Tautologie

d’analyse littéraire, par exemple pour la classe de seconde : focalisation, strophe, connotation, allitération, phrase simple/complexe, personnification, modalisateur, cadence majeure, parataxe, chiasme, métaphore filée, lieu commun, antiphrase, tautologie, hyperbole, leitmotiv, paradoxe, paronomase, ellipse, concession, style indirect libre, tournure impersonnelle, zeugma, litote, diérèse, rejet, hémistiche, tirade, stichomythies, etc. * Commenter un texte c’est expliquer ce qu’il dit et montrer

certain pouvoir de persuasion. Tautologie (tauto signifiant « le même ») est le fait de répéter la même chose pour mieux marquer les esprits. Le prédicat ne dit rien de plus que le sujet (« non, c’est non », « avant l’heure, c’est pas l’heure », « un ordre, c’est un ordre » « le cognac, c’est le cognac », « une femme est une femme »  A=A). Elle est toujours agressive. Elle dispense des idées, faire de cette licence une dure loi morale. Lapalissade : tautologie tellement vide d’intérêt (creuse)

que les personnages sont bourgeois, veulent une vie de confort et de repos, et sont plongés dans une situation essentiellement non bourgeoise – le meurtre gratuit. Parce que Truelle tue gratuitement : elle tue parce qu’elle tue : c’est une tautologie, en même temps qu’une énigme – à laquelle la pièce ne donnera aucune réponse. Ils sont absurdes, ces meurtres, commis toujours en coulisses, sur des victimes dont on ne connaît que les noms ; sans doute qu’ils ne sont, au fond, pas si différents

mariage conventionnel de l’époque. En définitive cette intrigue sur le mariage se résume entre la première et la dernière réplique puisque s’oppose deux mots majeurs : sentiment et mari. Le mot sentiment renvoi a l’amour alors que dans la réplique la tautologie employé par Lisette « un mari ? C’est un mari » fonde le mariage sur des considérations sociales. Dans cette première partie, l’opposition sociale entre les deux personnages constitue aussi une opposition de point de vue, de personnalité, et une

Pangloss est un bavard et qu’il a un discours sur tout. Pangloss enseigne la « métaphysico-théologo-cosmonigologie » Nigo/logie :est la science des NIGAUD = idiot , cela détruit la valeur élogieuse de son enseignement. Pangloss se réduit a une tautologie, il n’ya point d’effet sans cause ,or c’est une vérité générale mais pour Pangloss c’est plus profond , toutefois il inverse les effets et les causes ( nez pour porter les lunettes ) et rapproche artificiellement ce que rien ne relie , ses démonstrations

un nombre impressionnant d’entorses aux principes logiques, avec la plus tranquille assurance. Contamination de la pensée par des idées reçues prises pour des évidences, sophismes, analogies aventureuses, inductions abusives, sans oublier la tautologie. Les personnages offrent un panorama caricatural des incertitudes de la Raison. Non contents de raisonner à tort et à travers, et en général de travers, les Smith et les Martin, à l’occasion des mystérieux coups de sonnette, abordent des questions

Or un dénouement classique nécessite la présence de tous les personnages sur scène. Ecrite comme une partition musicale, on retrouve un crescendo dans la destruction du langage accompagnée de l’ascension de la violence. Cela commence avec des tautologies « on ne fait pas briller ses lunettes avec du cirage noir », ensuite le son gagne le sens « j’aime mieux tuer un lapin que de chanter dans le jardin », puis une juxtaposition de noms communs répétés indéfiniment, faisant référence aux exercices

typique de l’argument tautologique. À la première lecture, cet argument semble correct, mais si l’on voit de plus près, nous devons remarquer que cette définition de lumière n’ajoute aucune information que des transformations radicales. Mais si cette tautologie est faite dans un contexte plus compliqué et sous une apparence plus variante, est-ce que nous pouvons encore la distinguer comme fallacieuse? En un mot, en tant qu’un outil, la qualité de l’argument n’est pas garantie. Par conséquent, les destinataires

indemne, sans compromis avec les forces de mort. Sacré  intouchable, inviolable. Jacques Dérida Foi et savoir « la religion peut se définir comme foi en la vie et culte (au sens de soin rendu à celle-ci). La religion du vivant n’est-ce pas là une tautologie, impératif absolu, loi sainte, loi de salut : sauver le vivant comme l’intact, l’indemne, le sauf (heilig) qui a droit au respect absolu, à la retenue, à la pudeur. »  La religion est la foi en la vie au-delà de la vie, ce qui permet de manifester

le fond. Cela va à l’encontre de l’éducation. Au final, il complique la leçon afin de la rendre absolument incompréhensible alors que d’après lui, il s’agit là d’une notion très facile et accessible à tous puisqu’il introduit son cours avec la tautologie « toute langue n’est en somme qu’un langage ». De plus, les exemples dont il se sert pour appuyer son discours n’ont vraiment aucun sens « trois heures, les enfants, le coq au vin, l’âge nouveau, voici la nuit », ils sont incohérents avec le «