Style De Beckett

fantaisie et la virtuosité ; et traite les thèmes du mouvement et de l’instabilité. Auteurs : D’Urfé, Saint-Amant, Cyrano de Bergerac, Corneille. * Le Classicisme, cherche à créer des modèles : et travaille sur la clarté, la rigueur dans un style simple, naturel et harmonieux. Les œuvres classiques doivent divertir mais surtout instruire. Ce siècle est inspiré par Louis XIV. Auteurs : Corneille, Molière, Racine, La Fontaine, La Bruyère. * XVIIIème siècle : RÉVOLUTION FRANÇAISE : 1789

dialecte padouan des scènes populaires et trouve son style dans l'improvisation de la commedia dell'arte. L'apogée d'un genre En France, la période d'éclat de la comédie se situe dans la seconde moitié du xviie siècle. Auparavant avec Jean de Rotrou, Paul Carron, Thomas Corneille, Philippe Quinault, s'épanouit la comédie d'intrigue, qui combinée avec le succès inépuisable de l'ancienne farce, l'imitation du genre espagnol, dans le style fantastique et burlesque. Pierre Corneille apporte

la liberté d'écriture des dramaturges au XX ème 2) j'ai parle de L'avare de Molière (en tant que pièce représentée) car il y avait plein de décors qui bougeaient, des costumes bien travaillés, etc etc 3) j'ai présenté Acte sans Parole de Samuel Beckett (dramaturge du XX ème) car dans cette pièce, il n'y a aucune parole, que des gestes, accessoires, et autre langages propres au théâtre autre que le verbal... antithèse : le théâtre peut aussi "instruir" renfermer un message et défendre des valeurs

premières ''pièces brillantes''. L’année suivante, Ardèle ou la Marguerite révèle une nouvelle facette du style de Jean Anouilh : les ''pièces grinçantes''. En 1953, le succès de L’Alouette (''pièce costumée'') rivalise avec celui d’''Antigone''. Après une période de répit, trois nouvelles pièces sont publiées en 1959 : L’Hurluberlu ou le réactionnaire amoureux, Le petit Molière et Becket ou l’honneur de Dieu, cette dernière obtenant immédiatement un succès. Après l’échec de La grotte (1961)

la première fois par l’écrivain et critique Martin Esslin (1961). Ce n’est pas vraiment un mouvement, il désigne une variante, une déclinaison du dramatique habituel. Il regroupe essentiellement les pièces de Beckett, Ionesco, Arrabal et les premières pièces d’Adamov et de Genet. Ce style si particulier débute avec l’Etre et le Néant (1943) de Jean Paul Sartres et les œuvres de Camus : L’Étranger et le Mythe de Sisyphe (tous deux de 1942). Dans le contexte de la guerre et de l’après-guerre, ces

certains jeunes auteurs se déclarent proches de cet écrivain. On peut ainsi considérer qu'il est devenu le chef de file d'une école littéraire, malgré lui. Nancy Huston, dans son dernier essai, rapproche Houellebecq du nihilisme des années 50-60 (Beckett, Cioran), et fait une critique acerbe de ses romans dans son ouvrage Professeurs de désespoir. D'autres écrivains en parallèle, durant la dernière décennie, utilisent sciemment le procédé de l'autofiction pour renouveler le genre romanesque (Christine

de base, réalisé, sous la forme d’un texte, ou de tout un style (verrouillage figé de combinaisons stylématiques). L’autre élément peut être présenté comme l’écriture d’un nouveau texte, ou la mise en exercice d’un nouveau style ». Dans ces nouveaux textes interviennent des variantes, car la réécriture n’est pas répétition exacte. Cette définition attitre l’attention sur deux éléments : la réécriture d’un texte ou la réécriture d’un style, cette dernière s’apparentant alors au pastiche, phénomène

BIBLIOGRAPHIE Sont réunis ici quelques "classiques" qui ont inventé ou développé un style, un sous-genre, des personnages, des situations nouvelles et mémorables. Beaucoup d'entre eux reflètent leur époque (le passage à la démocratie dans l'Antiquité grecque, le mal de vivre romantique, ou l'inquiétude devant la montée du totalitarisme, par exemple). Pour ces raisons, ils sont devenus des références fréquentes pour les oeuvres ultérieures. Leur lecture constitue une base culturelle

défauts d’un individu (ou d’un groupe d’individus), d’un comportement, etc. • Registre parodique : la parodie est une imitation satirique (d’un texte sérieux, du style d’un auteur) dont le but est de faire rire. • Registre burlesque : le burlesque repose sur un contraste entre le style et le sujet traité (traiter un sujet sérieux en style vulgaire, et vice versa). Le registre didactique : On parle de registre didactique lorsque la fonction d’un texte est d’enseigner, de transmettre un savoir ou une

chagrin, Louis Lambert, Le Chef-d'œuvre inconnu…). La génération suivante amplifiera cette approche réaliste avec Gustave Flaubert (1821-1880) dont on doit mentionner au moins deux chefs-d’œuvre où apparaissent aussi son souci de la perfection du style et son ironie pessimiste : Madame Bovary (1857) et L’Éducation sentimentale (1869). Son « disciple », Guy de Maupassant(1850-1893), les observations psychologiques et sociologiques comme dans Pierre et Jean (1888), Une Vie (1883) et surtout Bel-Ami (1885)