Tertiarisation Des Ouvriers

stratification sociale. La forme de toupie est utilisée afin de concrétiser les classes moyennes, constituant un vaste ensemble de plusieurs groupes sociaux tels que les indépendants, les cadres, les enseignants, mais aussi les employés, et même les ouvriers. Les deux extrémités de cette toupie représentent l’élite sociale, au sommet, et les plus démunis, au bas de la toupie. Ces deux groupes étant de moins en moins représentés, nous sommes bien loin de la structure pyramidale des trois ordres : la noblesse

peut-on parler d’un déclin de la classe ouvrier ? a) Le constat de l’évolution des catégories dites populaires * Le recul des PCS indépendants (agri, artisan..) * Augmentat° des PCS 3,4,5, elles sont désormais les plus nombreuses * Recul de la classe ouvrière. Cette PCS etait la + importante jusqu’au année 90, ils sont ojrd depassés par les employés. b) Le déclin de la classe ouvrière Comment expliquer le déclin numériq des ouvriers (-25 des actifs occupés) * Désindustrialisat°

intermédiaires la société connaît donc pendant les 30 glorieuses « un sentiment d’aspiration vers le haut » (doc 3) face au déclin des PCS ouvriers et agriculteurs ainsi d’ailleurs que des couches moyennes indépendantes : c’est cette transformation profonde que Mendras qualifie de seconde révolution française. 2)….qui s’explique par : des transformations économiques : tertiarisation et hausse des emplois plus qualifiés, fordisme et développement des emplois d’encadrement intermédiaire, … des transformations

pays La tertiairisation de l’économie et la scolarisation de masse entraînent une professionnalisation accrue des tâches par une recherche exagérée des compétences. Pour Daniel Cohen, “ la tertiarisation est créatrice d’emplois qualifiés et destructrice d’emplois non qualifiés’’. Ce qui s'ajoute à la tertiarisation de l'économie pour expliquer la dévalorisation du travail non qualifié est : l'immigration, la dérégulation du marché d'emploi et l'affaiblissement irrésistible de la syndicalisation.

capitale de ttes les activités éco dynamiques au dépens du reste du territoire national. ( croissance et modernisation de l’éco o, accentué ces déséquilibres régionaux : c( au profit des gdes villes (bénef réussite des ind les + dynamiques + tertiarisation de l’éco) ( zones rurales désertification((=> Lozère perd 40% du nb annuel de naissance idem Creuse, Gers, Aveyron.. ( Régions bénef de la modernisation éco= île de Fr, région lyonnaise, Provence( Ouest, massif central=> aggravat° ss dvt de l’ind

réduites et on assiste à une certaine conformisation de toute la société notamment en prenant l'exemple des voitures qu'à présent presque tout le monde possède (doc2). La salarisation (hausse de la part des salariés dans la population active) et la tertiarisation sont à l'origine de ce phénomène de moyennisation de la société, formant un vaste groupe homogène incarnant la normalité. B. Amélioration des inégalités sociales. Tout comme pour au niveau économique, des améliorations sociales sont constatées

dans sa conception de classes, et plus particulièrement de classes pour soi. A travers cette construction, il met en évidence deux classes : le prolétariat qui vend sa force de production et la bourgeoisie, qui possède le capital et rétribue les ouvriers du minimum vital en gardant la plus-value. Cependant, avec la période de forte croissante des Trente Glorieuses, la notion de « classes sociales » avait quasiment disparu des mœurs. Or, elle réapparaît aujourd’hui aussi bien dans les discussions

faire travailler autrui à son profit en pesant sur le cours d'achat de la force de travail * le prolétariat, regroupant les personnes qui n'ont pas de capital et sont contraintes de vendre leur force de travail pour subsister, c'est-à-dire les ouvriers. Cette lutte embrasserait tous les domaines de la vie sociale, économique, politique et idéologique et serait un moteur à l'évolution sociale, et donc de l'histoire. Le capitalisme exercerait une pression pour diminuer la part de la production destinée

de la croissance économique. Le processus de moyennisation Dès le 19 siècle, des auteurs tels que Tocqueville envisageaient une évolution très divergente de la société. Ils appuyaient leurs hypothèses sur l’accroissement d’un salariat non ouvrier (employés, cadres, ingénieurs, fonctionnaires), composante décisive des cadres. L’essor de cette classe moyenne doit s’effectuer dans le cadre d’un processus de réduction des inégalités économiques et sociales. Ainsi depuis 50, l’expansion des

socioprofessionnels. Par exemple, selon l’INSEE en 2004, un cadre a un revenu moyen presque 2 fois plus élevé qu’un ouvrier (document 1, Q2 ). 1.1.2] La nomenclature des PCS permet également de rendre compte des inégalités entre GSP en termes de pauvreté Grace aux PCS, on constate par exemple que seulement 2,1 % des cadres vivent en dessous du seuil de pauvreté ( Q1 ) contre 12,6 % des ouvriers, 15,6 % des ACCE (GSP 2) et presque 1 agriculteur exploitant sur 3. Rappelons que le seuil de pauvreté correspond