Stresemann

remboursement des dettes. Douanes, chemins de fer d’Etat etc. B) La politique française et allemande Poussée des extrêmes en Allemagne, tentative de Putsch en 1923. Emeutes organisées par les communistes. Stabilisation politique vient de Gustav Streseman, vient du centre droit, accepte le régime républicain, devient chancelier en 1923-24, puis ministre des affaires étrangères jusqu’en 192 ?. En France, point carré accepte le plan, mais élections suivantes gagnés par le Cartel des Gauches. Gouvernement

1923 ou le mark était constamment dévalué : «  La paie de 65000 Marks touchée le vendredi ne suffisait pas le mardi pour acheter un paquet de cigarettes » P89 . Heureusement a suivi une période heureuse après le rétablissement du Mark, menée par Stresemann, qui été une personnalité pondérant. Quinze ans après la guerre, Haffner fait aussi le rapprochement entre ses idées puériles d'alors et celles de la propagande simplificatrice du début des années trente, les unes et les autres s'adressant en définitive

France : Stresemann et Briand essaient de trouver un terrain d’entente entre Allemagne et France or ceci marche pas à cause des nationalistes qui s’en opposent Ils se voient en suisse Locarno 1925 → Allemagne reconnaît nouvelles frontières continentales sans être forcé/obligé 1926 L’Allemagne est admise dans société des nations et sort donc de son encerclement Joseph Bech→: ministre des affaires étrangères au Luxembourg + ministre d’Etat de Luxembourg Il rencontre Stresemann parfois,

troupes franco-belges pénétrent dans la Ruhr. Du côté allemand, c'est la « résistance passive ». La crise de 1923 risque d'être fatale pour le Reich, d'autant que les séparatistes rhénans se sentent encouragés. Le chancelier Cuno démissionne et Gustav Stresemann constitue un gouvernement de large coalition. Poincaré a gagné la bataille de la Ruhr mais il perd la « guerre froide » franco-allemande. En effet, l'Allemagne est en passe de sortir de la crise monétaire et politique alors que la France doit affronter

troupes franco-belges pénétrent dans la Ruhr. Du côté allemand, c'est la « résistance passive ». La crise de 1923 risque d'être fatale pour le Reich, d'autant que les séparatistes rhénans se sentent encouragés. Le chancelier Cuno démissionne et Gustav Stresemann constitue un gouvernement de large coalition. Poincaré a gagné la bataille de la Ruhr mais il perd la « guerre froide » franco-allemande. En effet, l'Allemagne est en passe de sortir de la crise monétaire et politique alors que la France doit affronter

triomphe brièvemement dans la seconde moitié des années 1920: on observe un bref age d’or de la SDN grâce à l’amélioration des rapports franco allemands, qui se concrétise dans l’esprit de Genève et le pacte de Locarno (§1). Cependant, l’entente Briand-Stresemann est ambiguë et ses résultats sans lendemains (§2), ce qui conduit dès 1929-1930 au retour des tensions (§3). A partir de 1924, l’atmosphère se détend, conduisant à un bref age d’or de la SDN (§1). Pourquoi cette détente des relations internationales

accepté le plan Dawes et a repris les versements envers la France, l’Allemagne est devenu acceptable sur la scène internationale. Aux yeux des français, l’Allemagne semble moins menaçante et moins déplacé qu’elle l’était en 1923. 1924 : Gustav Stresemann : chancelier en 1924 puis ministre des affaires extérieures allemande gouvernement de coalition jusqu’en 1929. C’est celui qui va concocter la politique extérieur de l’Allemagne dans une période qui n’est pas particulièrement facile. C’était un

après l’échec du gouvernement travailliste. Cette détente ne signifie pourtant pas la fin des nationalismes et des extrémismes. 2) La scène européenne s’éclaircit pendant quelques années LA DETENTE FRANCO-ALLEMANDE VOULUE PAR BRIAN ET STRESEMANN Elle se développe sous le signe de faux-semblants et d’arrière-pensées : les objectifs des deux hommes sont contradictoires mais pour quelque temps leurs stratégies convergent. L’idée de sécurité collective commence à s’imposer après la conférence

rancúurs en Europe. En Allemagne tout d'abord, dès les années 1920, se fait jour un véritable ressentiment à l'égard du « Diktat » de Versailles. Les efforts de rapprochement franco-allemand, sous l'impulsion du Français Briand et de l'Allemand Stresemann permettent de masquer ce ressentiment mais pas de le faire disparaître. Aussi, à la fin des années 1920, c'est sur la base de ce ressentiment que le NSDAP ? parti nazi ? d'Adolf Hitler entame sa conquête de l'opinion publique et du pouvoir. Une

En effet il occupe les plus hautes responsabilités de la République (plusieurs fois président du Conseil et plusieurs fois ministre des Affaires étrangères). D'ailleurs en 1926 le Prix Nobel de la paix lui est co-decerné avec l'allemand Gustav Stresemann. Il n'est donc pas étonnant de le retrouver ici prononçant un discours à l'Assemblée devant les diplomates européens. Quel est le point de vue d'Aristide Briand sur la Société des Nations et par quels moyens entend t-il consolider