Ethique de nicomaque
ETHIQUE A NICOMAQUE
VI ; 2 : Vertus intellectuelles : Sophia (intellect + raison intuitive), intelligence, phronésis (prudence)
Vertus morales : Libéralité, médiété. Habitus conscient de lui même. (Exis) Division de l’âme : Irrationnelle (végétative, sensitive) Rationnelle : Scientifique Pratique : règle : logos calculateur. L’origine de l’action morale = Le libre choix ; délibération. Accord désir -
Ethique ; VI ; 5 : « La prudence est une disposition pratique accompagnée de règles vraies concernant ce qui est bon et mauvais dans l’homme. »
En
tant qu’elle concerne l’agir pratique elle ne peut être qualifiée de n’est pas cependant la « vertu morale », qui constitue le choix
« science ».
Elle
effectif de l’agent.
Elle
concerne LA RÈGLE du choix.
LE CRITÈRE DE LA PRUDENCE. « L’homme prudent n’est pas seulement l’interprète de la droite règle mais cette règle même. »
Mais cela ne suffit pas, car ne répond pas à la question du au critère de reconnaissance de l’agent prudent.
Le
prudent est celui qui doit juger le réel, isoler le moment opportun, le
KAIROS.
Pour La
ce faire il lui faut JUGER AVEC RECTITUDE.
prudence est donc en ce sens une VERTU INTELLECTUELLE
« pour » la PRAXIS.
= UN SAVOIR PRATIQUE.
Le
kairos, étant temporel est RELATIF , Contingent. en tant que le prudent doit le juger avec rectitude, il est celui qui
Mais
saura à chaque fois l’estimer en vertu de la fin éthique universelle : La prudence est donc la pleine VERTU POLITIQUE.
X ; 1 : Dialogue Académiciens - Eudoxe. LE PLAISIR.
Eudoxe : Le plaisir = le souverain Bien car = ce vers quoi tout être tend. Speusippe : Ce à quoi tus les êtres tendent n’est pas forcément un Bien. X ; 2 : Aristote : Le plaisir peut être augmenté d’un autre ; Il n’est donc pas le souverain Bien. Mais l’expérience nous montre qu’il n’est pas un mal non plus, car il n’est pas sujet d’aversion. Donc le plaisir n’est