Synesthésie

LE BUFFETINTRODUCTION : Ce sonnet d’Arthur Rimbaud intitulé « le buffet » a été écrit en 1870 et publié dans le « cahier de Douai ». Dans ce sonnet l’auteur fait d’un simple objet du quotidien le sujet principal de son poème . L’objet apparemment banal se transforme progressivement sous nos yeux pour devenir un objet insolite, voire surnaturel. Nous allons étudier comment Rimbaud démontre les pouvoirs

attirer l’attention du lecteur (en ce cas l’anaphore est de la préposition « sur » et du vers « j’écris ton nom »). 4. la métonymie, qui parle d’une partie du corps, mais il fait référence au corps entier (lèvres attentives) 5. la synesthésie, qui sont les sensations mélangées de plusieurs sens à la fois (chiffons d’azur-mélange de toucher et de couleur) chiffons d'azur: (toucher-couleur            bouffée d'aurore: vue/ sensation physique de la respiration: toucher),la mousse des nuages:

ailes, haleines. - « Frais et blêmes éclats » = lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres (« frais » car il fait froid à l’aube). C’est un oxymore: « blêmes éclats ». -> Tout dans la nature correspond -> seul le poète comprend ces synesthésies. - Le poète comprend ainsi par exemple le ‘langage des fleurs’ : « une fleur qui me dit son nom ». Il parle aussi avec les animaux («coq» à qui il dit que l’aube arrive = contraire). - Cascade = chevelure de la déesse (personnification avec «

courtoise pour choquer- ce ; si- Allitération- Douceur- doux et cailloux ; âme et infâme-Rimes Antithétiques- Contraste surprenant- 3 vers pour arriver à la charogne- prépare la surprise-les jambes en l’air-personnification-brûlant, d’exhalaisons-synesthésie -le soleil rayonnant sur cette pourriture-Ce vers peut être représentatif de la poésie Baudelairienne-afin de la cuire à point-métaphore culinaire-Dégoût, Humour-vers 11 et 12-langage soutenu-le ciel regardait-personnification-carcasse superbe-oxymore

sens la vue : " triste et beau " ; " luit comme un " l’ouïe : " valse " ; " violon " l’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances : c’est l’illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens). 3) passage au malaise Ce vertige, agréable, tourne au malaise. La dualité est toujours présente chez l’auteur : le tournoiement combine plaisir et malaise. III. Le spleen baudelairien

L’ouïe : " valse " ; " violon " on retrouve dans le rythme des vers le rythme ternaire de la valse 3. L’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances : c’est l’illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens et une mobilisation de plusieurs sens à la fois). 3) passage au malaise Ce vertige, agréable, tourne au malaise. La dualité est toujours présente chez l’auteur : le tournoiement combine

ici ? = RELEVE : « Muse » (inspiratrice), « rimes », « lyres » (instrument d'Apollon, dieu des Arts) = On note qu'il s'adresse directement à la Nature comme une muse dans la première strophe. = évocation de toutes les sensations : SYNESTHESIE Le poète utilise ses souliers abîmés comme instrument en prenant la forme de la lyre avec ses jambes et en utilisant les élastiques comme des cordes : il définit sa vision de la poésie. Transformation des lieux concrets en lieux magiques :

5 sens - goût : bocks, limonade - vue : lustres éclatants, couleurs - odorat : tilleuls, parfums - toucher : air doux - ouïe : vent chargé de bruits - Impression que les sens se répondent et se mélangent. Il s'agit de ce qu'on appelle la synesthésie. La poésie crée une harmonie, une correspondance entre les sens = bien être du locuteur dans la ville. II) L'INSOUCIANCE DES PREMIERES EMOTIONS AMOUREUSES 1) L'adolescent, un ingénu ! - répétition de « dix-sept ans » comme si l'âge était

plus précisément la forêt. De plus, l’auteur parle, mais moins évidement de l’amour dans ce milieu de repos.Intentions :Dans ce poème, l’auteur sa conception de la fusion de l’amour et de la nature. En effet, Charles Baudelaire s’appuie sur la synesthésie, l’expression d’une sensation avec l’aide d’un organe sensoriel et parvient à illustrer ses sentiments dans le milieu naturel.Genre :Ce poème est un sonnet composé de 4 strophes : les deux premières sont composées de 4 vers tandis que les deux dernières

guidée par son odeur. Seule capable d'initier le poète mystère des mondes, elle apparaît donc comme la détentrice des clés de l'harmonie universelle. On peut en effet être sensible aussi némésie, qui parcourent ce texte. Vous savez ce que sont les synesthésies, ce sont les correspondances entre les différents sens. Donc ici on a 2 par ton odeur, je vois pendant que le parfum des Verts à Marie à chaque fois vu et odeur sont liés, ce qui suggère une sieste, une analogie entre l'essence et les éléments