Stephen Frears

rôle passif dans le début du roman, c’est elle qui accueille la majeure partie des intrigues mais elle prend toute une dimension dès la troisième partie de l’œuvre de par sa correspondance avec la Présidente de Tourvel. Dans le film de Stephen Frears, c’est Mildred Natwick qui joue son rôle mais son personnage n’a qu’une faible importance en comparaison au roman, elle est effacée de l’intrigue finale. On peut donc se demander le rôle réel de Madame de Rosemonde dans le roman ?

moralistes du xviie siècle. Il réussit, malgré la diversité des voix qui s’expriment dans ces lettres, à donner à son roman une unité incontestable. Les Liaisons dangereuses a inspiré plusieurs cinéastes : Roger Vadim (les Liaisons dangereuses, 1959), Stephen Frears (les Liaisons dangereuses, 1988) et Miloš Forman (Valmont, 1989). Commentaire : Extrait tiré de Nadja, d'André Breton en 1928  Le surréalisme, mouvement artistique fondé par André Breton au Xxème siècle, est définit comme un automatisme psychique par

l'amour). Le genre du roman s'inscrit dans une ambiance plus tragique, avec par exemple Julie ou La Nouvelle Héloïse de Rousseau, qui date de la même époque (il en est d'ailleurs fait mention entre la 13ème et la 14ème minute dans l'adaptation de Stephen Frears). On peut donc imaginer que l'utilisation d'un thème propre à l'époque était un moyen de se faire remarquer dans la société de cette époque, en plus de l'utilisation d'un titre et d'un sous-titre évoquant un thème scandaleux (« Les Liaisons Dangereuses

XVIIIe siècle met en scène les intrigues amoureuses de l’aristocratie et a inspiré un très grand nombre de travaux critiques et analytiques, de pièces de théâtre et de films. Le roman a été plusieurs fois porté au cinéma, par Roger Vadim (1959), Stephen Frears et Milos Forman (1989), Lee Jae-Youg (2004) ou encore Roger Kumble (1999), En 1779, il est envoyé en mission dans l’île d'Aix pour assister le marquis de Montalembert dans la direction des constructions de fortifications contre les Britanniques

xviiie siècle met en scène les intrigues amoureuses de l’aristocratie et a inspiré un très grand nombre de travaux critiques et analytiques, de pièces de théâtre et de films. Le roman a été plusieurs fois porté au cinéma, par Roger Vadim (1959), Stephen Frears et Milos Forman (1989) ou Roger Kumble (1999). Sommaire [masquer] 1 La carrière militaire 1.1 Les Liaisons dangereuses 1.2 La Révolution 2 Prononciation 3 Œuvres 4 Annexes 4.1 Bibliographie 4.2 Articles connexes 4.3 Liens externes

victimes, comme l’illustre l’exemple de Cécile de Volanges. Elle parvient même à manipuler Valmont en le forçant à quitter la seule femme qu’il ait jamais aimée, la présidente de Tourvel. (L'aime t'il réellement ? L'adaptation cinématographique de Stephen Frears nous laisse penser que oui, mais c'est un parti-pris du réalisateur, alors que dans l'oeuvre les sentiments de Valmont ne sont pas si précis...) À la fin du roman, toutes ses machinations sont découvertes et, défigurée par la petite vérole, elle

Aykroyd. Elle est ensuite dirigée par Milos Forman dans « Valmont » (1989), aux côtés de Colin Firth et Meg Tilly, puis par Mike Nichols dans « Bons baisers d’Hollywood » (1990). En 1990, elle est au générique du long métrage « Les arnaqueurs » de Stephen Frears aux côtés de John Cusack et Anjelica Huston. Son interprétation dans ce film lui vaut une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle et une même nomination aux BAFTA Awards anglais. Un an plus tard, elle tourne dans « A propos

tourbillon de plaisirs qui semble n'avoir pas de fin. Ce sulfureux roman a longtemps été censuré, ce qui ne l'a pas empêché de fasciner des générations de lecteurs et, plus près de nous, de captiver bon nombre de cinéastes : Les Liaisons Dangereuses de Stephen Frears mais aussi les adaptations de Roger Vadim, et de Milos Forman. Liens avec ce que nous avons fait cette année en seconde. ■ Approfondir la connaissance du genre du « roman épistolaire » ■ Découvrir la manifestation littéraire d’un type de

tourbillon de plaisirs qui semble n'avoir pas de fin. Ce sulfureux roman a longtemps été censuré, ce qui ne l'a pas empêché de fasciner des générations de lecteurs et, plus près de nous, de captiver bon nombre de cinéastes : Les Liaisons Dangereuses de Stephen Frears mais aussi les adaptations de Roger Vadim, et de Milos Forman. Liens avec ce que nous avons fait cette année en seconde. ■ Approfondir la connaissance du genre du « roman épistolaire » entrevu avec Inconnu à cette adresse. ■ Découvrir la manifestation

de rétablir en quelque sorte une justice, n’éprouve envers ses paires aucune forme de compassion, de solidarité. En réalité, sa soif de pouvoir et de puissance fait d’elle une femme qui peut parfois s’avérer dangereuse. Enfin, si, de par son film, Frears montre Madame de Merteuil comme une femme libre et maîtresse d’elle-même, Laclos reste, comme l’impliquent les mœurs du XVIIIème siècle, assez peu féministe : dans son roman, la cause des femmes n’est pas réellement défendue. Dans quelle mesure, d’ailleurs