Superstition Est Elle Toujours Irrationnelles

ordonné et compréhensible (le siècle des lumières est marqué par des découvertes scientifiques). Cette philosophie se base également (aussi) sur la raison et la liberté de l’être humain, sur la tolérance et l’égalité. Elle combat l’irrationnel, la superstition et la tyrannie.. La philosophie des lumières n’était pas caractérisée par un rationalisme froid (il n’y avait pas que le rationalisme dans la philosophie des lumières) : il y avait aussi une place pour la sensibilité, pour les émotions (surtout

Evolution naturelle → evolution techniciste. La technique dotera l’homme de qualités qu’il n’aurait pu obtenir qu’au gré d’une lente évolution, elle augmente le champ d’action de l’homme. Procès de la technique : à l’origine d’un renoncement = irrationnel : pas d’homme sans la technique (= une domination dans le but de sauvegarder l’espèce humaine). ∟Platon : «  l’Homme eut ainsi le savoir propre à conserver sa vie ». Procès pour certaines techniques. La technique = sauveur, n’est-elle pas l’idole

croyance à une transcendance à laquelle le monde profane est relié et dont même il dépend est constitutif de toutes les sociétés humaines. Il est donc naturel pour l’homme d’élaborer des croyances (les plus anciennes revêtent pour nous la forme de superstition mais elles sont bien des croyances en du sacré) et des rites pour à la fois proposer un modèle explicatif de leur réalité et aussi solidifier le groupe social. Car il faut bien comprendre la religion peut à la fois renvoyer à la façon dont un

originelle et de cet ordre transcendant. Il s’agit de récits de tradition orale qui racontent l’origine du monde, la signification de la vie, la raison d’être de chaque chose… Si ces récits nous semblent souvent totalement illogiques, farfelus, irrationnels, il ne faut pas oublier qu’ils représentent la première étape d’une compréhension du monde. Mais depuis les travaux des anthropologues, on sait aussi qu’ils répondent à d’autres règles que celles de la raison moderne. Car ils sont surtout organisés

dialogue, dans une nouvelle, inscrit les personnages dans une réalité sociale, leur donne vie mais permet aussi de faire avancer l’action avec rapidité, tout en mobilisant l’intérêt du lecteur. Il s’agit donc d’un récit de longueur variable (mais toujours plus court que le roman) ayant peu de personnages et de descriptions, dont l’action, d’une grande tension, est très concentrée. L’histoire en est vraisemblable (≠ Merveilleux) ; on pourrait comparer la nouvelle à « l’expression artistique d’un fait

Candide a été écrit au XVIIIe siècle, le siècle des Lumières. L’Europe connait un peu plus de prospérité économique, mais est accablée par les guerres. Les monarchies sont affaiblies et l’église catholique reste très puissante. L’inquisition a toujours une grande influence dans certains pays européens. L’esclavage des colonies africaines et l’exploitation des matières premières de l’Amérique sont les sources de revenus de l’Europe qui est le grand bénéficiaire de ce trafic triangulaire. Les catastrophes

pouvoir royal. Ce serait alors, également, un instrument d’unification sociale. Enfin, SPINOZA enchérit sur ce raisonnement contestant la foi qui fait que les Hommes craignent ce que les Dieux pourraient leur faire subir en apportant l’idée de superstition : ne pouvant organiser les circonstances de leur vie comme ils l’entendent, et du fait que le hasard n’est pas tjs favorable, Lorsque l’H est en position de faiblesse il se retourne vers un mauvais œil, un acte qu’il aurait commis et qui aurait

l’espoir d’être plus heureux ou libre Les buts du philosophe : - La recherche du désir de connaître et l’amour du savoir, c’est-à-dire la sagesse - La compréhension du sens de la vie Les caractéristiques du philosophe : - Il a toujours raison ; il réfute toutes les objections qu’on peut lui faire - Il est le plus concret et réel des êtres ; il saisit la réalité telle qu’elle est et ne l’imagine pas - Il est le plus heureux des êtres ; le malheur ne l’atteint pas, car il vient

l'information et de la propagande du IIIe Reich) « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté. » Confucius « Rappelez-vous tout simplement qu’entre les hommes il n’existe que deux relations : la logique ou la guerre. Demandez toujours des preuves, la preuve est la politesse élémentaire qu’on se doit. Si l’on refuse, souvenez-vous que vous êtes attaqués, et qu’on va vous faire obéir par tous les moyens. Vous serez pris par la douceur ou par le charme de n’importe quoi, vous serez

instruit, marié et qui possède un fils (Mr Alphonse de Peyrehorade). C’est un homme d’un âge avancé dont les forces ont été affaiblies par le temps, cependant il est toujours actif, toujours en mouvement. Sa manière de parler avec les gens est vive et déterminée. Son nez rouge lui donne un air jovial et ses yeux pétillent de vivacité. Toujours gai et bon vivant il se montre très hospitalier envers son hôte. Amateur d’antiquités, il admire sa statue de Vénus qu’il a découvert dans son jardin. Sa principale