Spécificité Humaine Freud

le fait de pouvoir se tromper soi-même. Mais alors, que pourrait légitimer l’emploi de cette expression ? De plus, pourquoi, dans quel but se mentir à soi-même ? On va voir que cette question est en quelque sorte une interrogation sur la condition humaine qui fait intervenir plusieurs notions comme la conscience ou le sujet. Dans un premier temps, le verbe « mentir » demande à être défini précisément. Mentir, c’est déguiser, altérer la vérité, c’est-à-dire donner pour vrai ce que l’on sait être faux

Psychanalyste : spécialiste de l’inconscient se référent exclusivement à la théorie psychanalytique Freud il conçoit les symptômes et la psychopathologie du point de vue de l’histoire de l’individu dans son rapport a son inconscient et traite la maladie mentale à partir de cette hypothése Le psychanalyste est une technique d’investigation psychologique des processus inconscients La constitution d’un corpus théorique rendant compte du fonctionnement normal et pathologique de la vie psychique

de maladies mentales. Pinel a décidé de traiter les « aliénés » comme des malades ordinaires. Il voulait leur proposer un traitement et par ailleurs comprendre leur maladie. Il créa le traitement moral de la folie : avoir une vie comme les êtres humains (sortie, vie sociale,..) pour redevenir des sujets à part entière. Jusqu’à présent les « fous » étaient considérés comme des possédés mais à partir du 19ème, on les considère comme des gens malades et on décide de les soigner. Emile Kraepelin : essaye

de fuir le réel. Il faut aussi faire la différence entre ima créatrice et ima reproductrice. L’imagination poétique créée une œuvre, les poètes retranscrivent dans le réel un monde irréel qui participe à la culture. L’œuvre va augmenter le monde humain qui ne se trouve pas dans la réalité initiale. L’imagination productrice s’appelle la fantaisie Fantaisie idée de légèreté, c’est la puissance en moi qui me permet de m’échapper du réel Réel  idée de pesanteur, de résistance, le réel c’est ce

théoriques, un désir subconscient, une perception subliminale, une attitude ou un préjugé implicite, un apprentissage procédural, pourraient être désignés comme « inconscient ». Sigmund Freud Au travers de la correspondance entre Biswanger et Freud, on constate diverses influences philosophiques et épistémologiques6,7. Freud dit « l'inconscient est métapsychique et nous le prenons simplement pour réel »8,9. Histoire L'opposition entre phénomènes conscients et inconscients est déjà présente au xviiie

 Kierkegaard Conclusion | Introduction   La religion apparaît en même temps que la pensée ! Par la pensée, l'esprit humain imagine au-delà des apparences immédiates, matérielles, une présence invisible au cœur de celles-ci. Et elle apparaît avec le refus de la mort, dans l'aspiration à la Vie au-delà la vie. La religion a occupé une place centrale dans les cultures humaines. Contemporaine de l'avènement de l'humanité, avec les pratiques funéraires qui témoignent de l'existence de rites et de

cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi l'homme l'acquiert de deux manières : Primo théoriquement, parce qu'il doit se pencher sur lui-même pour prendre conscience de tous les mouvements, replis, penchants du coeur humain et d'une manière générale se contempler, se représenter ce que la pensée peut lui assigner comme essence, enfin se reconnaître exclusivement, aussi bien dans ce qu'il tire de son propre fond que dans les données qu'il reçoit de l'extérieur. Deuxièmement

l'époque antique « étude de l'âme humaine », s'étudiait comme une branche de la philosophie. Les médecins aussi, depuis l'antiquité, s'intéressent aux troubles du psychisme (mélancolie, hystérie, idiotie…). Cette branche de la médecine est appelée « médecine de l'aliénation mentale » au Moyen-Age. Le mot « psychologie » apparaît au XVIème siècle, inventé par Melanchton en 1588. Le terme n'a pas de succès tout de suite, on continue à parler de « l'étude de l'âme humaine », car la psychologie n'a pas

fait la spécificité de l'animal humain par rapport à tous les autres animaux. Et enfin, nous tenterons de comprendre à quoi cette spécificité de l’homme lui sert. Aristote commence par poser sa thèse: "L'homme est par nature un animal politique". A la question "qu'est-ce que l'homme?", il donne une définition. Il utilise, comme tout au long de cet extrait, une comparaison, ici entre l'homme et l'animal. Le genre auquel appartient l'homme est le règne animal, mais sa spécificité par rapport

qu’un jeu d’illusionnistes. L’expérience esthétique nous modifie, nous enrichit en nous dévoilant une certaine vérité jusque-là masquée par notre rapport à la réalité quotidienne. Ainsi la question à se poser est si l’art, en tant que production humaine, modifie-t-il la qualité de notre rapport à la réalité concrète ? Autrement dit, permet-il de changer la vie, ou bien est-ce le jugement, l’état d’âme que suscite en nous l’œuvre d’art qui modifie notre manière d’appréhender et de comprendre le monde