Stylistique La Description

la cruauté et concerne un moment du mythe de Salomé, après la décapitation de Jean Baptiste. Lecture Axes de lecture Ce texte se présente comme une ekprasis : ce terme emprunté  à la rhétorique antique désigne la description verbale d’un objet artistique visuel, un tableau, une sculpture… Le verbe ekphrazein signifie en grec ancien « exposer en détail ». L’œuvre du peintre Gustave Moreau qui est décrite ici est à dominante idéaliste et crée difficilement l’impression

dialogues, il n’y figure aucune description, si ce n’est quelques didascalies, le plus souvent assez minimalistes. De Musset prônait un « théâtre de fauteuil », c'est-à-dire un théâtre écrit à seule fin d’être lu. Il est devait au théâtre une poésie étrangère aux autres genres littéraires. L’émotion se transmet, peut être, de manière plus directe ou percutante que par le discours direct. De plus, le théâtre peut être apprécié d’un point de vue purement stylistique. Beaucoup, trouvent aux pièces de

colonnes. 2) Quelle atmosphère Zola crée-t-il ainsi ? 3) Dans le premier paragraphe, trouvez un synonyme du nom « vent ». 4) Quelle figure de style est contenue dans l’expression « des rafales larges comme une mer » ? 5) Quelle impression la description du vent provoque-t-elle ? 5) Que voit l’homme en approchant de Montsou ? Qu’aperçoit-il en premier ? Puis lorsqu’il se rapproche ? Quelle figure de style emploie Zola pour décrire ce que voit son personnage, à la fin du 3ème paragraphe ? 6) Comment

Nombre de pages 254 ISBN 2-07-036762-2 Paroles est un recueil de poèmes de Jacques Prévert (1900-1977) publié pour la première fois en 1946. Sommaire [masquer] 1 Édition 2 Présentation 2.1 Aspect 2.2 Procédés stylistiques 2.3 Thèmes 3 Bilan 4 Prolongements 5 Voir aussi 6 Citations 7 Bibliographie 8 Liens externes Édition[modifier] Les textes de Jacques Prévert ont d'abord été publiés isolément dans diverses revues depuis les années trente

formulées au subjonctif : « Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères. »  II- Une apparence de prière à Dieu - Un subterfuge stylistique : ce texte n’est pas une vraie prière qui s’adresse à Dieu, c’est en fait un texte qui s’adresse aux hommes. Grâce à la grammaire, Voltaire arrive à opérer, par une sorte de glissement rhétorique et stylistique, de la prière à Dieu vers un appel aux hommes. - Des rappels : . des qualités de Dieu : son universalité, sa générosité, sa puissance

principaux sont le petit garçon et la vipère. Le petit enfant décrit comment il tue cet animal, sa manière sadique de tuer, sa bataille avec cette vipère dans laquelle il a remporté une victoire. Le garçon n'est pas un personnage négatif malgré la description de l'assassinat détaillé du serpent. Il est plutôt le victime du manque de l'attention maternelle, de son amour la phrase suivante confirme cela «je saurais plus tard s'appeler la haine et que je retrouverais dans les prunelles de Folcoche, je veux

son nom mais c’est un personnage qui devient le narrateur. Les personnages sont fictifs mais avec la réalité comme modèle (exemple des « mineurs » du Nord de la France, avec le vocabulaire technique qui s’y attache). Alternance de narration, de description et de paroles rapportées (style direct, style indirect et style indirect libre). Marques de présence du narrateur (par des images, des mots parfois péjoratifs…). • Actuelles II d’Albert Camus : essai. L’auteur prend la parole en son nom (emploi

de conteur que l'on connaît à Maupassant. Même dans un moment de calme plat, il faut un peu d'animation. On entre ainsi facilement, et avec plaisir, dans le récit. On peut d'ailleurs remarquer que les descriptions et les portraits suivent ces dialogues et ne les précèdent jamais. Le choix stylistique fait ici est celui du naturel. Conclusion : un début de roman riche, un huis-clos encore détendu dans lequel nous sont présentés tous les protagonistes de l'histoire. Celui qui est mis ici en valeur

21). Dans Essais d'iconologie (1939) & L'OEuvre d'art & ses significations (1955), Panofsky définit trois étapes d'analyse iconographique / iconologique : 1) Analyse pré-iconographique : on analyse l'oeuvre à l'intérieur du champs stylistique en la replaçant à l'époque indiquée par la façon dont elle est traitée. Il s'agit donc, en résumé, de la présentation de l'oeuvre. a) Titre de l’oeuvre b) Auteur c) Date de réalisation d) Type de l’œuvre (tableau, dessin, enluminure

milieu fantastique. Mais comment l'auteur parvient-il à nous imerger dans son rêve, nous laissant croire à de la réalité ? Dans un premier temps, nous analyserons l'idéalisation que l'auteur fait de la femme dont il rêve, puis nous étudierons la description du cadre féerique du rêve de l'auteur. Tout au long du texte, l'auteur nous décrit ses impressions sur la femme qu'il admire. En effet, "je voyais dans la nuit les traits de ton visage" (l.2) nous explique que l'auteur porte un interêt certain