Sur Quoi Se Fonde La Morale

motivations conscientes de ceux qui les réalisent, - et pourquoi pas aussi, leurs motivations inavouées -. Ce type de jugement n'est évidemment pas un jugement d'ordre seulement technique, mais un jugement moral qui met en cause les raisons, les approuve, ou les désapprouve au nom de la morale. Ce n'est pas une question de compétence technique, mais un problème de choix. Nul besoin d’être spécialiste dans ce cas, car c’est un homme que l’on juge dans ses motivations et pas une performance technique

autorité. État de droit.Représentation de l'autorité sous forme d'institutions:  nécessaires à l'exercice du pouvoir exécutif. Institution:toute forme d'organisation visant à régler la vie sociale et juridique,ce qui fonde une société (institutio: arrangement;instituere:fonder, établir),ce sur quoi elle a été établie,ce qui la garantit (justice, administration:sécurité sociale, école, armée,police, …) a toujours une fonction normative(donne des règles) et régulatrice(fait en sorte qu'elles soient justes

Le désir est la tension vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Comme objet, c'est ce à quoi nous aspirons, comme acte c'est cetteaspiration même. Le désir a donc souvent été considéré par la philosophie classique comme un problème, sans doute parce que sa nature est contradictoire ou, en tout cas, ambiguë. Quant à ce qui estnécessaire, c'est ce qui ne peut être autrement qu'il est : c'est donc quelque chose d'inéluctable, d'inévitable. - La volonté

droit par le fait, défient la morale, et ne connaissent pour borner leurs excès que les limites de leur propre puissance. Cette opposition entre ce qui ne se réfère qu’à la Nature, et ce qui est selon la Loi, Platon la manifeste déjà dans le Gorgias, où l’on entend par la voix de Calliclès un éloge effréné de la force et l’exposé d’une morale individualiste visant le seul plaisir, devant lesquels Socrate demeure mesuré et maître de lui. Et ce sont bien deux morales et plus profondément deux politiques

enseignement obligatoire. Séquence 6-SE00 77 © Cned – Académie en ligne Chapitre 1 > La thèse d’Émile Durkhein L’auteur .......................................................................... 81 La division du travail fonde la solidarité Le passage d’une forme de solidarité à une autre Les formes pathologiques de la division du travail Chapitre 2 > Actualité de la pensée de Durkheim et prolongement Intégration et travail De nouvelles formes de solidarité mécanique

ETHIQUE A NICOMAQUE VI ; 2 : Vertus intellectuelles : Sophia (intellect + raison intuitive), intelligence, phronésis (prudence) Vertus morales : Libéralité, médiété. Habitus conscient de lui même. (Exis) Division de l’âme : Irrationnelle (végétative, sensitive) Rationnelle : Scientifique Pratique : règle : logos calculateur. L’origine de l’action morale = Le libre choix ; délibération. Accord désir - Ethique ; VI ; 5 : « La prudence est une disposition pratique accompagnée de règles vraies

l'o n veut, sans être contraint par quoi que ce soit. Ainsi, si on s'engage à donner des cours particuliers le jeudi et qu'un ami nous propose une activité bien plus attrayante le même jour, on ne peut accepter sauf à manquer à sa parole et à casser le lien moral que suppose tout engagement. On risque alors de se sentir bien mal avec sa conscience. Le renoncement conséquent à l'engagement semble donc porter sur la liberté. Mais si celui-ci est un lien moral qui détermine le futur et limite les

le symbole de la loi morale. « L’équerre emblème de la rectitude nous inspire la droiture dans nos pensées et nos actions » nous dit le rituel. Le compas, instrument de mesure et de comparaison est le symbole de l’équité, de la justice envers tous les hommes et en particulier nos frères. Ces principes reposent sur un postulat : la non-absurdité du monde et de la vie, la perfectibilité de l’homme et de la société, le but de la franc-maçonnerie étant le perfectionnement moral de soi d’abord et de

épanouissement de ses qualités intellectuelles et morales. L’humanisme est un vaste mouvement culturel européen, qui émerge en Italie au XVème siècle et dure jusqu’à la fin du XVIème. Problématique : En quoi et de quel manière l'humanisme veut faire évoluer la société vers un idéal a la renaissance ? L’Humanisme réclame un retour à l'antiquité, or il constitue une rupture qui ouvre la porte à la modernité : comment expliquer ce paradoxe apparent ? En quoi l’Humanisme et la Renaissance marquent-ils

dont je suis conscient n'est pas un désert vide, car je peux deviner la trace d'autrui derrière les choses : le champ n'existerait pas sans autrui pour le cultiver ; de même, le chemin sur lequel je marche n'a pas été tracé par mes seuls pas. 3. En quoi la visée d'autrui est-elle spécifique ? • À même la perception, je distingue moi, les autres choses que moi, et autrui, c'est-à-dire l'autre moi. Husserl montre que cette distinction, qui semble toute naturelle, est en fait très complexe, et repose