T'en vas pas

III : Fille qui se parle à elle-même. J'en ai marre. Marre d'être folle. Marre de cet état d'hystérie quotidienne. Je te ferais remarquer que je suis tout à fait apte et réfléchie, si folle il y a ce n'est pas de ma faute mais de la tienne ! Ben vas-y traite-moi de dingue tant que tu y es. Je te ferais remarquer que sans moi tu n'existes pas. Tu n'es rien. Tu n'es qu'une pensée, abstraite et vague. Tu n'as aucune logique ou conscience, tu es juste là quand tu en as bien envie alors pour une fois

mot. Dès que je l'ai vue, j'ai senti qu'elle était méchante. Non seulement cette poupée de chiffon était la plus laide que j'aie jamais vue, mais les boutons qui étaient ses yeux brillaient d'une haine féroce. — Qu'est-ce qu'il y a ? Tu ne vas pas être jalouse, me demanda maman en me voyant grave et silencieuse. — Non, c'est simplement que… Elle est si vilaine. Elle a un œil plus haut que l'autre, elle n'a pas de nez, et sa bouche tordue ne se ferme pas complètement… On dirait qu'elle

depuis deux jours !... »Elle s’empourpra, honteuse, balbutiant : «  Oh ! Maintenant ! Mais que dirait-on ?que penserait-on ? Comment oserais-tu demander une chambre en plein jour ? Oh Julien, je t’en supplie. »Mais il l’interrompit : «  Je m’en moque un peu de ce que peuvent dire et penser des gens d’hôtel. Tu vas voir comme ça me gêne. » » Maupassant ne décrit pas directement Julien dans ce fragment, il nous fait par du caractère égoïste du personnage à travers un dialogue qu’il a avec sa femme. Un peu

entrailles ! Coupons-le par morceaux, et mangeons, mangeons ! j'en ai jusqu'au coude. Fouille dans la gorge, roule-le, roule ! Mordons, mordons, et mangeons ! (Il tombe épuisé.) SCORONCONCOLO. S'essuyant le front. Tu as inventé un rude jeu, maître, et tu y vas en vrai tigre ; mille millions de tonnerre, tu rugis comme une caverne pleine de panthères et de lions. LORENZO. ô jour de Sang, jour de mes noces ! ô soleil, soleil ! il y a assez longtemps que tu es sec comme le plomb ; tu te meurs de soif, soleil

Emile Zola le 14 décembre 1897 à la suite de la condamnation du Capitaine Dreyfus pour haute trahison. Emile Zola a dénoncé sans relâche l’injustice dont Alfred Dreyfus était victime. Ô jeunesse, jeunesse ! Je t'en supplie, songe à la grande besogne qui t'attend. Tu es l'ouvrière future, tu vas jeter les assises de ce siècle prochain, qui, nous en avons la foi profonde, résoudra les problèmes de vérité et d'équité, posés par le siècle finissant. […] 5 Jeunesse, jeunesse ! Souviens-toi des souffrances

Depuis trois semaine – vingt et un jours! – Elle se défend contre les larmes dénonciatrices […] » (p.4.) La personnification des larmes qui dénonce utilisé par son amie montre clairement que Valentine ne veux pas extérioriser sa peine et se défend t’en bien que mal pour avoir l’aire forte. Ensuite, son amie ce demande si elle devrait la prendre dans ses bras pour la consoler mais, change rapidement d’idée car elle se dit que Valentine éclaterais en sanglot et que ca ne serais pas une bonne chose :

verre de jus. « Quand est-ce que tu vas arrêter de me parler froidement ? » C’est moi qui viens de dire ça ? Je parle vraiment sans réfléchir. Je devrais écouter ma mère quand elle me dit de tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de prononcer quoi que ce soit. Elle me regarde amusé, du moins ce que je crois jusqu’à qu’elle se mette à pleurer devant moi. Attend quoi ? Elle pleure ? Je repose précipitamment mon verre la prenant dans mes bras. « Oh non je t’en prie ne pleure surtout pas, je suis

Pourquoi ? t’en as déjà. Val : Eh mais t’as vu la pub ?! Ils sont tout nouveau, trop originaux, on connaît pas le goût ! Eric : Pff , c’est des conneries. C’est des chewing- gums comme les autres ! Arrête ça, t’es trop naïf. Val : Tu parles.. J’suis sûr que si demain je te les ramène, tu vas vouloir goûter. Eric : Bah oui, comme un chewing-gum normal, quoi. Pas par rapport à cette pub. Tout ce qu’elle fait, c’est embobiner pour que les gens comme toi achètent plus. Et tu t'en rends pas compte

-Effectivement je suis l'homme que tu cherche. répond Drego d'un air courageux, sans que la peur ne transparaisse dans sa voix -Papa, qu'est ce que c'est c'est que cette histoire?demande Corso en sanglotant. Drego tourne le regard vers son fils en larmes. -Vas t'en Corso, fuis ou il te tuera. ordonne Drego d'une voix sèche -Non papa, je reste avec toi, déclare l'enfant d'un air têtu -Alors, Quand compte tu te transformer en dragon rouge?demande Apollon. -Jamais,pas devant le petit. refuse Drego -Mais papa

Viennent un temps de m'emporter. Salut, ma mère et ma nourrice ! Salut, salut consolatrice ! Ouvre tes bras, je viens chanter. LA MUSE Pourquoi, coeur altéré, coeur lassé d'espérance, T'enfuis-tu si souvent pour revenir si tard ? Que t'en vas-tu chercher, sinon quelque hasard ? Et que rapportes-tu, sinon quelque souffrance ? Que fais-tu loin de moi, quand j'attends jusqu'au jour ? Tu suis un pâle éclair dans une nuit profonde. Il ne te restera de tes plaisirs du monde Qu'un impuissant