Taylorisme Et Syndicalisme

+ sur internet Les grandes étapes de la gestion des ressources humaines [pic] 1 + sur internetDe l'administration du personnel aux relations humaines [pic] La première moitié du xxe siècle est marquée par les modèles productifs du taylorisme puis du fordisme. Au départ, dans ces modèles, il n'existe pas de fonction dévolue au personnel, l'entrepreneur prenant en charge les quelques aspects rudimentaires et essentiellement administratifs de la mission (versement des salaires en espèces

Salariat = on travail pour quelqu'un d'autre. Désormais salaire pour manger, et consommation = ceux qui produisent et ceux qui consomme. Dans la production, on vend sa force de travail sur le fameux ''marché du travail''. En bref, ensuite : Taylorisme (critique ensuite, notamment humaniste, économique, pratique et épistémologique). Taylor n'a pas du tout de point de vue sur l'humain et son activité. Il ne le considère pas. Il voulait que les gens ne pensent pas. Il voulait supprimer le rêve,

personnelle sur la place de ces modèles au Québec ou au Canada. Tout d’abord, débutons par le Japon. Les quatre piliers du système industriel japonais sont l’emploi à long terme, le système Nenko de promotion et de salaire versé selon l’ancienneté, le syndicalisme d’entreprise et la culture de respect mutuel propre au Japon. Au Japon, le processus de recrutement de nouveaux employés est une activité très importante, car souvent celui-ci vise la sélection d’individus qui obtiendront des emplois à long terme

synthétiques, engrais, médicaments… Eude p22-23 « Croissance & industrialisation des années 1850 aux années 1920 » Les méthodes de GESTION DU TRAVAIL sont marquées par la mise au point du travail à la chaîne par l’ingénieur américain TAYLOR (on parle de Taylorisme). En décomposant à l’extrême et en chronométrant les tâches des ouvriers, de grands gains de productivité sont obtenus (industrie automobile notamment : Ford aux USA). OST Histoire des arts p42-43 « Mucha : l’art au service de la société de consommation

1.Les prémisses de la gestion des organisations a)L’école rationaliste classique •Taylor et le Taylorisme •Le compromis Fordiste •Weber et la rationalisation de l’organisation •Fayol et la « science administrative » b)L’école des relations humaines (ERH) •L’équipe de Harvard et Elton Mayo •Le mouvement « béhavioriste » et la motivation 2.Les structures organisationnelles a)Le fonctionnement des organisations b)Les diverses formes organisationnelles c)Vers un modèle de réseau 3.L’étude

La culture japonaise privilégierait des communications face-à-face, ce qui débureaucratiserait l'entreprise. Le processus de recrutement où l'on s'assure de la conformité des employé à la culture d'entreprise est un thème récurrent. Alliée à un syndicalisme d'entreprise, la loyauté des employés est gagnée à la fois par ce processus idéologique de socialisation, par l'emploi à long terme et par un système de compensation salariale relié aux performances de l'entreprise. La grande entreprise paternaliste

politique et social. Grace à cette révolution, notre monde a pu jouir de transformations conséquentes dans le monde du travail ou encore d'un développement du syndicalisme. Question n°2 : La Révolution Industrielle a eu d'importantes conséquences sur l'économie. Elle nous a offert une nouvelle organisation du travail : le Taylorisme. Cette méthode fut mise au point par Taylor afin d'éviter la flânerie. Il va qualifier cette nouvelle mise en oeuvre du travail : Organisation Scientifique du

ses taux d’intérêts l’achat d’obligation d’Etat est profitableles capitaux sont détournées des entreprises vers l’Etatles entreprises doivent donc augmenter leurs dividendes pour trouver de nouveaux capitaux. -Les règles du mangement comme le taylorisme et les écoles de management sont contestées aux USA alors que le modèle japonais est donné en exemple. La légitimation de la shareholder value : -Les revendications des actionnaires sont légitimées. Friedman pense que c’est aux actionnaires de

droit du travail : le droit du travail se complexifie. En mars 1919, une loi établit que le personnel peut négocier ses conventions collectives. Donc, il faut mettre une personne qui s’occupe de ces négociations. • Montée en puissance du syndicalisme (ou acteur syndical ?) (syndicat depuis 1884) : pour négocier il faut la aussi désigner un chef du personnel. =>La mission recrutement se fait par les « tests psychologiques ». Ce recrutement s’instrumentalise avec des outils de l’armée américaine

La culture japonaise privilégierait des communications face-à-face, ce qui débureaucratiserait l'entreprise. Le processus de recrutement où l'on s'assure de la conformité des employé à la culture d'entreprise est un thème récurrent. Alliée à un syndicalisme d'entreprise, la loyauté des employés est gagnée à la fois par ce processus idéologique de socialisation, par l'emploi à long terme et par un système de compensation salariale relié aux performances de l'entreprise. La grande entreprise paternaliste