Sur le processus de civilisation

dernière décennie du XXe siècle le sort de ma culture est indissolublement lié au rôle que se donnera la civilisation occidentale à l’avenir. Mais ce n’est pas tout. J’ai aussi le sentiment que la nature et les orientations de la civilisation occidentale pourraient bien être profondément affectées par la culture à laquelle j’appartiens. Comment justifier mon engagement historique envers une civilisation qui a introduit deux cents ans durant des distorsions aussi perverses dans ma propre culture ? C’est

Commentaire de texte. Malaise dans la civilisation, de Freud La psychanalyse cherche, depuis sa création, l’origine des névroses afin des les résoudre. Elle constate que chaque homme contient des désirs infantiles, sous forme d’instincts sexuels. C’est la libido. Celles qui ne peuvent pas s’extérioriser, sont refoulées dans l’inconscient. Or, la famille et la société refreinent ces pulsions. Il est donc possible de se demander comment l’éducation participe

Conférence: «Senghor et la civilisation de l’Universel », le lundi 26 janvier 2009 Conférence animée par M. René Gnalega, Directeur de la Francophonie, Correspondant National auprès de l’OIF et Enseignant à l’Université de Cocody, Côte d’Ivoire, le lundi 26 janvier 2009 à 16h00, dans la salle de conférences de l’Université Senghor au 9ème étage. SENGHOR ET LA CIVILISATION DE L’UNIVERSEL CONFERENCE PRONONCEE LE 26 JANVIER 2009 A L’UNIVERSITE SENGHOR D’ALEXANDRIE INTRODUCTION En venant à Alexandrie

multiplication des états est liée à la décolonisation. - enfin à la fin de la guerre froide, il y a l'éclatement du bloc soviétique. D'autre part l'État qui est acteur de la mondialisation par aussi intervenir pour atténuer les effets négatifs de ce processus. L'État, en effet garanti le développement de la solidarité sur son territoire (exemple : le gouvernement français se barre pour freiner la libéralisation des biens culturels). Les 200 états présentent une grande diversité de puissance, de superficie

primitif. Confondre culture et civilisation et nature et concept rousseauiste « d’état de nature » qui n’est pas une donnée historique mais une fiction méthodologique, une hypothèse pour comprendre comment se fait l’entrée de l’homme dans la culture. Enjeux du sujet : Il est demandé une réflexion sur ce que vaudrait une définition de la nature de l’homme par rapport au processus de formation ou d’acquisition d’une culture. Reformulation possible du sujet : le processus de formation, d’acquisition

mondialisation, ce processus d’abaissement des obstacles étatiques aux échanges volontaires au-delà des frontières nationales, a permis une intégration, une interconnexion plus poussée et plus complexe du système d’échange global. Le double problème moral – et politique – de justifier, premièrement, pourquoi une transaction devrait être libre à l’intérieur des frontières et non libre si elle est séparée par une frontière, et, deuxièmement, pourquoi il faudrait limiter un processus qui a globalement

monastères, ou que les Arabes seuls avaient conservés. Redécouvrir, cela signifiait aussi relire, situer, discerner. Les textes furent dès lors considérés comme des traces matérielles concrètes, produites par des hommes, et semées dans l'histoire des civilisations. Il fallait donc connaître les langues de ces textes pour les comprendre, non seulement le latin de la tradition médiévale, mais le grec et l'hébreu; il fallait aussi connaître l'histoire, les cultures, les littératures. Ce programme immense et

conditions de formation des Etats contemporain. La féodalité a été marquée par d’importante lutte entre les différentes seigneuries. Le processus d’étatisation s’accompagne d’une spécialisation des agents qui disposent du pouvoir. Cela donnera naissance plus tard à deux filières qui se distinguent : la filière politique et la filière administrative. L’étatisation est un processus de centralisation et de coercition légale qui donnent naissance à deux structures complémentaire : le droit d’une part et l’administration

débordantes » Il ne suffit pas d’une structure du réel basée sur un horizon expérientiel plus large pour créer une notion d’humanité analogue à celle que nous connaissons. Anthropologie culturelle Amandine Colin Ihecs -3- Même dans les grandes civilisations où l’écriture avait permis d’accumuler un savoir sur des hommes de toutes les latitudes, ces témoignages et expériences d’une « commune humanité » n’ont pas été suffisants pour faire adopter des catégories semblables à celles qui sont les nôtres

de fonction . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.3 Le fonctionnalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4 La culture et le culturalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.1 Le concept de culture . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.2 La civilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.3 Le culturalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13