Temple du Marais

particulier monte à la capitale en chantant le « Chant de l’armée du Rhin » qui deviendra la Marseillaise. ->Le 10 août 1792 : insurrection parisienne, le peuple prend les Tuileries. Louis XVI et sa famille sont arrêtés et emprisonnés à la prison du Temple. =>on entre dans la 2ème Révolution -Fin de la révolution bourgeoise et début de la révolution pop ->du 2 au 5 septembre : massacres de septembre. Les Sans-culottes massacrent + d’un millier de nobles. ->sous la direction des Jacobins

somnolent, malgré leur manière si énergique à tous deux de tambouriner son crâne tondu, car c’est dans les marais de la faim que s’est enlisée sa voix d’inanition (un-mot-un-seul-mot et je-vous-en-tiens-quitte-de-la-reine-Blanche-de-Castille, un-mot-un-seul-mot, voyez-vous-ce-petit-sauvage-qui-ne-sait—pas-un-seul-des-dix-commandements-de-Dieu) car sa voix s’oublie dans les marais de la faim, et il n’y a rien, rien à tirer vraiment de ce petit vaurien,

le Golfe persique, la Syrie, la Palestine, la Mésopotamie, l’Arabie, sur le Nil, l’Euphrate et le Tigre. → Egyptiens, Sumériens, Babyloniens, Assyriens, Hittites, … Ce sont des civilisations brillantes caractérisées par l’architecture (palais, temples), l’exploitation de métaux précieux, l’artisanat (orfèvrerie, sculpture), le commerce et l’écriture (hiéroglyphes, cunéiforme). Par contre, nous n’avons rien sur l’Occident à ce moment-là. Mais à partir du 2ème millénaire, certains Orientaux vont

« l’Illusion comique », chez Lope de Vega et Pedro Calderon de la Barca, « La vie est un songe », espagnols – chez Shakespeare, dans les thèmes utilisés dans certaines de ses pièces. • Des compositeurs : Claudio Monteverdi, italien – Lully, Marin Marais, Marc Antoine Charpentier, Couperin, français – Telemann, Bach, allemands Purcell, Haendel (d’origine allemande), anglais. è Deux artistes marquants de l’Art baroque : Le Caravage et Le Bernin. Le Caravage (Michelangelo Mirisi da Caravaggio)

lui manquaient pour évoquer la beauté du lieu. On peut y voir : Temple Zuiganzi : Ce temple, l'un des plus grands temples zen du Tohoku, a été celui du clan Date de Sendai. Il a été fondé en 828 et le bâtiment actuel construit en 1604. La salle du paon, dans le bâtiment principal, est classée Trésor National. Un musée y est attaché, présentant des biens culturels du temple et de la famille Date. Godaido : Ce petit temple, dépendant du Zuiganji, est construit sur une île de pins accessible

monument doit représenter le point culminant de l’histoire de l’architecture. -> Soufflot (1713 – 1780). Avait déjà construit à Lyon un nouvel hôpital, une bourse et un théâtre : exemples de programmes nouveaux, modernes. Combiner porche et fronton de temple classique avec une coupole qui renvoient aux églises chrétiennes les plus magnifiques (Saint-Pierre à Rome): l’architecture moderne se doit d’être la synthèse des grands thèmes de l’architecture historique. Soufflot se fait conseiller par Perronet :

pas, pour ainsi dire : il semble que la transformation se soit opérée de façon moins progressive que celle de Daphné : « à l’instant où Pan croyait déjà saisir Syrinx, au lieu du corps de la nymphe, il n’avait tenu dans ses bras que des roseaux de marais ». La métamorphose est donc dans les légendes de Daphné et Syrinx le résultat d’une prière, d’un souhait exprimé à voix haute – de même qu’elle a pour conséquence un regret exprimé de la même manière par les dieux poursuivants. Pan, dépité de

Mésopotamie ancienne. Ce sens repose sur une adaptation linguistique et sémantique, mais il est probable que ce toponyme fut ensuite relié à une fonction particulière : dans l’ancienne Mésopotamie, la justice était rendue à la porte du palais royal ou du temple de la divinité principale. Bâb-ili pourrait donc désigner le lieu du jugement divin ou celui où l’on entre en présence de la divinité, un nom qui devint une justification de la renommée de Babylone et de son rôle de capitale politique et religieuse

Mésopotamie ancienne. Ce sens repose sur une adaptation linguistique et sémantique, mais il est probable que ce toponyme fut ensuite relié à une fonction particulière : dans l’ancienne Mésopotamie, la justice était rendue à la porte du palais royal ou du temple de la divinité principale. Bâb-ili pourrait donc désigner le lieu du jugement divin ou celui où l’on entre en présence de la divinité, un nom qui devint une justification de la renommée de Babylone et de son rôle de capitale politique et religieuse

franc-maçon, devenu fonctionnaire de la Révolution et de l’Empire, et d’une mère beaucoup plus jeune, fille de négociants en textiles (passementiers) du Marais, qui s’entend mal avec son vieux mari et le trompe ; enfant mal aimé, il a vécu seul, plus ou moins abandonné, dans un collège à Vendôme, dans le Loir-et-Cher. Sa famille ne s’installe à Paris, dans le Marais, après la retraite du père, qu’en 1814 ; il a quinze ans et il est mis en pension, puis suit de vagues études de droit. Il est ensuite placé durant