Ion Luca Caragiale

duce în eroare. El afirmă: „Scrisorile unui egoist sunt de mine scrise”. Aceeaşi problemă se poate identifica şi şi în textul Poetul Vlafuţă. Autoparodia ne distruge stilul textului, dar ea neagă substanţa literară a textului. În acest text, Caragiale sublinia: „Da, dar cititorul să nu uite că povestea nu se petrece la noi, unde domnişoarele sunt prea cuminţi ca să fie entuziaste, prea culte ca să aibă admiraţie pentru liberatură şi prea mândre ca să sărute mâna ce-ar scrie o capodoperă. Povestea

était faite ou bien en France ou bien sur le territoire roumain mais par des précepteurs français. Ex : le fils du voïvode Michel Sturdza de Moldavie et Ion Ghica prince de Valachie (grand homme politique, économiste, écrivain et ingénieur des mines diplômé de la célébre école des mines de Paris) ; des hommes politiques comme Nicolae Balcescu, Ion C. Bratianu, qui ont étudié le droit et les sciences politiques françaises, aussi que Nicolae Titulescu et Alexandru Ioan Cuza. Grâce à ces institutions

façon déséquilibrée dans la ville[8]. Ainsi, la zone centrale bénéficie d'une concentration de grands espaces verts (on y trouve notamment le Parc Central et le Parc de la Citadelle qui se font face sur les deux rives de Someşul Mic, le Parc "Ion Luca Caragiale" tout proche et, plus au sud, le Jardin Botanique) alors que les quartiers périphériques tels que Mănăştur ou Mărăşti sont presque dépourvus de grands espaces verts. En effet, le grand ouest de la ville ne possède qu'un seul grand parc (le Parc

roumains de l’époque se res- saisirent en prenant leurs distances par rapport aux traditions d’un romantisme tardif, l’équivalent de la période classique ou de la première période d’or de la littérature roumaine, où, à côté d’Eminescu, brillèrent un Caragiale ou un Creangă. Celui qui depuis 1880, dans la revue Literatorul (Le Littéraire), écrivait grosso modo que « la logique de la poésie n’est pas celle de la prose… elle est illogique, donc absurde», laissait entrevoir une manière différente de concevoir