Synesthésie

tourner la tête, on a plusieurs images à déchiffrer. * Force poêtique des images * A partir des yeux se créer un nouveau monde, un monde irrationnel Richesse poêtique d’un monde nouveau : * Tous les sens sont présents sauf le goût. * Synesthésies = correspondance entre les sens Terre-mer-feu-air pour le nouveau monde. + élargissement de l’espace : « yeux » « le monde entier » +mouvement élévateur de la lumière = on va vers les astres, vers l’au-delà. III – Une femme divinisée

mélange de l’odorat et de la vue avec le "le parfum des verts tamariniers", mêlant le parfum des arbres et leur couleur (« verts»), puis un mélange de sensations olfactives (« parfum ») et auditives (« chant des mariniers ») : c’est la synesthésie, le mélange des sens, très chère à Baudelaire, qui va aboutir à une hallucination sensorielle. Le parfum des tamariniers "circule dans l’air", "m’enfle la narine". Ici, le temps utilisé est le présent pour décrire une sorte

Cour a garder Definition : Pléiade, bucolique, suprématie, morose, exacerbé, synesthésies, utopie, incancatoire, luxueux, propice, tryptique, accrostiche Comme on voit sur la branche – Ronsard * Poète de la pleïade, sonnet écrit en 1578 * Un poème de circonstance et de deuil demandé par Henri II à la mort de sa maîtresse mais suite à la mort de Marie Dupin. * Ronsard lui dédie ce poème. * Mouvement littéraire : La Pleïade Pourquoi peut-on dire que ce poème est

traduisit notamment les œuvres de Poe (1809-1849) et les fit connaître au grand public. Il considère le beau comme l’alliance du beau et du passager et il l’explique dans Le Peintre de la vie moderne (1863). Véritable orchestre des sensations (synesthésies), ses Petits poèmes en prose (1869) ainsi que les autres recueils cités précédemment demeurent parmi les œuvres les plus unanimement appréciées de notre littérature. Entre le formalisme et le romantisme, Baudelaire invente une troisième voie

spleen, tristesse et désespoir Lexique nature : « mer » « étoile » « brume » « flots » « vent » « tempête »  lyrisme issu du romantisme « flots amoncelés » « tempête » « convulsions » « gouffre »  états d’âme du poète = tourmente Correspondances Synesthésie musique avec toutes les sensations en mer  tous les sens Le poète s’assimile au bateau :  Personnifications : « le dos des flots » « D’un vaisseau qui souffre »  Métaphore : « J’escalade le dos des flots »  Comparaison : « les poumons gonflés

duvet de colibri'' | → Monde imaginaire | Exotisme, magnificence, mystère | ''moutons rouges'', ''matière innommable'', ''girofle'', ''cannelle'', ''eau pure'', ''eau de rose'', ''liqueur de canne'' | → Monde exotique | Synesthésie | 'architecture, couleurs, matériaux, girofle, cannelle, repas, eau pure, eau de rose, liqueur de canne .. | Suggère le paradis céleste ; Voltaire est dans la parodie & en rajoute. | ''nues'' | → Monde paradisiaque, plaisir

ponctuation saccadée (v7 ) qui donnent l’impression que le poète a été choqué par ce qu’il a vu. Les deux tercets semblent évoquer un tableau plus plaisible : nous ne sommes plus sur le front mais dans une église à l’atmosphère très calfeutrée(synesthésie ?) : on admire l’or des calices, on respire l’encens, on s’endort dans le « bercement » des hosannah …tout est calme jusqu’à ce que Rimbaud découvre dans l’église les mères des enfants morts au front .Il dévoile tout le pathétique de la scène en

* Antithèse « populaire » « seigneuriaux » l. 9 * Un texte universel : musique, théâtre, art plastique il essaie de fusionner tous les arts (ce que Richard Wagner voulait faire) Mélanger les sens vue/ouïe = synesthésie (= fusion des sens) * Titre comme si Rimbaud reformulait des définitions à sa manière (ex : ‘’Aube’’, ‘’Les ponts’’) Bel objet architectural Articles Sert à relier deux choses Du réel à quelque chose d’irréel (imaginaire), ou surréel

| | |voyage, rêve, mort) | | |-Ville | |-Synesthésie | Symbolisme : la fin du XIXèmesiècle, met l'accent sur les valeurs suggestives du langage, seules aptes à déchiffrer l'univers considéré comme le "symbole d'un autre monde", correspondance étroite entre l'homme

héros dans l’action. C’est l’ensemble du décor qui construit le personnage principal. Les comparaisons, métaphores et personnifications rendent le paysage vivant et déresponsabilisent Meursault. Il ne s’agit plus d’une simple description mais d’une synesthésie : «  Cette épée brûlante rongeait mes cils » « La mer a charrié un souffle épais et ardent »… La personnalité de l’Etranger et ses actions dépendent étroitement de cette description. Ainsi donc, pour conclure, chaque texte du corpus présente un