Spéctateur Passif Théâtre

cours dans Phèdre. On relève d’emblée des traits communs : - chaque personnage apparaît finalement isolé dans une parfaite incommunicabilité ; - hormis Oenone, les confidents n’apparaissent pas ; ils s’en tiennent à des rôles d’observateurs passifs. Quant aux initiatives d’Oenone, elles ne sont pas récompensées. Elles seront interprétées comme une trahison : Phèdre : « Ainsi donc jusqu’au bout tu veux m’empoisonner, Malheureuse ? Voilà comme tu m’as perdue. » (v. 1305-1309, Acte IV, sc. 6)

monde d’aujourd’hui. Le N : l’idéal du moi , le ptit d’homme est ce qui l’amène a agir de façon heureuse pour tendre vers son idéal. Le P : moi idéal  ( mégalomanie) ( tralalala qui vise a donner l’illusion du pouvoir mais qui n’est que du théâtre. Au niveau de la pensée, le N a des doutes. Tandis que le pervers n’a que des certitudes. Le Pervers est sur la défensive Le N va se remettre en question et remettre d’autres personnes en question. Le pervers : il y a des persistances

indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. Albert Camus, L’étranger (1940) 1) L’aumônier de la prison. Le narrateur, Meursault, est condamné à mort et attend son exécution. Documento 2 BÉRENGER1 (…) Je ne suis pas

Registre. Un dramaturge contemporain : Koltès. Le Mélange des Genres dans le théâtre moderne. Les grands thèmes chers à Koltès : inadaptation au monde. Pour une analyse plus complète du théâtre de Bernard- Marie Koltès, je renvoie à l'ouvrage de Anne Ubersfeld, Bernard-Marie Koltès, Acte Sud-papiers, 1995. Problématique Objet(s) d’études Lectures analytiques - La modernité de la représentation du Tragique chez Koltès - Théâtre : texte et représentation 1. 2. 3. 4. Scène I : L’Evasion (scène d’exposition

Registre. Un dramaturge contemporain : Koltès. Le Mélange des Genres dans le théâtre moderne. Les grands thèmes chers à Koltès : inadaptation au monde. Pour une analyse plus complète du théâtre de Bernard- Marie Koltès, je renvoie à l'ouvrage de Anne Ubersfeld, Bernard-Marie Koltès, Acte Sud-papiers, 1995. Problématique Objet(s) d’études Lectures analytiques - La modernité de la représentation du Tragique chez Koltès - Théâtre : texte et représentation 1. 2. 3. 4. Scène I : L’Evasion (scène d’exposition

son escalier imposant, d’un atrium fait en marbre de Bologne, d’un bar, d’un théâtre, d’une salle des fêtes. On a également des salons de jeux avec une salle de baccara avec un salon privé et un restaurant de nuit et des salles pour les divers services dont les cuisines. C’est la plaquette programme qui décrit bien les divers éléments qui compose le palais nommé par la gazetta riviera « le palais des féeries ». Le théâtre se compose d’un parterre entouré de baignoires, d’un premier étage où l’on

lumière, construction de décor, régie générale, création d’éclairage 1987-1995 Journaliste-photographe membre du syndicat national de la critique dramatique et musicale . collaborations sur le théâtre, le théâtre jeune public, la danse contemporaine, le théâtre de rue avec : L’Humanité, l’Avant-scène théâtre, Danser… . photos parues dans L’Express, Marianne, Télérama, La Vie, L’Humanité, l’Humanité-Dimanche, Le Figaro magazine […] depuis 1995 Graphiste-conseil en communication . création et direction

pas à tromper nos sens pour provoquer en nous la peur, l'excitation, l'angoisse, etc., il ne cherche pas à se substituer à l'expérience immédiate, et à jouer des effets de cette tromperie. De même le spectateur vil est celui qui ne sait pas voir derrière ce M. Jourdain sur la scène du théâtre la réalité sociale générale. On appelle goût3 la capacité à distinguer parmi les oeuvres celles qui représentent une réalité, et celle qui jouent des effets de trompe-l'oeil. {text:bookmark-start} {text:bookmark-end}

(1558), où on voit une succession d'amours non réciproques ; comme ceux de Madeleine de Scudéry, dont les héros chevaleresques ont toutes les qualités dont Hermione, dans ses rêveries solitaires, pare l'objet de ses voeux. - Maintes pièces de théâtre aujourd’hui oubliées, Racine ayant de la production dramatique de son siècle une connaissance étendue. Ainsi, si des critiques mal informés lui ont fait un mérite d'avoir imaginé l’odieux chantage auquel Pyrrhus soumet sa prisonnière, c’était au contraire

ironie. Traitement comique de l'horreur. [pic] CHAPITRE 6 : Candide soldat 1- EVOLUTION DU PERSONNAGE : Candide réagit comme en subissant l'événement : dans le §2, il n'est l'auteur d'aucune action (son nom n'est jamais sujet, sauf d'un verbe passif la fin : "fut fessé"). Ensuite il est accablé d'une cascade d'adjectifs (début 3) qui renvoient tous à la stupfaction et l'inadaptation aux choses. La cérémonie elle-même nous montre Candide comme une marionnette déguisée dont nous ignorons les réactions