Tempérance

que l’eau forte (plus que le gel hydroalcoolique). La bruyère nous présente des personnes peu fréquentables qui vouent un désintérêt pour les femmes, les excès de chair et de boisson, ils ne sont pas des honnêtes hommes. (modération, tempérance). Contraire de la doctrine classique. Description physique des individus de cette région: Défauts précis mis en évidence. Chez les femmes, la superficialité des artifices, peindre, étale nous fait reconnaître

relation avec le document 2 ?4-Quel extrait du document 3 peut-on mettre en relation avec le document 4 ?On peut mettre en relation le document 1 avec le document 2 car il parle tout les deux des sacrifice humain « Prudence, invention, magnanimité, tempérance, humanité et religion » l.2On peut mettre en relation le document 3 avec le document 4 car c’est documents parle tous les deux des morts « Des action infernales des chrétiens, douze millions d’Ames, hommes, femmes et enfants sont morts. » l.75-Les

république qui aurait pour fin la justice et qui représente la critique des formes de gouvernement de son époque. La cité : « parfaite », nous dit Platon dans la République sera composé de trois classes : les producteurs auxquels correspondent la tempérance de l’âme, les gardiens dont la fonction nécessite le courage et les chefs qui doivent posséder la sagesse pour gouverner. B- La pensée politique médiévale  Guillaume d’Ockham Guillaume d’Ockham considère que l’autorité légitime vient du consentement

des passions. Puis la solution que propose en creux le poète philosophe, c’est de se détacher du monde des affaires politiques et des passions et se mettre à l ‘écart de manière ascétique. La vertu essentielle est indispensable, c’est la tempérance qui permet d’être quelqu’un de mesurer, de contrôler et de se maîtriser. Pour conclure, Lucrèce entend nous conduire vers la sagesse en brossant un tableau pathético-tragique des hommes esclaves de leurs superstitions ou de leurs passions. Il

Phèdre, Mythe de l'Attelage ailé (cocher= Nous; cheval Blanc= Thumos; Noir= Epi) -L'âme est une entité divisée en trois instances: NOUS > Partie la plus rationnelle (sagesse) THUMOS > Fougue, Coeur (courage) EPITHUMIA > Partie désirante (tempérance) -Corps = pour Platon Proportion, égalité entre les parties= Homme juste Pour Platon la cité est juste si: Nous = Philosophe ("philosophe roi") Thumos = Gardien Epithumia = Artisan Dans la diversité tout est important. Selon Platon

dressera le tableau de l'éloge de l'égoïsme vertueux. Aristote marque un opposition directe avec la première sorte d'égoïsme avec les termes « d'autre part » de la ligne 9. L'individu de ce type est dépeint comme juste (« justice » l.10), tempéré (« tempérance » l.11) et vertueux (« vertu » l.11), ceci reflette donc un autre aspect de l'individu égoïste puisque initialement c'est une bonne personne. Celui-ci recherchera tout ce qu'il y a de mieux pour lui-même, -non pas des richesses matérielles- mais

habilités intellectuelles et où il exerce la vertu. En effet, le sage ne doit vouloir que ce qui dépend de lui et les éléments extérieurs n’existent pas car désirer ce qui ne dépend pas de nous nous rend malheureux et esclaves. Le bonheur est dans la tempérance, la réflexion et par la même, les ignorants ne peuvent le connaître. Platon comparait les irréfléchis à des passoires qui ne peuvent rien contrôler ni rien retenir et Descartes quant à lui comparait le simple d’esprit à une bête sans conscience

Le temps du travail Les horaires de travail, objet du pouvoir de direction & tempérance du principe - Principe : « le changement d’horaires consistant en une nouvelle répartition au sein de la journée, alors que la durée et la rémunération restent identiques, constituent un simple changement des conditions de travail relevant du pouvoir de direction » donc faute en cas de refus (Soc 20 février 2007). Tempérance du principe lorsque la modification porte une atteinte évidente à l’équilibre implicite

de cavernes, au sommet des montagnes. Enfin, leur aspect monstrueux (géant à tête de montagne, à la voix effrayante (signe distinctif des monstres dans l’épopée), à l’œil unique) les oppose également à l’humanité. Ces êtres, enfin, n’ont pas la tempérance ni les valeurs des hommes (Polyphème ne dévore ainsi pas les compagnons d’Ulysse par haine !) mais n’écoutent que leur ventre. Par contraste, Polyphème met en valeur l’humanité d’Ulysse. Ce n’est cependant pas l’humanité des valeurs sociales,

des belles choses joint au pouvoir de se les procurer. » Socrate remarque que, tout d’abord, tout être humain a le désir des belles choses et de plus, l’exercice du pouvoir n’est vertu que s’il est accompagné d’une des vertus (comme la justice, la tempérance, le courage…). Ménon a donc encore tort dans cette troisième définition car il définit la vertu générale en se servant d’une vertu particulière. Ménon ne sait plus quoi répondre à la question « Qu’est-ce que la vertu ? » et accuse Socrate de