Taylor Ciblage Inflation

le cadre standard, la littérature a étudié la mise en oeuvre d’autres régimes de politique monétaire, en commençant par la flexibilisation (Woodford (2012)) pour aller jusqu’à une révision plus radicale (Giavazzi and Giovannini (2010)) du ciblage de l’inflation. Cependant, dans le modèle néokeynésien canonique, le taux d’intérêt directeur usuel est suffisant pour stabiliser parfaitement l’économie, puisque la cible d’inflation et l’annulation de l’écart de pro- duction cöıncident à

relativement récente, toute une panoplie d'exemples de gouvernements qui ont cédé à cette tentation: 1. L'hyper-inflation en Allemagne à la suite de la première guerre mondiale - Marks allemands - Indice des prix de gros Décembre 1918 Décembre 1919 Décembre 1920 Décembre 1921 Décembre 1922 Décembre 1923 Source Lewis, Economic Survey, 1919-39 2. Expériences diverses d'hyper-inflation Pays Périodes Pourcentage moyen d'inflation (par mois) 47.1 322.0 365.0 46.0 19 800.0 81.1 57.0 Encaisses réelles

Ind´pendance faible e La politique mon´taire e Comportement des banques centrales Conclusion La r`gle de Taylor e Comparaison Fed et BCE Alex et al. Introduction La Fed et la BCE La politique mon´taire e La fonction de r´action de la e banque centrale Canaux de transmission Strat´gie de e politique mon´taire e BCE Fed Les autres Banques Centrales Mise en oeuvre et instruments R`gle de Taylor e i ∗ = r ∗ + Π + α(Π − Π∗ ) + β(y − y ∗ ) o` r ∗ est le taux d’int´rˆt d’´quilibre u ee e et Π∗ est le

inflationniste D’où une obligation de rendre compte (accountability) et de transparence Séminaire Master 2 Macroéconomie financière et développement, Université du Sud Toulon Var 8 1.1 Les objectifs des banques centrales  Stratégie de ciblage de l’inflation : inflation targeting  Une politique de cible d’inflation est caractérisée par :     Définition et affichage d’une cible d’inflation Engagement ferme de la poursuite de cette cible Utilisation de nombreux indicateurs pour fonder les

souvent lieu à une forte variabilité de la production, de nombreux économistes plaident en faveur d'une politique monétaire qui conjugue les gains de la cohérence temporelle et les avantages de la flexibilité (BARRO et GORDON, 1983 ; ROGOFF, 1985 ; TAYLOR, 1998). Une telle politique se définit comme une règle monétaire active, qui autorise une réaction systématique des autorités monétaires aux écarts de production et d'inflation, tout en préservant la comptabilité des objectifs de long terme de la

-une offre supérieure à la demande => faible inflation des prix et des salaires Si l’écart est trop important => déflation ( ralentissement de l’activité économique ) SI PE > PP, il y a un OG positif. Il traduit : -des entreprises qui tournent à plein régime et vident leur stock sur le marché des biens et des services. -un taux de chômage inférieur au taux de chômage du LT sur le marché du travail -une demande supérieure à l’offre => inflation rapide des prix et des salaires. La plupart du

-une offre supérieure à la demande => faible inflation des prix et des salaires Si l’écart est trop important => déflation ( ralentissement de l’activité économique ) SI PE > PP, il y a un OG positif. Il traduit : -des entreprises qui tournent à plein régime et vident leur stock sur le marché des biens et des services. -un taux de chômage inférieur au taux de chômage du LT sur le marché du travail -une demande supérieure à l’offre => inflation rapide des prix et des salaires. La plupart du

américaine) a donc porté ses objectifs principaux à la réduction de l’inflation de base avec pour élément de référence l’indice des prix à la consommation. (D’après le figaro et le nouvel observateur). Taux de change A TROUVER AU DERNIER MOMENT Inflation D’après le figaro, au 23 Novembre dernier, l’inflation a atteint 2,7 % sur un an en Octobre selon l’indice des prix à la consommation des ménages publiés par le département du Commerce. D’après le nouvel Obs, ce chiffre est le plus élevé depuis

cible de change par certains pays du G7 (1985, 1987) et enfin, au cours des années 1990 et des années 2000, la création de l’euro, la généralisation du modèle de la banque centrale indépendante, l’adoption par beaucoup d’entre elles de stratégies de ciblage de l’inflation et l’importance grandissante des économies émergentes, dont les préférences et les choix sont différents de ceux des 4 économies avancées . 3 2 Nous parlons alternativement de “régime” monétaire et de “système” monétaires. Le terme

microéconomique traditionnelle. b. Marché et défaillances du marché. c. Nouvelles théories : une meilleure prise en compte de la concurrence imparfaite. B- La macroéconomie. a. Croissance économique. b. Cycle économique. c. Politique monétaire et inflation. d. Politique budgétaire et fiscale. C- Théories et études empiriques. a. 2.3.1 Les théories empiriques. b. 2.3.2 Les études empiriques. c. 2.3.3 La théorie des organisations. III- L'économie appliquée réduite à la classification du Journal