Stratégie Commerciale Vivendi Universal

Présidents Conseil de Surveillance et Directoire Comité de Direction Chiffres clés Chiffres clés de l’actionnaire Environnement économique en 2005 2 4 6 8 10 12 La BMCI en 2005 Principaux indicateurs d’activité et de résultats Les activités commerciales Activités des filiales spécialisées Des moyens à la hauteur des ambitions 2005, une année riche en innovations 16 18 20 24 26 28 UMLOÆ NOS VALEURS q´UH∑∞« La réactivité Ÿ«b°ù« La créativité L’engagement «e∑∞ù« ÕuLD∞« L’ambition

La rémunération des entrepreneurs individuels (agriculteurs, commerçants, artisans, membres de professions libérales) résulte de l'EBE dégagé par leur entreprise et représente 21,5 % des revenus primaires des ménages (bénéfices industriels et commerciaux (BIC), honoraires, bénéfices agricoles...). Ce sont des revenus mixtes puisqu'ils rémunèrent à la fois un travail et un capital et qui varient en fonction : De la demande des ménages, De la concurrence (monopole, concurrence

droit d’auteur Le mouvement est en effet irréversible, et les enjeux ne doivent pas être sous-estimés. Les implications du développement des techniques numériques sur le droit d’auteur débordent largement cette notion. Une approche économique et commerciale est traditionnellement opposée à une approche culturelle. 1.4.1 Banalisation ou démocratisation de la publication, disparition ou valorisation de la référence ? La protection des œuvres sur le réseau internet, mais aussi la facilité d’y créer des

l’Université de Yaoundé II- Soa pour les conseils réciproques et à tous ceux qui de près ou de loin ont participé à la réalisation de ce mémoire. Abréviations AMF: Autorité des Marchés Financiers BEAC: Banque des Etats d’Afrique Centrale CBC: Commercial Bank of Cameroon CAC: Commissaire Aux Comptes Cf.: Confère CFC: Crédit Foncier du Cameroun CNC: Conseil National de Crédit CNCC : Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes CNPF : Conseil National du Patronat Français COBAC: Commission

LE MANAGEMENT DE L’ENTREPRISE  Section II : Justificatifs et facteurs d’échecs et de réussite d’une opération  de  LBO    I.  Justificatifs du recours à une opération LBO    3  1.  LA MODIFICATION DE LA GEOGRAPHIE DU CAPITAL DES ENTREPRISES   FAMILIALES  2.  STRATEGIE DE DESINVESTISSEMENT DES GRANDS GROUPES   3.  UNE TECHNIQUE DE PRIVATISATION   4.  UN INSTRUMENT DE SORTIE DE LA BOURSE   II.  Facteurs de réussite et risques d’échec  1.   LES CONDITIONS DE MISE EN PLACE DE L’OPERATION  2.   LES FACTEURS INHERENTS A L’OPERATION DE LBO 

consommateurs) Industrie traditionnelle (vente liée interdite) Chapitre Introductif : Economie de la concurrence et politique de la concurrence Economie de la concurrence / politique de la concurrence. Exemple : Microsoft (démantèlement). Vivendi Universal (emprisonnement du dirigeant). Thèmes : • Quelle est l’utilité d’une discipline spécifique (économie de la concurrence) pour traiter de ces grands cas et de ces grands procès Rôle de l’économie par rapport au droit ? • Quels sont les résultats

points incontournables suivants sont respectés. Tout d’abord, il est essentiel de garder à l’esprit que ce projet doit concourir au développement de votre entreprise et non du vôtre. Ensuite, un investissement CRM doit s’inscrire dans le cadre de la stratégie de votre entreprise et non le contraire. Enfin, il est primordial que ce projet soit conduit par les utilisateurs et non par les informaticiens. En effet, l’informatique finit toujours par fonctionner mais les hommes, eux, ne marcheront jamais s’ils

serre ; elle rappelle les efforts à faire pour améliorer de façon durable la gestion, la conservation et le développement des forêts. En outre, elle appelle à mettre fin à l’exploitation intensive des ressources en eau, et à la mise en place de stratégies nationales et locales pour assurer un accès égal à l’eau, lutter contre la pollution et garantir la protection de la qualité de l’eau. En effet, une bonne gestion de l’eau se révèle un facteur déterminant pour sauvegarder l’intégrité des écosystèmes

greniers agricoles importent paradoxalement aujourd’hui des produits alimentaires. Ajouter à tout cela le retard considérable dans le transfert des technologies contrairement aux pays d’Asie ; cela fait que l’Afrique ne participe qu’à 1% des échanges commerciaux dans le monde. Une des conséquences de ces mauvais choix est l’énorme dette qui plombe les économies africaines et qui les mettent à la merci des institutions de Bretton Wood avec leurs injonctions sous forme de « programme d’ajustement structurel »imposé

potentiel humain dynamique et professionnel de Akwa Group dont la pluridisciplinarité se forge en une synergie de compétences réussie sous la présidence de son leader M. Akhennouch ; et s’adressent en particulier à l’équipe gagnante de la Direction Stratégie et Organisation distinguée par son esprit coopératif remarquable. Je tiens aussi à témoigner de l’ingéniosité et du professionnalisme de toutes les personnes avec qui j’ai travaillé de prés, notamment M. Ghassane BENCHEKROUN, Directeur Administratif