Stresemann

trop bloquée, veut trop faire payer l’Allemagne en ne tenant pas compte du contexte économique. Britanniques ok pour un moratoire (cessation des traites durant un certain temps). Poincaré reste ferme et refuse tout cela. Le Chancelier allemand, Stresemann, va demander la « résistance pacifique », et demande aux ouvriers allemands de ne plus travailler = productions s’effondrent. Situation va se débloquer : 1924, Poincaré n’est pas réélu. Arrive au pouvoir les cartels de gauche, Herriot au pouvoir

le triangle financier  de la paix: les États‐Unis prêtent à l’Allemagne, celle‐ci s’acquitte de  ses réparations, tandis que les  Alliés remboursent leurs dettes.  • 2. Le plan Young B. Locarno, retour du concert  européen? Le couple Briand‐Stresemann Gustav Stresemann Aristide Briand C. La paix par la Société des Nations,  • 27 août 1928 : pacte de renonciation à la  guerre signé à Paris (Pacte Briand‐Kellogg) 5 septembre 1929: Aristide Briand propose  de créer « une sorte de  lien fédéral

Hitler à Munich en 1923), attentats nationalistes (assassinats d'Erzberger en 1921, de Rathenau en 1922), prolifération des factions armées, tentatives de soulèvements communistes (Hambourg, 1923). Le régime connaît cependant une relative stabilité. Stresemann parvient à trouver avec les Alliés des modalités acceptables de règlement des réparations (plans Dawes en 1924 et Young en 1929 ; accords de Locarno avec la France et l'Angleterre en 1925). La crise économique semble alors enrayée et les passions

Les relations franco-allemandes et la construction européenne (1919-1992) Documents joints : Lettre de Gustav Stresemann au Kronprinz (07/09/1925) Discours de Pierre Laval (22/03/1942) Caricature britannique de Cummings, parue dans le Daily Express (17/08/1959) Préambule à la loi portant ratification du traité franco-allemand, voté par le Bundestag (Bonn, 15/06/1963) Discours de François Mitterrand devant la Bundestag (20/01/1983). Relations franco-allemandes au cœur de l’histoire

Edouard Herriot envisage une entente européenne dans le cadre de la Société des Nations, une organisation régionale européenne imitée de l’Union panaméricaine, avec ses conférences périodiques et son secrétariat permanent. - Aristide Briand et Gustav Stresemann, artisans de la réconciliation franco allemande proposent le Mémorandum sur l’organisation d’un régime d’Union fédérale européenne qui fixait comme but à long terme « l’établissement d’un marché commun ». - Les années 1930 sont marquées par la

par Wilson en 1917 qui ont conduit à la création de la Société des Nations. L’idée d’une sécurité collective qui laisse espérer une paix librement consentie entre anciens belligérants se développe, grâce aux efforts conjoints de l’Allemand Gustav Stresemann et du Français Aristide Briand. La présentation de la SDN et de son échec demande à être effectuée de manière synthétique, en lien avec le retrait des États-Unis, seul pays en mesure de prolonger un engagement total dans la paix, qui est mis en

d’octobre 1915 à mars 1917. Défenseur de la SOCIETE DES NATIONS, il se fit l’apôtre du désarmement et de la réconciliation franco-allemande (le pacte Briand-Kellogg de 1928 déclara la guerre hors la loi). Prix Nobel de la paix en 1926 (avec Stresemann). Gustav STRESEMANN (1878-1935) : Député au Reichstag en 1906, président du groupe national-libéral en 1917, il fonda le parti du peuple au lendemain de la défaite de 1918. il forma un gouvernement de coalition groupant sociaux-démocrates et populistes en

fédérale européenne bien vue par les 27 délégués des états membres de la snd. Il veut: Conférences européennes, comités politiques, sécrétariat. Fédération fondée sur l'idée d'union et non d'unité, qui ferait face à un danger. b) Echec: gustav stresemann assassiné (amabssadeur allemand, qui soutenait Briand), crise boursière + anglais s'occupent de leur état et pensent que ça va affaiblir l'europe. Priorité de l'économie sur la politique (réponse belge). Réponse allemande et italienne: pb des états

crise est elle-même à l'origine d'une inflation galopante, que la création du Reichsmark (1924), puis l'application des plans Dawes (1924) et Young(1930) finissent par arrêter. Sur le plan diplomatique, le ministre des Affaires étrangères Gustav Stresemann (1923-1929) mène une politique modérée qui l'amène à se rapprocher de la France (Aristide Briand) et à signer une série d'accords avec les Alliés. À la suite, notamment, des accords de Locarno (1925), il obtient une évacuation accélérée des zones

l'horizon se dégage en Europe occidentale et dans le reste du monde. La question des réparations est en voie de règlement avec le concours des États-Unis. Deux hommes politiques de premier plan, le Français Aristide Briand et l'Allemand Gustav Stresemann, prônent la réconciliation franco-allemande et l'union politique de l'Europe! Ils reçoivent ensemble le prix Nobel de la Paix en 1926. En URSS, la libéralisation de l'économie, les progrès du niveau de vie et la coopération des communistes avec