Temps universel

une fois de plus à l'unanimité (475 contre 0) pour le suffrage des femmes. Le Front populaire nomme alors 3 femmes sous-secrétaires d'état. ➢ Et enfin le 21 avril 1944, le droit de vote est accordé aux femmes, retour des élections au suffrage universel pour l'ensemble de la population après la seconde Guerre Mondiale. ➢ La France fut l'un des derniers pays d'Europe à avoir accordé le droit de vote et d'éligibilités aux femmes, qui useront de ce droit la première fois lors des élections municipale

sont: le Sénat et la Chambre des députés. Le Sénat est élu pour 9 ans, avec renouvellement par tiers tous les trois ans, au suffrage universel indirect, dans le cadre du département, par les députés, conseillers généraux et représentants des conseils municipaux. Les candidats doivent avoir au moins 40 ans. La Chambre des députés est élue pour 4 ans au suffrage universel direct, les candidats devant avoir 25 ans au moins. Le scrutin uninominal majoritaire à deux tours sera utilisé sauf dans quelques

développés. En effet, les femmes ont acquis le droit de vote en France depuis le décret du 21 avril 1944 du gouvernement provisoire de la République présidé par le Général de Gaulle. Ce droit intervient près de cent ans après l’instauration du suffrage universel masculin en 1948. Les premiers pays à reconnaitre le droit de vote aux femmes sont la Suède entre 1718 et 1771 puis partiellement à partir de 1862 et de façon complète et définitive en 1919 (avec des premières élections en 1921) et la Nouvelle Zélande

contemporaine : Comprendre les territoires de proximité. 1 - Comment le président de la République est-il choisi ? Cela a-t-il toujours été le cas ? -Comment se votent les lois sous la Vème République ? -Quelle élection se fait au suffrage universel indirect ? 2 -Quelle est la durée du mandat présidentiel ? Depuis quand ? -Qu’est-ce que le Conseil Constitutionnel ? A quoi sert-il ? Comment est-il composé ? -Qu’est-ce que l’Alternance ? Un exemple ? 3 -Comment est choisi le premier ministre

presque autoritaires, qui seraient à l'origine de la crise actuelle. La Vème est un régime sui generis, c'est à dire qui se suffit à lui même, qui n'a pas de modèle pré existant, c'est un régime à part. Le chef de l'Etat en France est élu au suffrage universel direct (contrairement au président des USA) ce qui lui donne une légitimité sans égal, il a des attributions que n'a pas le président américain, mais il n'est pas responsable (contrairement au président des USA, cf impeachment), le président américain

celui du suffrage universel A/ La généralisation du suffrage universel (1) Le suffrage universel masculin Cette généralisation, c’est opéré vers la moitié du 18ème siècle selon un rythme variable. Si en France dès 1792, on envisageait sa mise en place, cela n’a pas été utilisé et à peu près 10% de la population masculine a pu voté. De plus à cette époque, il fallait savoir lire et payer des impôts. Le second Empire 1848-52, va se contenter de domestiquer le suffrage universel masculin : il va

son idée d’une nouvelle République. Doc 2 p. 191 : Quels sont les principes de la République gaullienne ? un président de la République puissant chef complet de l’exécutif, une Assemblée qui assure le pouvoir législatif élue au suffrage universel direct, mais une séparation de l’exécutif et du législatif puisque le président est élu par un collège large mais pas par le pouvoir législatif. La Constitution de la 4ème République est acceptée par référendum (53% de oui seulement) le 13

son message s’engage à les respecter. Le président de la République est à cette époque élu au suffrage universel indirect, c’est donc l’assemblée nationale qui désigne le président. Jules Grévy nous le montre dès la seconde ligne de son message par l’expression « l’assemblée nationale, en m’élevant à la présidence ». L’assemblée nationale, dans la mesure où elle est élue au suffrage universel direct représente directement le peuple, elle est la volonté du peuple. Quand Jules Grévy parle de « lutte

révolutionnaire ne saurait voiler la présence de certains emprunts à la tradition parlementaire et, plus encore, à la tradition plébiscitaire. Si cette expérience tourne court, elle consacre cependant – c'est là son apport fondamental – le suffrage universel de façon irréversible. Les « républicains du lendemain » : légitimistes trop heureux de voir disparaître le les Orléans, catholiques voyant en 1848 le début d'une ère nouvelle, membres de l'opposition dynastique espérant reconquérir à leur profit

fois la Corse d’un statut qui n’est plus un statut particulier adapté du droit commun comme dans la loi de 1982, mais d’un statut de collectivité territoriale « sui generis » créé par la loi en un exemplaire unique : ce qui définit donc la corse en temps qu’exception dans la république française. Bien qu’en 1982, la Corse fût dotée d'un statut particulier de collectivité territoriale, cela n'a pas empêché les nationalistes de l'île de poursuivre leurs revendications vers une autonomie réelle.