Stresemann

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reprise et personnifiée à travers la politique diplomatique d'Aristide Briand. Influencé par le socialisme, il se veut l'artisan d'une diplomatie tournée vers la coopération et la paix. Il est l'investigateur, avec son homologue allemand Gustav Stresemann, des accords de Locarno le 16 octobre 1925 qui, en reconnaissant les frontières occidentales, rétablissent l'égalité de droit avec les puissances internationales et inaugurent le rapprochement avec l'Allemagne. Il a aussi une volonté affichée de

la brasserie ou putsch de Munich : Au cours de l’automne 1923 de nouveaux désordres virent le jour, dû à l’inflation, ainsi que l’occupation de Ruhr par les troupes françaises. A cela vient s’ajouter la déclaration du Chancelier du Reich Gustav Stresemann, qui annonçait la fin de la résistance passive et de la reprise du payement des réparations. Tout ceci déclencha dans la région de Spandau une tentative de putsch par une armée clandestine de 20'000 hommes, qui fut un échec dû à l’intervention des

déterminé. Les accords de Locarno, issus de la conférence du même nom (du 5 au 16 octobre 1925) illustrèrent la courte période de réconciliation franco-allemande, sous l’égide des deux ministres des Affaires étrangères, Aristide Briand et Gustav Stresemann ; ils furent accompagnés par leurs homologues britannique (Joseph Chamberlain) et belge (Émile Vandervelde), ainsi que par Benito Mussolini, chef du gouvernement italien. Les accords signés garantissaient les frontières européennes, en particulier

• La France des " années folles ", 1919-31 : A. Profiter de la victoire : 1. Poursuivre l’union sacrée : La France est sûre de son droit à la fin de la guerre. Elle récupère l’Alsace et la Lorraine, et veut faire payer l’Allemagne (1923 : occupation de la Ruhr).  Mais les conséquences furent lourdes : ¼ des combattants est blessé, et 1,4 millions de tués... Les anciens combattants se regroupent en associations (ligues) pour que le souvenir reste. 2. Une grande puissance : Intervient

stratégie du Chancelier visant à creuser le fossé entre la France et le RU, et prouver à ce dernier que les solidarités économiques sont plus puissantes que les alliances de guerre. Mais en 6 mois, la situation politique et économique est telle que Stresemann plie et entame les négociations avec Poincaré. Malgré la victoire de ce dernier, les résultats se transforment en échec sur le long terme car le plan Dawes est accepté par la France et l’écart entre l’intransigeance française et la modération des

leurs dettes afin de pouvoir concurrencer la puissance boursière anglaise. Le corridor de Dantzig donne un accès à la mer à la Pologne, afin que la Pologne soit suffisamment solide.  TEXTE 18 : « Lettre du Gustav Stresemann au Kronprinz » (7 septembre 1925) p. 31 En 1925, Stresemann appartient à un régime contesté. Il a fondé son propre parti : « le Partie du Peuple Allemand ». La République de Weimar est une coalition entre la SPD et la droite modérée. Le Kronprinz, le prince hériter, fil

toute indemnité pour la nationalisation de ses biens en Russie. Invasion de la Rhur le 11 Janvier 1923 Putsch de la brasserie par Hitler à Munich le 8 et 9 Novembre L'âge d'or des années 1920 ( 1923-1928) Prospérité Dès le 26 Septembre, Stresemann annonce que le mark est mort. Le 15 Novembre 1923 : émission d'une nouvelle monnaie par l'intermédiaire de la Rentenbank. Par la suite le système monétaire se normalise et se stabilise. La plan Dawes Le but est de mettre fin au chaos en Allemagne

élections législatives montrent une défaite de la « coalition de Weimar ». Celle-ci perd le contrôle avec seulement 11 millions de voix et 225 sièges contre 14,5 millions de voix et 241 sièges obtenus par d’autres partis. Le parti populiste de Stresemann double ses voix, de même que l’U.S.P.D et les Nationaux-allemands en gagnent 30%. Par contre, le parti démocrate (D.D.P.) perd un tiers de ses voix. Quant au S.P.D., la moitié des voix est perdue.( Richard, La vie quotidienne sous la République

rapprochement franco-allemand sous Briand et Stresemann Aristide Briand, ministre des affaires étrangère français de (1862/1925/1932) est l’homme du rapprochement avec l’Allemagne suite à l’occupation de la Ruhr. Il s’appuie sur le chancelier Stresemann (1878/1923/1928). En 1925 par le pacte de Locarno sous l’égide de Mussolini, l’Allemagne reconnaît sa frontière occidentale. En 26 , L’Allemagne entre à la SDN parrainée par la France et Briand et Stresemann reçoivent le prix noble de la paix pour la