Sur Quoi Se Fonde La Morale

la proximité la plus grande avec les victimes du racisme (ainsi les « petits blancs » aux Etats-Unis, mais aussi la masse populaire de l'électorat du FN), c'est-à-dire dans les couches sociales qui ont objectivement (peu importe que ce soit ou non fondé) les meilleures raisons de se croire mena­cées. On comprend ainsi pourquoi les mouvements politiques ra­cistes sont des mouvements violents, mais aussi populaires, voire populistes. Pour revenir à ce que je disais plus haut, il semble clair qu'opposer

partir de quelles définitions - engageant quels postulats, quels arguments, quelles conséquences -, peut- on dire que l’énoncé est vrai ou faux. Dégager le problème = Problème pratique = on ne sait quoi faire car chaque option engage une série de difficultés. Problème théorique = on ne sait quoi penser car chaque option engage une série de difficultés. Question philosophique => problème théorique. Cela signifie qu’on ne peut répondre simplement à la question sans s’engager dans une série

d’inconscient freudienne en la qualifiant d’erreur théorique et de faute morale. On pourra donc se demander si l’inconscient freudien existe vraiment puis en quoi cette idée engendre une faute morale. Dans un premier temps nous verrons que l’inconscient de Freud n’existe pas si certains phénomènes sont hors de la conscience, puis nous verrons que l’idée d’inconscient freudienne n’a pas de fondement solide, que c’est une erreur morale mais aussi théorique. Dans un premier temps Alain nous explique

(1668-1694) et leur composition sur plus de trente ans. Ce sont des recueils de poèmes en vers libre (sans structure régulière « rimes », « strophes ») comportant une morale, ici il s'agit d'un récit fictif (imaginaire) où La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Dans chacun de ses récit il y a une morale. « Le Loup et le Chien » présente deux modes de vies opposées, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est lui au service de son maître, reprenant ainsi une

moitié du XVIIe siècle. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal de l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. Nous étudierons en quoi cette tragédie est une œuvre classique, pour cela verrons par quel biais elle s’appui sur une base antique et en quoi elle obéit aux règles strict du classicisme. Tout d’abord, cette œuvre reprend plusieurs éléments de l’antiquité, des personnages nobles ; Octave-César Auguste

est tout à fait anodin de les voir en couple dans la rue. Cependant quand il s’agit d’un couple d’homosexuelle cela choque, l’indignation arrive même parfois à la violence. Cette homophobie est légitime car les valeurs morales ou culturelles de nombreuses personnes sont fondées sur des croyances et idées préconçues de ce genre de relation. Mais avons-nous pourtant le droit de les mépriser et de les rejeter ou même d’être irrespectueux ? Depuis 1985 l’homosexualité n’est plus considérée comme une

vrai, car si l’altérité était pure, tout serait dissocié, dispersé, séparé, en fragmentation selon l'image même d'un pur chaos. En fait, la multiplicité ne serait même pas plusieurs, car rien ne ferait nombre avec rien, il serait impossible de compter quoi que ce soit. Cette idée, Platon l'a clairement formulé, en montrant ainsi qu'altérité et identité sont des termes duels et relatifs. Les contraires naissent et meurent ensemble, ils ne peuvent avoir d'existence l'un sans l'autre. Ils doivent être constamment

22. La loi (Techn.) ................................................................................................... 48 23. La matière (L - ES - S) ...................................................................................... 50 24. La morale (L - ES - S) ....................................................................................... 51 25. La perception (L) ............................................................................................... 54 26. La politique (L -

cette étude de scène se demander si il s’agit seulement d’un simple « arbitre » ou si il s’agit d’une figure plus subtile. Pour essayer de mettre en valeur cette subtilité, nous allons d’une part souligné en quoi nous est proposé ici un nouveau contrat sociale qui sert de support et voir en quoi il exprime une satyre implicite de la société. Un nouveau contrat social Comme dans tout projet utopique, Trivelin énonce un programme et ce programme est un programme qui se propose de créer une société

conscience. Si nous aspirons à être libre alors cela présuppose que nous ne sommes pas d'emblée libre, que nous avons à le devenir, comment se libérer des déterminismes que nous subissons et quels sont ces déterminismes ? Pourquoi sommes nous dépendants ? A quoi sommes nous assujettis ? Ce terme d'aspiration est significatif du fait que la liberté est une exigence, une difficulté, une conquête et non pas comme on le croit spontanément, une facilité parce qu'elle découlerait, d'après nos représentations,