T'en vas pas

beaucoup aux employés. Tu verras là tout le monde officiel. Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience: - Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là? Il n'y avait pas songé; il balbutia: - Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya: - Qu'as-tu? qu'as-tu? Mais, par un effort

faut aller le chercher, je ne veux pas qu’il crame dans le feu ! » A : « Ben vas-y aller, qu’est-ce que t’attends ? La chute des feuilles ? » F : « C’est bon j’y vais ! Attends-moi là et rassemble nos affaires les plus importantes, les pompiers ne devraient pas tarder à arriver. Je reviens vite, n’ai pas peur ! Je t’aime mon cœur. » A : « Mais je ne veux pas que tu me laisse seule, j’ai trop peur pour toi ! » F : « Ne t’en fais pas, je suis grande, je sais ce que je fais, il ne m’arrivera rien !

employés. Tu verras là tout le monde officiel. " Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience : " Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ? " Il n'y avait pas songé ; il balbutia : " Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... " Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : " Qu'as-tu ? qu'as-tu ? " Mais, par

aux employés. Tu verras là tout le monde officiel.» Elle le regardait d’un œil irrité, et elle déclara avec impatience : « Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ? » Il n’y avait pas songé ; il balbutia : « Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... » Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : « Qu’as-tu ? qu’as-tu ? » 2 Mais

attirait. "Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. -Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d'Elle ; Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson. Tu la troubles, reprit cette bête cruelle, Et je sais que de moi tu médis l'an passé.

Jeune fille, attendez moi, s'il vous plaît, j'ai à vous parler. » criais-je, lorsqu'elle s'arretta de courir. «  - Anne-Laure, c'est toi ? » Je pensais être en pleine hallucination lorsque, a son tour, elle me répondis « Wesley, ne reste pas là, vas t'en, ce cimetière est trop dangereux pour toi, plein de mystère s'y cache et si moi je suis décédé a ce jour, je ne veux pas que a toi aussi ça t'arrive. Rentre chez toi. » La silhouette disparu. A vrai dire, je ne savais pas si c'était mon imagination

plus de nous. Lily entre, et s’avance vers moi. Elle me dit bonjour, en me faisant un de ses plus beaux sourires. On monte à l’étage, dans ma chambre plus précisément et on s’assoie sur mon lit avant de commencer notre discussion. Lily : Alors, que vas-tu faire pendant les vacances ? Eleonora : Je ne sais pas encore et toi ? Lily : Je ne sais pas mais déjà, je vais voir Nathan : c’est obligé ! Eleonora : Tu me raconteras tout ce qui se passe, dans les moindres détails ! Lily : Oh oui, ne t’inquiètes

indiscrète. Il me déplaît que tu lui voles sa nudité. Branwen (le recouvrant) Oh ! Je ne voulais pas te ravir ce droit... D'ailleurs, le mal n'est pas bien grand : on lui a laissé ses braies... Yseult Branwen ! Ne le couvre pas trop à présent ; tu vas l'étouffer. Le poison qui l'a terrassé doit s'exhaler par toutes les parties de son corps. (Elle le découvre à son tour). (Branwen rapporte de l’eau et un linge. Yseult rafraîchit le blessé). Regarde. La vie lui revient... son visage retrouve ses

toisentir ta peau tout contre moiet c'est ce qui se passa se soir là!ta main sur mon ventre...ton souffle dans mon cou...je me laissai bercer par tes paroles..retenant mon sommeilattendant que tu sombre le premierune fois qu'aux pays des songes tu t'en es allévers toi je me suis retourné une dernière fois je tai embrassé...après cette ultime baiserces 10 pilules j'ai avaléeet lentement..dans tes bras, entrelacée,dans l'inconnu je me laissais couléeton corps chaud me parut lointainde ton souffle je

pluto que lon y participe tous les deux et cest aussi ma vision du couple ok CE QUE JE RECENT ah ok tu vas me faire changer d'avis car moi aussi je commence a epprouver des sentiments pour toi et c'est depuis hier que cela c'est developpe je ne veux mais des le debut j'avais peur de te le dire car je me disais que peut etre sa pourrais etre comme le relation