Stresemann

retrouve en difficulté sur la scène internationale, elle n’est pas soutenue par les anglo-saxons, il y a même une pression sur le franc, elle est en pleine crise inflationniste. Et en All le chancelier Cuno est remplacé en aout 1923 par Gustave Stresemann qui est contraint d’assouplir la position de l’All car cette situation devient intenable pour l’All (forcée de verser des salaires aux ouvriers qui mènent la grève passive alors que l’activité économique est stoppée). Les deux pays vont être obligés

compromis financier qui règle les problèmes de réparations pour 5 ans. => Evacuation de la France de la Ruhr. => Redressement de la monnaie allemande grâce au prêt international. - Bonne entente A. Briand (ministre des affaires étrangères, 1925)/G. Streseman. => Reprise échange financier et rapprochement franco-allemand économique et politique. - 1925 : Accords de Locarno - 1927 : Création du Carte de l’Acier + Traité de Commerce franco-allemand Initiative de Briand dans le cadre de la SDN 

deuxième hécatombe en All, détesté par Clemenceau qui a tout fait pour la disqualifier pendant la guerre. Renoue bonnes relations avec anglo-saxons et commence rapprochement européen qui incarne sécurité. Ministre des Affaires Etrangères. Gustave Stresemann a une approche très pragmatique : se rapprocher de la France, c’est rendre à l’All sa place dans les affaires européennes, il faut sortir de cette position d’isolement. Après la guerre, All doit revenir puissance : veut intégrer SDN pour avoir influence

plus, Adenauer a toujours été très critique à l’égard de la « politique des prussiens » et de Berlin. Mais c’est quelqu’un de très légitimiste, il en parle au gouvernement. Le ministre des affaires étrangères, Stresemann, comprend les dangers du plan français. Le 26 septembre 1923, Stresemann met officiellement fin à la résistance passive et demande à entrer en négociation avec les français pour débattre du différend. Le plan français était de favoriser la création d’un Etat rhénan autonome en faisant

1925 à mars 1929. Le pacte qu’il rédige en collaboration avec Aristide Briand* lui vaut de recevoir le prix Nobel de la paix pour l’année 1929. Article I Les Hautes Parties contractantes (c’est-à-dire Aristide Briand* pour la France, Gustav Stresemann* pour l’Allemagne, Frank B Kellog le secrétaire d’Etat américain, mais également les représentants du RoyaumeUni, de l’Italie, de l’Etat libre d’Irlande, de l’Afrique du Sud, du Canada, de la Tchécoslovaquie, de la Pologne, du Japon, de la Nouvelle-Zélande

s’étalent jusqu’en 1988. Ceci atteste d’une projection des puissances dans le temps et donc d’un optimisme résolu de leur part. C’est dans ce contexte de coopération, que le rapprochement européen débute, avec notamment la relation entre A. Briand et G. Stresemann. De leur côté les Etats Unis sont aussi encore en bonne posture économique. La naissance du crédit et l’accès à l’actionnariat des classes moyennes permettent le développement d’un nouveau modèle de société de consommation qui semble inarrêtable

droits militaires ainsi que l’occupation de la Ruhr par les troupes françaises. Le plan Dawes (rééchelonnement des dommages, reprise du paiement des réparations et retrait de la Ruhr le 17 Aout 1924, redressement économique avec le nouveau chancelier Stresemann par l’introduction d’une nouvelle monnaie le Rentemark défini par rapport à l’étalon or) a répliqué contre cette hyperinflation et fût mis au point par Charles G. Dawes pour les Etats-Unis sous l’impulsion des gouvernements américain et anglais

Ministre des Affaires étrangères et délégué français auprès de la SDN entre 1925 et 1932. Aristide Briand est un défenseur de la sécurité collective, du désarmement et de la réconciliation franco-allemande. Sa collaboration avec le ministre allemand Stresemann permet l'entrée de l'Allemagne au sein de la SDN en 1926. Briand reçoit le prix Nobel de la paix la même année. Franklin Delano Roosevelt (1882-1945) : élu président des États-Unis en 1932 (parti démocrate), il entreprend pendant la période de

SDN, conscient de l’opportunité d’un rapprochement franco-allemand autorisé par un partenariat facile avec Gustav Stresemann. Briand évoque avec prudence et un relatif flou une « sorte de lien fédéral », seulement économique et ne portant pas atteint aux souverainetés nationales, basé sur une procédure d’étude et de discussion. Des voix soutiennes l’idée de Briand : celle de Stresemann qui soutient le projet d’Europe économique en évoquant la nécessité d’une « monnaie européenne » ; celle de Keynes

conflits entre Etat en ce basant non pas sur les règles national mais international. Tribunal qui est indépendant de tout les Etats. 3 pères fondateurs -> - WILSON: président USA - ARISTIDE BRIAND: ministre des affaires étrangères France - WASH STRESEMANN: ministre des affaires étrangères Allemagne La SDN a été un échec politique, cela s'explique de plusieurs raisons du a une cummulation d'échec 1er faiblesse -> Tout les Etats ne sont pas admis dans cette SDN, il faut attendre 1928 par ce que