Tempérance

hommes de la masse ; et ces derniers, qui sont eux-mêmes incapables de se procurer les plaisirs qui les combleraient, font la louange de la tempérance et de la justce à cause de leur propre lâcheté. Car pour ceux qui ont hérité du pouvoir ou qui sont dans la capacité de s’en emparer (…), pour ces hommes-là, qu’est-ce qui serait plus mauvais que la tempérance ? ce sont des hommes qui peuvent jouir de leurs biens, sans que personne n’y fasse obstacle (…) La vérité, que tu prétends chercher, Socrate

satisfaire tous ses désirs est un principe d'existence, puis en quoi est il nécessaire de limiter ses désirs, et pour finir s'il existe une compatibilité entre morale et désir. Dans le Gorgias de Platon, Calliclès montre que la vertu n'est pas la tempérance, l'obéissance passive à la loi mais au contraire l'excellence dans l'action d'assouvir le plus possible nos désirs, en mettant au service son courage et son intelligence pour se laisser aller à ses désirs et ainsi renverser la hiérarchie platonicienne

religieuse peut plus ou moins se rapprocher des lois et commandements édictés dans les textes sacrés. Sur ce socle, s'appuient diverses morales, dont notamment la doctrine des vertus avec ses quatre vertus cardinales (prudence, justice, courage et tempérance). La distinction morale-éthique fait débat, dans la mesure où morale est le mot latin et éthique le mot grec (voir ci-dessus). Les grandes morales ou éthiques chrétiennes contemporaines en France sont portées par le philosophe Paul Ricœur ou le

Car l'idéal artistique du classicisme s'accompagne d'un idéal moral incarné dans la figure théorique de l'honnête homme. Cette expression résume toutes les qualités que l'on peut attendre d'un homme de Cour : politesse, culture, humilité, raison, tempérance, respect des règles, capacité à s'adapter à son entourage. L’art flamand : Après les années 1380-1420, marquées par le « gothique international », l'ensemble du XVe siècle est celui d'un essor inouï de cet art, en France, en Espagne et au Portugal

Il reproduit ce qu’il connaît des grands maîtres japonais dont il s’inspire.Revenons en aux couleurs Le bleu est une couleur spirituelle qui symbolise la force de l’esprit. C’est une couleur froide mais supérieure qui indique la sérénité et la tempérance, le jaune est une couleur chaude, claire gaie et douce elle contient une chaleur solaire vivifiante et pénétrante. Vincent Van Gogh veut certainement nous aspirer vers l’infini qu’il ressent à travers la nature mais celui-ci n’est pas négatif au

entendre. Car la vie de plaisir ne se trouve point dans d’incessants banquets et fêtes, ni dans la fréquentation de jeunes garçons et de femmes, ni dans la saveur des poissons et des autres plats qui ornent les tables magnifiques, elle est dans la tempérance, lorsqu’on poursuit avec vigilance un raisonnement, cherchant les causes pour le choix et le refus, délaissant l’opinion, qui avant tout fait le désordre de l’âme. » Épicure, Lettre à Ménécée. Dans cette citation Épicure nous explique que

vue moral, l’exigence moral se présente comme un impératif moral indépassable. En effet, Platon le témoigne dans le livre V de La République, le philosophe roi est le dirigeant idéal. Cependant, ce philosophe roi doit avoir toutes les vertus, la tempérance des artisans, le courage du guerrier et l’intelligence des rois et ne doit donc pas tromper. Ce que nous devons comprendre de Platon est que l’artifice politique ne se justifie pas car les idées sont éternelles, immuables et donc il ne se justifie

s’efforce d’apporter une réponse aux nombreuses questions que l’on peut légitimement se poser. L’émerveillement de voir la distance, qui me sépare de ce symbole, se rétrécir, avec l’avancement du travail, me conforte dans ma démarche de recherche où la tempérance guide mes pas de cherchant persévérant souffrant. Je poursuis cette exigence de méthode avec la flamboyance qualifiant avec la plus grande intensité l’étoile qui brille comme une flamme au milieu de la nuit en plein désert comme un centre d’où

plaisir et sans désir. Calliclès prône l’intensité de la jouissance contre l’engourdissement d’une vie faite de satisfactions tant paisibles que prévisibles. b) Position de Socrate (opposition bonheur/plaisir) Le bonheur consiste dans la tempérance (vertu caractéristique du sage, consistant à avoir une attitude correcte, mesurée, modérée face aux désirs, aux passions, aux plaisirs). La vie bonne qui mérité vraiment d’être choisie, est une vie dans laquelle on se commande soi-même. Tout comme

dévolu à l’étude et l’éducation proposé par l’Etat. Liberté, choix des intéressés mais également contraintes puisqu’on tente de s’accomplir. Pas de distinction homme/femme. Compétences différent de qualités morales. Importance de la mesure, la tempérance (dans la lignée de l’Antiquité). Importance de l’éducation : même les vaincus (fils de Picrochole) sont éduqués. Le pouvoir doit se soucier de l’éducation. MONTAIGNE – Les Essais Formation auprès d’auteurs latins. Amitié avec Etienne de