Tautologie

pour le philosophe puisqu’il sait que ce n’est que par là qu’il peut accéder à une vie véritable. (Conclusion.) Nous ne pouvons vivre sans philosopher si c’est en philosophant que nous définissons ce qu’est vivre véritablement. Cette apparente tautologie indique la difficulté de notre question. Car vivre est à la fois ce qui est pour nous le plus immédiat et le plus problématique. Nous pouvons toujours refuser de faire face à notre condition d’être vivant par le sens que nous avons à créer, ce qui

: • saint = indemne, sans compromis avec les forces de mor • sacré = inviolable, intouchable Aussi la religion peut-elle se définir comme foi en la vie et culte, au sens de soin, rendu à celle-ci. « La religion du vivant, n'est-ce pas là une tautologie ? Impératif absolu, loi sainte, loi de salut : sauver le vivant comme l'intact, l'indemne, le sauf (heilig) qui a droit au respect absolu, à la retenue, à la pudeur. » (Jacques Derrida, Foi et Savoir, p. 75)     B. Spécificité La vision religieuse

Nullement. En effet, Épictète va énoncer sous forme hypothétique ce que signifie être dans l’erreur. D’abord, Épictète énonce comme première hypothèse que le dommage le plus grand est la perte du plus grand des biens. Cette hypothèse paraît exprimer une tautologie. Si le plus grand des biens disparaît, il manque à celui qui l’avait. Apparemment, il ne peut subir un plus grand préjudice, qu’il soit physique ou moral. Épictète précise dans la deuxième hypothèse que le plus grand bien réside dans la volonté

16 4/ FIGURES DE PENSEE. 17 4/ ARGUMENTS ET PRINCIPES DE PERSUASION. 19 A) LES DIFFERENTS TYPE D’ARGUMENTS. 20 1) L’EXEMPLE. 20 A) LE PRECEDENT. 20 B) L’ARGUMENT D’AUTORITE. 20 C) LA FORMULE. 20 D) L’ANALOGIE. 20 2/ L’ENTHYMEME. 20 A) LA TAUTOLOGIE. 20 B) L’ALTERNATIVE. 21 C) LE DILEMME. 21 B) LE PRINCIPE DE NON-PARAPHRASE. 21 C) LE PRINCIPE DE FERMETURE. 21 D) LE PRINCIPE DE TRANSFERT. 22 5/ PHILOSOPHIE DE LA RHETORIQUE. 23 A / L’ECART 23 B/ RHETORIQUE ET SINCERITE : LE POUVOIR. 24

litote, métaphore, métonymie, mythe, néologisme, onomatopée, oxymoron, paradoxe, paraphrase, parodie, pastiche, périphrase, personnification, pléonasme, prosopopée, question rhétorique, redondance, satire, solécisme, symbole, syllogisme, synecdoque, tautologie, zeugma Pour aller (beaucoup!) plus loin : http://www.unige.ch/lettres/framo/enseignements/methodes/frhetorique/, Cours sur les figures de rhétorique Laurent Jenny, © 2003, Dpt de Français moderne – Université de Genève http://www.hku.hk/french/dcmScreen/lang3033/lang3033_intro_figures

« réel ». Monologue intérieur : rendre l’immédiateté de la pensée. Fulguration d’une perception. Recours à la phonétique 2. Ruptures l.12-13 : toute la phrase est soutenue, sauf le dernier mot, tarin, familier ; ou expressions toutes faites et tautologies. = Langue nouvelle, provocatrice, qui multiplie les effets de comique. Démarrage tonitruant, comique. Appel au visuel. Le travesti contre la rombière malodorante. « Mots d’esprit » : comique. Clichés culturels (« Fior »…) Texte 3 : L’Etranger

Implication réciproque | P Q P Q | P ¬Q ¬P ↑ Q ¬P → ¬Q | | Q | | 0 | 1 | P | 0 | 1 | 0 | | 1 | 1 | 1 | | | NON-ET | P ↑ Q P | Q P NAND Q | P → ¬Q ¬P ← Q ¬P ¬Q | | Q | | 0 | 1 | P | 0 | 1 | 1 | | 1 | 1 | 0 | | | Tautologie | | P ¬P | | Q | | 0 | 1 | P | 0 | 1 | 1 | | 1 | 1 | 1 | | | Annexes[modifier] ------------------------------------------------- Articles connexes[modifier] * Mot * Syntaxe * Nature (grammaire) * Syntagme *

absurde du syllogisme "donc Socrate est un chat" consiste en un détournement inattendu et saugrenu même, de la logique. On peut relever aussi des formulations qui relèvent du paralogisme, autre forme de déviation de la logique, aboutissant à une tautologie, telle que le raisonnement produit conclut que a = a. Ainsi au tableau II de l'acte II, lorsque Béranger dit à Jean : "nous avons raison tous les deux (…) au sujet de la même chose". Le comique de mots le plus évident est celui de l'onomastique

réalisation est incontournable. Citations Joseph Kosuth « Tout art (après Duchamp) est (par nature) conceptuel car l'art n'existe que conceptuellement. » « Ce que l'art a de commun avec la logique et les mathématiques, c'est qu'il est une tautologie ; c'est-à-dire que l'« idée d'art » (ou l'« œuvre d'art ») et l'art sont la même chose et peuvent être évalués comme art sans qu'il soit nécessaire de sortir du contexte de l'art à titre de vérification. » « La seule exigence de l'art s'adresse

piège du physicien qui dit que la question du temps est épuisée par le fait que le point est mathématisé. Pour lui, le temps c’est la variable t. St Augustin, Pascal : il n’existe pas de définition du temps, autrement que par des métaphores ou des tautologies. On ne trouve pas de définition du temps qui ne présuppose pas l’idée du temps. Se méfier de la polysémie du mot « temps » : le mot temps est utilisé pour dire la succession, la durée, le changement, le devenir, la vitesse, la simultanéité etc