Temps universel

perspectives historiques L'histoire des idées politiques peut se comprendre à différentes idées politiques temporelles. 1- L'approche pédagogique des manuels universitaires Les manuels d'histoire des idées politiques privilégient une période de temps relativement longue. Si on fait le tri, on peut distinguer deux types d'approches en fonction des manuels en fonction des cours qui sont donnés en France. Première approche = ouvrages qui couvrent toute l'Histoire depuis l'Antiquité jusqu'à l'époque

pouvoirs », autrement dit à une séparation souple des pouvoirs. Ainsi, on peut alors se demander si la distinction entre régime présidentiel et régime parlementaire est toujours valable. Nous répondrons à cette question en nous penchant dans un premier temps sur l’opposition des deux régimes, ainsi que sur certains dysfonctionnements qui mènent à la supériorité d’un régime. D’une part, par leur opposition définitionnelle et puis par les atténuations pratiques constatées. Le problème n’est plus de savoir

L’équilibre qui conditionne le pouvoir Régime mono représentatif : car un seul organe à la tête de l’état émane du suffrage universel direct (chambre basse du parlement). Ex : Grande- Bretagne et la Suisse Régime bi représentatif : lorsqu’il y a double représentation du peuple c'est-à-dire lorsque la chambre basse du parlement et le chef de l’exécutif est élu au suffrage universel direct ou quasi direct. Dès lors qu’il y a distinction des fonctions et responsabilité du gouvernement devant le parlement

pertinent de se demander quelles sont les divergences entre la souveraineté nationale et la souveraineté populaire ? Il sera donc nécessaire pour cela de voir dans un premier temps qui est le titulaire de la souveraineté et comment est l’exercice de cette souveraineté à travers ces deux conceptions. Puis, dans un second temps, ce sont les conséquences démocratiques différentes de ces deux concepts qui seront importantes à aborder. I / Titulaire de la souveraineté et Exercice de la souveraineté

là relèverait de la politique toute situation de domination. Nous allons donc voir dans un premier lieu que pour beaucoup l’évolution générale vers la démocratie moderne implique forcément un gouvernement du peuple mais que, dans un deuxième temps, pour d’autre, cet idéal démocratique reste un idéal non atteint, l’espace politique des dirigeants restant fermé voire devant rester fermé à la masse des citoyens. Se demander si la politique est l’affaire de tous revient à poser la question

présidentielle, un temps fort dans la vie démocratique française. Le Président (Pdt)) fait figure de proue et clé de voûte du régime fondé suite aux évènements algériens. René Coty (dernier président de la IVe République) en appelle  en mai 1958 « au plus illustre des Français» pour proposer la présidence du conseil à de Gaulle le 1er juin 1958 (Régler la question algérienne et constitution adoptée Référendum en septembre 1958). Depuis l’élection de Charles de Gaulle au suffrage universel direct le 19

politique. Dans un premier temps nous analyserons la théorie politique, puis dans un second temps une lecture présidentielle de la Constitution, enfin une lecture plus parlementaire de la constitution. Ainsi, le général de Gaulle souhaite créer une République disposant d’un exécutif fort et d’un législatif plus faible. De telle sorte que la nouvelle constitution veut que le Président de la République incarne « la clé de voûte du système. » Elu au suffrage universel direct depuis le référendum

chargé d'élaborer le projet de constitution souhaitaient tant qu'à eux mettre en place un régime parlementaire équilibré. Les constituants devaient le faire selon les conditions définies par une loi constitutionnelle du 3 juin 1958. >Le suffrage universel (qui date de 1848) est la source du pouvoir. >Les pouvoirs exécutif et législatif devront être séparés effectivement. >Le gouvernement doit être responsable devant le parlement. >L'autorité judiciaire doit être indépendante. La constitution

explique que ses idées vont prendre un tour tout à fait inattendu et inaudible et préfigurer les institutions de 1958.  Il estime qu’il y a nécessité d’une assemblée élue au suffrage universel direct et dotée du pouvoir législatif mais il faut aussi une deuxième chambre élue différemment : suffrage restreint (universel indirect). Ceci est dû à la volonté du Bicaméralisme : élément de conjoncture très fort. En effet, son absence a été la cause de l’échec de 1946 de la première constitution de 1946

utilisée. On peut alors s’interroger sur l’actualité de la responsabilité politique et pénale de nos gouvernants et sur la pertinence de son application en France sous la Ve République à la lumière de réformes récentes. On verra dans un premier temps la responsabilité instaurée par les textes pour le président, avant d’analyser une évolution de sa responsabilité inadaptée à l’évolution récente de la Ve République. Plus d’extraits de La responsabilité du président de la république française sous