Style La Rochefoucauld

XVIIème chez Mme de Lafayette : La princesse de Montpensier, récit sentimentale à dimension morale. - Michel de Montaigne Les essais Initiateur d’un genre, les essais. Un des gd fondateur d’une littérature morale. Le Bruyère n la Rochefoucauld s’inspire de lui. Un des fondateurs de la littérature personnelle, les écritures du moi. Un seul objectif : brosser un autoportrait « c’est que je peins » « je suis moi-même la matière de mon livre ». Composé pendant près de 20 ans 1571 jusqu’en

mariage Madame de La Fayette, connaît parfaitement ce monde de la cour qui, transposé à l’époque d’Henri II(1519-1559), formera le cadre de son roman La Princesse de Clèves liée au grammairien Ménage, au nouvelliste Segrais et au moraliste La Rochefoucauld, Madame de La Fayette, à partir de 1670, tient salon et écrit des romans et des nouvelles, qu’elle ne signe pas car le statut d’auteur lui semble incompatible avec son rang et son sexe. Sans doute La Princesse de Clèves, publié en 1678, ouvre-t-il

sous forme de plan et d'une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques (http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/connecteur.php) qui jouent le rôle de balises ou de poteaux indicateurs. Les connecteurs les plus importants sont ceux qui soulignent la causalité. On peut citer ensuite ceux qui ordonnent la présentation. On conseille à l’orateur ou à celui qui présente

 LA PRINCESSE DE CLÈVES Roman de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de, dite Mme de La Fayette (1634-1693), publié anonymement à Paris chez Claude Barbin en 1678. Composé en collaboration avec Segrais et La Rochefoucauld, le roman donna lieu à une enquête publique dans le Mercure galant (on appelait les lecteurs à se prononcer: la princesse a-t-elle raison d’avouer?), puis à une véritable querelle littéraire entre Anciens et Modernes à travers la critique de Valincour et la réponse

Dès l’école, j’ai été familier, comme tout le monde, avec un de nos plus grands écrivains : La Fontaine. La Fontaine est un peu notre Mozart. Son œuvre apparaît comme facile, légère, amusante. Elle est même sévèrement condamnée par Lamartine – « le style en est vulgaire et immoral… » – et par Jean-Jacques Rousseau – « elle porte plus au vice qu’à la vertu… ». Comme la musique de Mozart, elle est enchanteresse et profonde. Gide l’a bien vu : « L’art de La Fontaine est de dire légèrement et comme en

dans le style pompéien, seront terminés avant mars 1820. De cet ensemble, aujourd’hui disparu, il ne reste que les dessins et projets, personnages, scènes allégoriques ou mythologiques, déposés au Musée du Louvre. Il exécute également le décor de la salle à manger de l'hôtel particulier que le tragédien Talma31 se faisait construire32, au 9 rue de la Tour-des-Dames, à Montmartre. Cette décoration lui a été confiée en 1821 et a pour sujet : les quatre saisons en dessus de porte, dans le style gréco-romain

Un total contrôle du personnage régis par l’argent, permettant au vicomte une excellente renommé, mais aussi de pouvoir et savoir l’utiliser, manipulation qui s’exécute par la plume, la diversité des mots, du ton, du style. C’est nom sans quoi il se présente comme le personnage au style le plus divers, le plus polyphonique.(expert de la fausseté sentimentale avec Tourvel, maître à se faire passer en victime digne de foie avec le père Anselme, homme d'une grande autorité avec Azolan…) Personnage aux

Cours DEUG I LA PRINCESSE DE CLÈVES Roman de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de, dite Mme de La Fayette (1634-1693), publié anonymement à Paris chez Claude Barbin en 1678. Composé en collaboration avec Segrais et La Rochefoucauld, le roman donna lieu à une enquête publique dans le Mercure galant (on appelait les lecteurs à se prononcer: la princesse a-t-elle raison d’avouer?), puis à une véritable querelle littéraire entre Anciens et Modernes à travers la critique de Valincour

LA PRINCESSE DE CLVES Roman de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de, dite Mmede La Fayette (1634-1693), publi anonymement Paris chez Claude Barbin en 1678. Compos en collaboration avec Segrais et La Rochefoucauld, le roman donna lieu une enqute publique dans le Mercure galant (on appelait les lecteurs se prononcer la princesse a-t-elle raison davouer), puis une vritable querelle littraire entre Anciens et Modernes travers la critique de Valincour et la rponse de labb de Charnes,

combien fut profonde sur Balzac l’influence des moralistes du grand siicle. L’igoisme-l’amour-propreau centre m6me des actions humaines, cette philosophie dure et dksenchantke, c’est du Balzac, et c’est aussi du L a Rochefoucauld. Description minutieuse, observation aigiie et malveillante, style curieux et quelque peu contourni, tout cela se trouve d i j i dans L a Bruyire. I1 est un dernier point oir Balzac a kti moins novateur, Le Romantisme et le Realisme de Balzac 75 plus de son temps, qu’on ne l’a