna vingt ans plus tard une contamination de la nappe phréatique et d'un puits creusé sept kilomètres en aval. Les nitrates peuvent atteindre certaines nappes qu'après

2) Miscibilité de solvants organiques avec l’eau L’eau est miscible avec le méthanol, l’éthanol, la méthanamine, l’éthanamine, l’acide acétique (éthanoïque), l’acétone (propanone)… mais pas (ou peu) avec le pentane, l’éther (C H OC H ), le tétrachlorométhane, le dichlorométhane… Écrire les structures moléculaires de ces différents solvants ; déterminer s’ils sont ou non polaires. Interpréter la miscibilité ou non avec l’eau en recensant les différents types de forces intermoléculaires qui interviennent

initiale de diminution de pression. On étudie la cinétique de la sulfonation du benzène (C6 H6, noté BH dans cet exercice) par le trioxyde de soufre SO3 fraîchement préparé et préalablement dissous dans un solvant tel que le chlorométhane ou le tétrachlorométhane. L’équation chimique est : BH + SO3 → BSO3 H Page 27 sur 32 Cet exercice montre à nouveau comment la cinétique permet d’écarter ou de conforter certains mécanismes envisagés. II) Sulfonation du benzène dans différents solvants Les

l'eau est souvent invisible, et que certains toxiques infiltrés dans le sol ne produisent souvent leur effet qu'après un long délai et que de nombreux polluants agissent en synergies complexes. Ainsi un déversement accidentel de 4 000 litres de tétrachlorométhane, survenu près d'Erstein en 1970 et passé presque inaperçu à l'époque, entraîna vingt ans plus tard une contamination de la nappe phréatique et d'un puits creusé sept kilomètres en aval. Les nitrates peuvent atteindre certaines nappes qu'après