Tempérance

dialogue. __________________________________ La première partie du texte, qui est aussi la plus longue, présente le point de vue de Socrate. Pour ce dernier, la vie heureuse – c’est-à-dire pleinement satisfaisante – n’est possible que grâce à la tempérance, c’est-à-dire à la vertu permettant de modérer les désirs. Le dérèglement des désirs, au contraire, ne saurait conduire qu’au malheur. Afin d’argumenter cette thèse, Socrate propose une image. L’homme tempérant est comparable à un homme possédant

égoïste ss considération pr les autres...2 _Pas de démocratie, seulement élite. « Mieux vaut commettre que subir l'injustice ». _Absence de lois civiques, inventées par les faibles pr se protéger → prétendu égoïsme. | _ ….Ou résister : tempérance. Qd on désire c'est qu'on manque de qqch → désir = souffrance. Etat de désir = état impatience dont la dureté est atténuée par anticipation de l'imagination. Source de plaisir(certitude de l'obtenir)/source de désespoir. Doctrine de Socrate

en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle. » Simone de Beauvoir, Le Deuxième sexe. « Laborare est orare » (Travailler c'est prier). Devise des moines bénédictins. « La tempérance et le travail sont les deux vrais médecins de l'homme : le travail aiguise son appétit et la tempérance l'empêche d'en abuser. » Jean-Jacques Rousseau, Émile ou De l'Éducation. « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin. » Voltaire, Candide. « Il faut travailler

hommes fera loyalement égorger des milliers de nos frères, la partie du genre humain consacrée à l’héroïsme sera ce qu’il y a de plus affreux dans la nature entière. Que deviennent et que m’importent l’humanité, la bienfaisance, la modestie, la tempérance, la douceur, la sagesse, la piété, tandis qu’une demi-livre de plomb tirée de six cents pas me fracasse le corps, et que je meurs à vingt ans dans des tourments inexprimables, au milieu de cinq ou six mille mourants, tandis que mes veux qui s’ouvrent

reconnait comme moralement fondé, en égard à la dignité de la personne humaine). Platon : La justice doit être une vertu morale de chaque individu. C’est le rôle de l’éducation d’élever chacun à cette vertu suprême qui implique sagesse courage et tempérance. L’enjeu de la politique c’est précisément de rendre les citoyens meilleurs, en leur faisant acquérir cette vertu qu’est la justice contre leur penchant égoïste. John Rawls : Il faut, au nom de la justice, toléré les inégalités de droits, à condition

 » « Que je ne vous entende plus proférer cette horreur-là », « apprenez que », « qu’on supprime ces larmes »« Prends-y garde », « si tu n’as pas des sentiments pus relevés, je te retranche du noble corps des femmes »A2) Arthénice fait preuve de tempérance et se montre plus conciliante.« ma belle enfant » :« pour la consoler » :« Ne vous emportez point » :« je vous réponds d’elle » :« je vous assure qu’elle sera charmée »A3) Lina est une jeune fille sensible, qui cherche à comprendre et qui s’oppose

plaisir, le bonheur. En vérité on ne recherche pas les plaisirs mais la vie heureuse. Certes il n’y a que le plaisir qui compte mais pas dans la totalité de la vie, car le bonheur est le vrai but de nos actions. Finalement c’est dans la tempérance et en vivant au jour le jour que le plaisir pourra nous permettre d’atteindre le bonheur. Mais le bonheur est-il durable ainsi?

recherche de ce qui est simple et naturel, se heurte à la tendance baroque. L'idéal moral ou les qualités prônées par ce mouvement littéraire sont la politesse, l’humilité, le respect des normes et valeurs, la sociabilité, la culture, la raison et la tempérance. Réception : Représentée pour la première fois le mardi 26 décembre 1662 au théâtre du Palais-Royal, la pièce fut immédiatement un succès .Les représentations suivantes confirmèrent ce succès.Rapidement, la pièce fut la cible d'attaques, essentiellement

une aristocratie du savoir, ceux qui ont la connaissance ont le pouvoir. Elle est ainsi composée en trois parties, comme l’âme et la vertu. Il est très important d’apprendre la vertu au citoyen. Elle est composée de la sagesse, du courage et de la tempérance. Pour Platon, il est nécessaire d’instaurer ce régime autocratique car, dès que l’on dépasse les bornes du strict nécessaire, on entre dans le désir, qui lui, n’a aucune limite. De part ce fait, on aboutit inévitablement à la guerre. Comme, seuls

rien d’autre sinon que la douleur soit absente du corps une fois retirée »Ce qui définit le stoïcien :Le stoïcien doit rester indifférent à tout ce qui ne dépend pas de lui. Ainsi, il cultive le courage, la grandeur d’âme, le discernement de la tempérance. Ainsi le sage se muscle moralement pour ne pas laisser entrer la douleur.L’Epicurien vers la liberté :De par la formation des corps par le choc des atomes entre-eux qui composent les êtres naturels, les Epicuriens croient en la capacité de la nature