Tempérance

proprement dite : condamnation morale du commerce, obtention d’un gain supplémentaire par rapport à ce que l’on avait au départ. A-M-A’ (Marx) -> recherche d’enrichissement. Aristote la condamne car le sage a une vertu première : la modération, la tempérance, le sage n’est pas dans l’excès. « Le commerçant s’empresse à vivre et non à vivre heureux » Bonheur ≠ Commerce. La question du prêt à intérêts est soulevée, cette pratique est condamnée par Aristote. On fait travailler l’argent (non pas le travail

second vers de la dernière strophe qui résume les conseils précédemment donnés dans les deux phrases suivantes : "Ne dis jamais : Encore, et dis plutôt : Assez..." Les deux adverbes expriment de manière très concise un idéal de modération et de tempérance. Le poète refuse donc toutes les formes d'excès, et explique ce choix dans la chute assez elliptique du poème : Le Bonheur est un Dieu qui marche les mains vides Et regarde la Vie avec des yeux baissés. Ces vers font écho à ceux de la première

monde… La fable et la parabole : Le chapitre final est bien entendu le cœur du projet voltairien car il en propose une « morale » qui renvoie, semble-t-il aux vertus d’un christianisme éclairé : charité, espérance, justice, persévérance, prudence, tempérance et une manière d’individualisme positif et modeste.  voir manuel p°402 et 408 et 409. Travail d’écriture : un pers raconte à candide une aventure malheureuse qui s’achèvera sur une conclusion morale.

ont développé un art du plaisir sexuel, comme ils ont développé un art du boire, un art du manger et cent autres arts. Le plaisir en chaque cas en est augmenté. Et vous vous demandez ce qu'il advient de la tempérance, dont l'objet, comme on sait, est le plaisir. La réponse est simple : la tempérance ne tend pas à diminuer le plaisir du boire, du manger ou de l’amour ; elle apprend à en contrôler l'usage, ce qui est fort différent. Plaisir et joie Retour à la table des matières Nous

reines après Saint Louis. *Renaissance (Louis XII, François Ier, Henri II) : une frise historiée à la base, les transis morbides au-dessus, les orants idéalisés au sommet. Les apôtres autour et les 4 vertus cardinales aux coins : force, justice, tempérance et prudence. *Les Bourbons sont dans la crypte, pour plusieurs raisons : -manque de place pour des grands mausolées, d’autant que les rois accordent l’inhumation à de nombreux personnages annexes : connétables, fils et filles, -fin des pèlerinages

vraiment redouter). Chez les Grecs, la vertu est un principe d'excellence. Elle désigne chez Socrate, en particulier, la science du bien et du mal et le vrai mérite. Les vertus cardinales (autour de quoi tout s'ordonne) sont : prudence, courage, tempérance, justice. Dans cet extrait du « Ménon », Socrate entretiens un débat avec un personnage éponyme, un noble Thessalien et ami de Gorgias nommé Ménon. Après un abord assez agressif de Ménon lors de cette première rencontre, Socrate reste de

c’est la couleur de la vitamine. Complémentaire du orange : Le bleu LE VIOLET : Mélange du rouge et du bleu (matière et antimatière) C’est la couleur de l’équilibre entre le ciel et la terre. Autrement dit le violet c’est la couleur de la tempérance. Il peut y avoir déséquilibre : Quand il y a plus de bleu, l’antimatière l’emporte sur la matière. Si il n’y a plus de matière, on se rapproche de la sagesse, des dieux. Le violet saturé de bleu est la couleur de l’église, de la religion judéo

(cité) et des chefs. Platon explique que dans l'individu il y a trois parties, le cœur l'esprit et les désirs (âme) lesquelles correspondent à trois vertus différentes, le courage, la sagesse et la tempérance (vertus). Tous ces critères réunit = la justice. Il y a quatre vertus cardinales (courage, tempérance, sagesse et justice) et trois vertus théologales (foi, espérance et charité). C'est sur ce socle que se fonde l'histoire morale de l'occident. Platon montre la manière dont les jeunes sont éduqués

de structure et de principe définit à la fois ce qu’est une âme juste comme une Cité juste. La tripartition de l’âme (noùs, thumos, épithumia) est une structure à laquelle correspondent trois vertus (respectivement, la sagesse, le courage et la tempérance). L’identité de structure entre la tripartition de l’âme et de la Cité se présente comme une analogie des rapports d’où se dégagent les fonctions des hommes dans la Cité. Les philosophes- Rois gouvernent la Cité et ont la science du politique car

Le premier magistrat et la première loi d’une république ce doit être la tempérance, et le peuple le mieux gouverné après les spartiates, c’est celui qui approchera le plus de leur frugalité  ». N’aurait-il pas trouvé dans le peuple suisse le peuple qu’il désigne dans ce court extrait ? Sparte, modèle de frugalité et de vertu trouve un nouvel écho dans les cantons suisses de par la pauvreté et la tempérance de ces derniers. Puisque les cantons suisses sont tout ce que ne sont pas les