Sujet La Satire Mondaine

La poésie au 17ème siècle. Âge Baroque : Âge Classique : -poésie licencieuse : -poésie héroïque -poésie satirique. -poésie encomiastique. -poésie libertine -poésie religieuse. -poésie galante. -poésie mondaine : -poésie burlesque. -poésie coquette. -poésie héroïque. -poésie de sentiments. -poésie épique. -fable. -poésie populaire. Âge Baroque. Cette période ce trouve entre la fin du 16ème et début du 17ème. La poésie évolue dans

un jugement très général sur l'homme, sa brièveté doit permettre de les mémoriser facilement, mais surtout frapper l'esprit, avaient été publiées en 1665 et 1668. Cette fable se présente à la fois comme une énigme, jeu très apprécié des salons mondains, une sorte de petite devinette faite à partir d'une description, mais aussi comme une apologue, dans lequel on a pour but de présenter d'une manière indirecte une vérité morale et instructive. Nous allons voir comment La Fontaine reprend t-il un

taire” - Il est donc le contraire d’un honnête homme Le 2ème mouvement est la mise en situation d’Arrias - Il y a une longue phrase qui va de la ligne 3 à la ligne 7 avec beaucoup de ponctuation. Cette phrase met Arrias en situation lors d’un repas mondain - Le présent et l’accumulation d’informations donne l’impression d’être témoin de la scène, de la vivre en temps réel - Quand il dit “On parle à la table d’un grand du Nord” (l3), le pronom indéfini “on” décrit la Cour - Il y a une allitération en

noblesse, et en particulier la monarchie, du Tiers état. Certains détails sont des «  marqueurs sociaux » de la noblesse et de la monarchie. Le souverain se différencie par sa demeure et sa richesse, sa vie oisive et festive, et son pouvoir sur ses sujets. 2.Une représentation conforme au pouvoir sous l’ancien régime Le château Les rois et les reines habitent dans des « châteaux », appelés souvent «  Palais », avec des «  tours », des «  donjons » ( BBD p.85) renvoyant à l’époque médiévale. Ces

vous voit d’un œil fort doux » Vertueuse jusqu’à l’austérité ; hypocrite. Colifichets : « Que ces colifichets dont le bon sens murmure » Ornement frivoles, artificiels et de mauvais goût. Vétille : «  De la moindre vétille il fait une merveille » Sujet sans importance. Chimères : « Et votre esprit jaloux prend parfois des chimères » Illusions, fruits de l’imagination. Résumé : • Acte 1 En 1666, dans un salon chic, au premier étage d'une demeure, où on ne voit peu de meubles, entrent deux

références Devoir identifier qui sont les personnes dont parle Sévigné + certains ont des surnoms, par ailleurs avec les mécanismes matrimoniaux et héréditaires des personnes peuvent changer de nom en changeant de statut (pg 82(chiasme)) → Chronique mondaine des lettres tient à jour les charges et carnet de promotions → titre économique B) Qu'est ce qu'une lettre ? 1) La lettre au 17è : étymologie et définition → lettre apparaît au 17è → issu du latin littera qui au singulier = lettre alphabet et

bruits plus ou moins violents et qui a tendance à être communicative. On peut donc dire que c’est un sentiment que l’on exprime à plusieurs. Dans cette interrogation, les idées sont associées au savoir. Le savoir est l’ensemble des connaissances sur un sujet. Lorsque l’on « transmet son savoir », on donne de la connaissance à des personnes. Pour répondre à cette problématique, nous étudierons dans un premier temps comment le rire permet d’exposer son point de vue. Puis, dans un second temps, nous analyserons

la terre avec René Bazin (1853-1932), la vie de famille avec Henry Bordeaux (1870-1963), la vie des femmes avec Marcel Prévost (1862-1941) (Les demi-vierges 1894, les Vierges fortes 1900) ; on peut mentionner aussi Abel Hermant (1862-1950) pour la satire des mœurs de son temps (Mémoires pour servir à l’histoire de la société, plusieurs volumes 1904-1909). Dans ces œuvres romanesques qui se détournent de la société et de ses problèmes, il faut mettre à part le cas Willy (pseudonyme de Henry Gauthiers-Villars) :

poèmes portent le même titre, d'autres traitent du même sujet sur un mode différent) et la variation locale qui juxtapose des pièces de ton différent, les mettant en valeur les unes par rapport aux autres. Hugo a conscience de la monotonie que pourraient créer 6200 vers écrits sur le même ton et multiplie les alternances entre poèmes graves et légers. D'autre part, des échos significatifs unissent les poèmes entre eux. 5. LA SATIRE (voir Dossier dans l'édition GF p. 400 à 418) Ce mot

est, dans l'État, d'une conséquence bien plus dangereuse que tous les autres; et nous avons vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction. Les plus beaux traits d'une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire; et rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs défauts. C'est une grande atteinte aux vices que de les exposer à la risée de tout le monde. On souffre aisément des répréhensions; mais on ne souffre point la raillerie. On