Superficiel Bonheur

Chapitre 2 : Le bonheur Introduction I- Le Souverain Bien - Aristote, texte 12 page 114 II- L’idéal de l’imagination - Kant, texte 35 page 319 III- Différents concepts du bonheur Conclusion Introduction Bon Heur Mal  Heur L’heur, c’est d’abord la chance ou la fortune. Se sont deux configurations qui se rattachent à quelque chose où il y aurait une forme de passivité. C’est quelque chose que l’on attend et que l’on veut atteindre (attendre/atteindre). La lanterne

1 La quête du bonheur Philippe Fontaine "Quand l'expérience m'eut appris que tous les événements ordinaires de la vie sont vains et futiles, voyant que tout ce qui était pour moi cause ou objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais dans la seule mesure où l'âme en était émue, je me décidai en fin de compte à rechercher s'il n'existait pas un bien véritable et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procureraient pour l'éternité

assimile le bonheur et le plaisir. C'est certes le bonheur qui est ici défini mais il est défini comme cette liberté par rapport au souci qu'entraînerait une volonté de toujours mesurer ces conséquences des ses actes indéfiniment sur la sagesse des actes. Bref, d'être trop raisonnable. Dans cette logique, on le voit bien : être raisonnable à une influence néfaste sur la liberté. Toujours réfléchir avant d'agir alourdi les actes, les rendent moins libre et qui risque de nous faire rater le bonheur. Dans

désir est l’essence de l’homme », en recherche perpétuelle du bonheur, désireux de tout, doit-il attendre de l’Etat qu’il fasse son bonheur ? La société dans laquelle nous vivons a tendance à prôner le bonheur avant toute chose à travers de multiples effets superficiels et artificiels tels qu’avoir le dernier produit à la mode… Mais devons-nous accuser l’Etat si nous ne sommes pas heureux ? Le problème de l’homme est que son bonheur sera toujours un but vers lequel tendre, éphémère et jamais absolu

une réserve d'or et à crier lorsqu'il voit un voleur. Colin s'ennuie et se sert de ses amis pour se distraire n'hésitant pas à se montrer généreux s'il en tire un quelconque avantage. Ses activités sont restreintes (dormir, manger, boire), ou superficielles (tourner en rond sur la glace, écouter son cuisinier lui lire une recette). Son esprit est vide comme sa vie au début du roman et il a besion de faire-valoir pour exister. Ses préoccupations affectives tardives sont plus nettement sexuelles qu'amoureuses

Ainsi, il semblerait que le bonheur, la vie « heureuse » soit un but à atteindre dans la vie de chacun. Car s'il l'on choisit de voir dans cette phrase un enseignement quelconque pour les enfants qui le lisent dans un but pédagogique, alors, nous pouvons voir dans le bonheur un but. Ou, s'il l'on décide d'y voir là une simple expression propre au conte, nous pouvons tout aussi bien la considérer comme faisant intégralement parti du type même du conte, et de ce fait, le bonheur ne ferait plus parti de

que ça ne vaut pas la peine de s’attarder ici. Néanmoins, l’adverbe ici représente un lieu et marque la proximité spatiale par rapport à soi. Mais on peut dire que le second vers corrige le premier et montre bien l’effet de temps qui dure dans le bonheur. Ensuite, après s’être intéressé au caractère heureux des premiers vers, on trouve, au contraire, des termes tristes comme ennui ou attristés. Il est donc opportun de relever une opposition avec enchantées qui marque le changement d’humeur. De

de satisfaire un besoin quelconque, seul l’action et les choses concrètes qui sont essentielles à la vie de chacun comptent ; or la connaissance scientifique est quelque chose de superficiel et ne satisfait en théorie aucun besoin vital, à ce sujet Platon disait « ce n’est pas vivre selon les sciences qui prouve le bonheur ni même de réunir toutes les sciences mais de posséder la seule science du bien et du mal ». Nous pouvons interpréter « la science du bien et du mal » comme les choses qui nous servent

romantiques. La description de son amant rêvé est pleine de lieux communs et assez superficielle. On entrevoit le jugement ironique du narrateur qui se moque gentillement de son héroïne et surtout du contenu de ses lectures. Mais Emma reconnaît dans sa souffrance que ce à quoi elle aspire n'est pas possible car irréel. Elle se pose en victime de l'existence. Cette existence lui ment car elle la pousse à croire en des bonheurs qui cache une réalité faite d'ennui, de frustration et d'insatisfaction. C'est

importance à l’aspect extérieur. Celles-ci croient que la beauté résout tous les problèmes, qu’elle va leur apporter joie et bonheur et leur permettra d’avancer dans la vie. Cette femme n’a qu’un seul et unique but dans la vie : être remarquer grâce à son apparence physique par tous. Celle-ci compte beaucoup plus que la beauté intérieure qui peut (souvent) se montrer superficielle. Cependant, quelques hommes se comportent de cette façon, mais nous allons plutôt étudier ce comportement pour les femmes