Tabarin

17 è = siecle du théatre Tout début : troupes ambulentes dont Tabarin et Mondor, qui ont attiré molière : farces et dialogues Différents théatres et troupes : L’hotel de bourgogne : a l’origine résidence des ducs de bourgogne et de Jean-sans peur. 1548 propriété des Confrères de la Passion et de la Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ, devient lieu de célébration monopole du theatre car penalise les troupes si elles ne vont pas la 1628 : troupe de valéran lecomte y va ss l’ordre de

dell ’ arte donnèrent naissance en France à quelques variantes afin de mieux satisfaire le public français de l’époque. C’est donc de cette façon que les personnages de Turlupin, Gros-Guillaume, Le Père Gaultier-Garguille, Guillot-Gorju et enfin Tabarin sont nés. III- Influence de la commedia dell'arte chez Marivaux. Dès le début de sa carrière, Marivaux écrivit pour une troupe italienne dont la spécialité était la commedia dell arte. Il a trouvé parmi les acteurs italiens qui jouaient à Paris

il avait commencé : " On ne dort point, dit-il, quand on a tant d'esprit ", vers qui sert précisément de transition entre les deux attitudes. Et lui précisément s'en va dormir! I/ Une farce a) L’intrigue de la farce Sources : la farce de Tabarin, le personnage comique de Cyrano de Bergerac, dans la pièce du Pédant Joué, où Garo est le villageois qui se parle à lui-même Un paysan remet en question l’oeuvre de Dieu avant de s’allonger sous un arbre et de recevoir un gland, qui lui démontre

13   Oui  ou  non   14   La  Marseillaise   15   L’apparition   16   La  peur   17   Feu  d’artifice      18   Brosse  à  cheveux   19   Les  tours  d’Eliane   20   Au  bal  Tabarin   21   Femme  portative   22   La  couture   23   Où  se  fabriquent  les  crayons   24   Les  amis   25   SADE   26   SADE         II. LES PRINCIPAUX THEMES SURREALISTES « ELUARDIENS

siècle. → poète et écrivain français né polonais de l'Empire russe. → né en 1880 et mort en 1918 → famille noble → bon élève mais échoue au baccalauréat → il vit à Paris où il travaille pour un avocat → 1901 il écrit sson premier arcticle pour Tabarin, hebdomadaire satirique. Et ses premiers poème dans la revue La Grande France sous un pseudonyme Il tombe amoureux d'Annie Playde qui refuse ses avances. IL écrit sa douleur dans ses poèmes. → il publie ses contes et poèmes dans des revues et prend

Alberto Eugenio Giovanni puis il est engagé un mois comme nègre (= Auteur payé pour écrire des ouvrages qui sont signés de la main d'un autre),de l'avocat Esnard pour écrire le roman-feuilleton, En juillet 1901, il écrit son premier article pour Tabarin, en septembre 1901 ses premiers poèmes dans la revue La Grande France sous son nom Wilhelm Kostrowiztky, En septembre 1911, accusé de complicité de vol de La Joconde parce qu'une de ses relations avait dérobé des statuettes au Louvre, il est emprisonné

au IIIe chant de son Art poétique: Molière eût pu prétendre au titre de prince des poètes comiques s’il n’eût «quitté, pour le bouffon, l’agréable et le fin, / Et sans honte à Térence allié Tabarin. / Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, / Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope». Térence, Tabarin: la formule est juste, quoique incomplète. Les Fourberies de Scapin reprennent en effet l’intrigue du Phormion de Térence et empruntent aux farces tabariniques la scène du sac bâtonné (III, 2)

jugement à la fois altier (les ailes) et griffu – présence en filigrane d'une menace et d'un combat. Le combat contre le « nous » et le « on » qui incarnent une vision normative du monde, tandis qu'au contraire : « la source jaillit de la mer » (Au bal Tabarin). Eclairage grammatical : une injonction (une affirmative) car le dessin comme le poème sont des affirmations – dont l'objectif est la recherche de la vraie beauté contre la fausse : « ne laissons pas embellir ce qu'on nous oppose ». L’écoute de

s'affirme dreyfusard. En 1899, il s’installe avec sa famille à Paris. En fréquentant les bibliothèques et en fouillant les boîtes des bouquinistes, il trouve son pseudonyme définitif: Guillaume Apollinaire. Dès le début du XXe siècle, il travaille à Tabarin, un hebdomadaire satirique de Montmartre. Il publie ses trois premiers poèmes, dans la revue La Grande France. Il rencontre et tombe amoureux de Linda Molina da Silva, sœur d'un de ses amis, et qui lui inspire des poèmes. En 1902, à l'automne, il

collèges jésuites, les farces et les spectacles de la commedia dell’arte manifestent le théâtre comique vivant du début du XVIIe siècle. La farce est un spectacle comique populaire proposé sur des tréteaux de foire où l’on voit un meneur de jeu (Tabarin est le plus célèbre) brocarder de manière burlesque des maîtres pédants et trop sûrs d’eux. La commedia dell’arte, théâtre comique populaire né au XVIe siècle en Italie, est fondée sur l’improvisation de personnages types (Arlequin, Pantalon, Colombine…)