Tempérance

médaillon à l'âge auquel il a peint ce tableau. Ce jeu sur le passé-présent exprime la fuite du temps, à laquelle l'artiste échappe grâce à la pérennité de son art qui lui donne accès à l'éternité. On peut voir dans le verre à demi-plein le signe de la tempérance nécessaire pour résister aux vanités du monde. Réfléchir : 1. Certains objets évoquent les arts, lesquels ? Palette de peinture, tableau du « Bouffon jouant du luth de Frans Hall, flûte 2. Enumérez et classez les objets selon les symboles exprimés:

qu’elle est. : Il faut un équilibre entre les parties de son âme. Exclus : rhéteur, sophiste, … - Pour diriger la société : Connaissance philosophique, Expérience, Supérieur à ceux qu’il dirige dans les composantes de la vertu (sagesse, courage, tempérance, justice). + Mémoire - Vrai philosophe est rare mais pas impossible et l’éducation est nécessaire mais non suffisante. P.14-16 : - Le philosophe est mal accepté car ils sont considérés comme inutiles par les sophismes. - L’égoïsme nuit au

sans le savoir. → réminiscence : ressouvenir incertain, sans reconnaissance du passé à proprement parler. « souvenir et retour à l'esprit des idées contemplées autrefois par l'âme, avant son séjour sur cette terre. » Sagesse, courage, justice, tempérance : → sagesse : caractère de celui qui est raisonnable, ou qui fait preuve de modération dans les désirs (sens courant). Savoir, science, philosophie connaissance parfaite, englobant généralement l'idée de vertu ; passage progressif au sens C,

divin qu’on est prêt à se connaître soi-même (Platon, 1950; 133c). Cet endroit de l’âme, c’est l’intellect (Platon, 1950 : 134e) dont l’excellence qui est semblable au divin est la capacité de réflexion. La connaissance de soi, aussi appelée tempérance, permet de « savoir ce qui est à nous et ce qui est bon comme ce qui est mauvais (Platon, 1950 : 133c). » Le dialogue montre aussi que se connaître soi-même est la condition de plusieurs choses. Premièrement, l’ignorance de soi (double ignorance)

être impénétrable, tout en sachant voir clair en les autres : c’est l’art de la « dissimulation » (malgré sa tendance à toucher de près à l’immoralité). On doit être vif (c’est-à-dire « avoir du plaisir à vouloir »), en faisant toutefois preuve de tempérance. 3. La moralité : « sustine et abstine » → écarter les passions et apprendre à se passer de ce qui nous est refusé. Cela demande un certain courage. La sympathie (sensibilité) peut être nocive si elle est trop vive. Différence sympathie /

hommes fera loyalement égorger des milliers de nos frères, la partie du genre humain consacrée à l’héroïsme sera ce qu’il y a de plus affreux dans la nature entière. Que deviennent et que m’importent l’humanité, la bienfaisance, la modestie, la tempérance, la douceur, la sagesse, la piété, tandis qu’une demi-livre de plomb tirée de six cents pas me fracasse le corps, et que je meurs à vingt ans dans des tourments inexprimables, au milieu de cinq ou six mille mourants, tandis que mes veux qui s’ouvrent

passivité· S’attacher à animalité, extériorité, privés d’Humanité, n-m = fragmentation, dispersion de désirsVertu = ataraxieLe PhédonMorale qui prescrit de refuser les plaisirs, s’imposer des privations parvenir à plaisirs sup, plus intenses = tempérance Véritable morale dans le savoir La perte l’emporte sur le gain = perte de liberté = « une vertu-service », « une vertu qui trompe-l’œil » Pas de calcul des désirsCorps comparé à une prison (sensible, matérialité) ns détourne de l’ordre intelligible

sécurité de sa vie ; à la Force, en cas de douleur corporelle qui n’entraîne pas la mort, de retenir fortement au fond de sa pensée la Volupté, sa souveraine, afin que le souvenir des délices passées amollisse l’aiguillon de la douleur présente ; à la Tempérance de régler la mesure des aliments et, si certains sont délectables, de prévenir tout excès qui troublerait la santé et compromettrait gravement cette volupté par excellence que les épicuriens situent dans le bon état du corps12. Augustin touche ce

chaque fois que quelqu’un la considère. Par exemple, la vérité suivante : « si le plaisir provoque la perte de l’estime de soi, il n’est pas bon. » Tout le monde peut savoir que ceci est vrai et en a peur. On verra une autre vérité à propos de la tempérance au chap. X, 3 : cette vertu ne peut recevoir de sens que si on ne fait pas du simple plaisir le contenu du bonheur. Sinon, on tombe dans la contradiction. 7 Pour Sénèque, le plaisir est passager, il réside dans le mouvement, c'est-à-dire

discipline qui s’intéresse aux principes de l’action individuelle qui est le principe ultime de la moralité. Qu’avec l’aide d’un ami nous sommes capables de prendre nos âmes rationnels et les changer pour qu’ils soient rationnels. Ceci s’appelle la tempérance. Aussi, nous sommes nées avec une compréhension entre une bonne disposition et une mauvaise. Cette philosophie démontre l’opinion d’Aristote que notre discipline est innée et nous n’avons pas besoin d’avoir des lois pour contrôler nos comportements