Style Proustien

le recueillement funèbre. Par ailleurs, l'emploi de termes relatifs au champ lexical de la mort tels que : « tombe ; houx ; bruyère », permet la distinction entre la vie et la mort. L'auteur, à travers un choix pertinent de terme et de figure de style, surprend le lecteur et rend compte de sa douleur. Le thème de la mort et du recueillement, si présents, dans ce poème, impliquent le lecteur qui se raccroche aux sentiments humains de la perte d'une personne. Conclusion : Pour conclure ce poème

. L'écrivain utilise des techniques d'écriture, outils de langages qui lui permettent de se façonner un style, de manière à appuyer son discours, à rendre esthétique sa prose. C'est ainsi qu'il se différencie et devient artiste. C’est ainsi que l’écriture parle à la sensibilité du lecteur, par la rhétorique, l’ironie, ou encore l’argumentation indirecte.L’écriture littéraire parle donc à la sensibilité du lecteur, par la beauté et la puissance de son langage. Ainsi, les vers « Où vont tous ces enfants

"bourdon farouche" • Champs lexical des états d’âmes, des sentiments : joie, souffrance, craintes, soif malsaine, pauvre âme.  L’auteur dévoile ses sentiments, il se confie. Cela montre aussi une certaine mélancolie de l’auteur. 3. Figure de style du poème. • Ellipse : - Et qu’on ne te voie : sous-entendu, et qu’on ne te voie pas.  L’auteur l’utilise pour accélérer la narration. • Métaphore : - comparé : un manque. - comparant : soif malsaine. - lien : désagrément causé, aspect néfaste

ce sentiment est ensuite renforcé par la répétition de l'adverbe « toujours » aux lignes 1,6 et 11. Le portrait de cette utopie permet également de mettre en évidence l'aspect paradisiaque du lieu qui favorise une vie harmonieuse. Les figures de style présentes telles que l'énumération aux lignes 10-11 « lauriers, de grenadiers, de jasmin », la personnification du paysage ( ligne 8 ) « un heureux hymen du printemps et de l'automne, qui semblent se donner la main » et également la métaphore filée

transition en le A et B Conclusion (mais déconseillée !!!), mais possibilité d'en faire une si ouverture. Introduction = 1/3 du devoir. Accrocher le lecteur avec une bonne intro. Faire des titres clairs Attention à l'orthographe, le style d'écriture (exercices faits sur feuille) Être précis dans l'utilisation des termes Pas d'abréviations Pas de couleurs Lorsque l'on met un arrêt, le souligner Citations d'auteur entre parenthèses Le commentaire de texte

Les figures fondées sur des ressemblances ou des analogies |Les figures d’amplification et d’atténuation |Les figures d’opposition |Les figures d’insistance (de répétition) | | |( La comparaison : elle rapproche 2 éléments unis |Elles utilisent un vocabulaire qui accentuent ou |Elle rapproche de manière résistante des termes |Elle donne + de force à l’énoncé en jouant sur la | |par une ressemblance + outil de comparaison |amoindrie ce qui est évoqué de façon a modifier la

1) Surpris 2) Sous le charme 3) En colère 4) Attitude de Manon 5) Discours de Manon 6) Réaction face au discours . . . L’œuvre Manon Lescaut est écrite par L’Abbé PREVOST en 1731. Le livre paru d’abord en Hollande en 1731. Etant jugé scandaleux pour « immoralité » de l’auteur et des personnages lors de sa réimpression en 1733 et 1735 en France, il est saisi et brûlé. L’auteur publie alors en 1753, une nouvelle édition de son roman réécrit, dans lequel il se cache derrière le

métaphores, figures de style, procédés et jeux d’écriture (écart, raison pk?) * Références intertextuelles * Passage autoreprésentatif (conteur qui conte) * Noter les premières intuitions, beaux passages, belles phrases 2. Lectures subséquentes * Lire de façon circulaire, tabulaire * Structure, principe de divisions, composantes des titres * Attention à l’incipit et à la clôture * Marquage formel (isotopies, champ lexical ou sémantique, écarts, figures de style) * Personnages

La dénonciation de la guerre : violence destructrice et mépris des hommes. Plusieurs procédés de style sont mobilisés pour faire ressortir une double idée : la guerre tue, la guerre constitue un acte de mépris des gouvernants à l’égard des peuples. On remarque d'abord les figures d'analogie. L'expression « crachats rouges de la mitraille » combine plusieurs figures de style. Une métaphore (mitraille = crachats rouges) semble donner naissance à une autre association, complexe, qui

afin de les sortir de l’obscurantisme. - Cet extrait fait suite à la mort de la mère de Moni. (Voir les explications sur le texte). Commentaire: I. Un témoignage pathétique 1. Le début d’une descente aux enfers. - Antithèse: figure de style qui domine cet extrait, indiquant une « différence » entre les deux supérieures, et donc une dégradation: « l’une et l’autre »; « la première/celle-ci »; « La mère de Moni/la seconde, au contraire »; « règne antérieur/règne qui suit ». - Parallélismes