Spéculation immobilière

boursière d’Octobre 1929). *CAPITAL = « Argent » -> division en parts égales -> action SPECULATION = jouer avec la valeur des actions. Acheter une action puis la revendre plus chère pour faire des bénéfices. La crise de 1929 est d’autant plus importante qu’elle est liée au développement du capitalisme financier. Le développement des bourses, des marchés d’actions et de la spéculation vont être à l’origine de la 1° grande crise du capitalisme. b- Le développement industriel moteur

ne peuvent pas absorber l’excédent de la prod manque de moyens de paiement (ø OR, $) * presque plus de prod OR du monde (EU tt acheté), autres pays ne peuvent payer en $ à cause lois protectionnistes de 1920 par les républicains * Spéculation boursière= résultat de cette situation ! déséquilibre entre prod et conso pousse ets à détourner une partie de leurs profits, de l’investissement productif vers la Bourse. * On achète donc des actions pr spéculer et non en fonction valeur

néerlandophones n'ont pas traduits ces termes – pourtant faciles de traduction – ils ont préféré dire que « la lettre G au milieu de l'étoile flamboyante est alfa et omega, début et fin, le grand secret, le plus haut que nous cherchons ». Il y a aussi les spéculations relatives à cette lettre dans différents alphabets: troisième lettre de l’alphabet grec, gamma figurant l’équerre (alors que l’équerre est déjà présente sous le pentagramme!), septième lettre de l’alphabet latin, ghimel de l’hébreu, iod hébraïque

Argent ... I Rappel sur la chrématistique d’Aristote II Spéculation sur les marchés III Application à la compréhension de la crise actuelle Présentation sur le thème de l’argent et plus particulièrement sur le principe sur lequel est fondé le système économique actuellement, à savoir la spéculation. Dans un premier temps, je reviendrai sur la différenciation aristotélicienne entre économique et chrématistique. Cette dernière est fondée sur une idée de profit, dont l’obtention se fait, dans

investisseur. Les points forts de la valeur Pour l’année 2012, il est prévu une augmentation des dividendes, et une hausse du rendement des actions. Ceci nous permet d’anticiper, dans le cas d’un investissement à long terme, et non d’une spéculation, les gains liés à l’action. En effet, plus les dividendes versés seront importants, plus l’investissement sera rentable. Dans cette optique, et avec un cours actuel très bas comparé au cours moyen des 5 dernières années, il est envisageable d’investir

M et md = M mesurent l’offre et la demande d’encaisses réelles. P P On suppose p fixe, ce qui permet de raisonner sur les encaisses nominales. Pour la demande, fonction keynésienne standard. 2 motifs de détention : transactions (croît avec Y ) et spéculation (décroit avec r) : md = l1 Y − l2 r 4 S D L’offre a été définie avant. La condition d’équilibre est donc : m + mr = l1 Y − l2 r ⇐⇒ Y = 1 (m + mr + l2 r) l1 Comme en éco ferme, LM est croissante dans le plan (Y, r). Une hausse de ms déplace

n'explique pas : le phénomène des bulles spéculatives. On présentera la finance comportementale comme une vision alternative du fonctionnement du marché avec la rationalité auto-référentielle. Puis on expliquera ce courant à travers le mimétisme et la spéculation. I-Présentation de la finance comportementale I-1- La finance comportementale La finance comportementale a été mise en avant par André Orléan dans les années 1980 en s'appuyant sur les Travaux de J.M Keynes dans la Théorie générale. La finance

a, sur le marché monétaire, une offre de monnaie qui ne varie pas. Ce sont les autorités monétaires qui décident de la quantité de monnaie mise en circulation. C’est la masse monétaire. On peut observer deux sortes de transaction : le motif de spéculation et le motif de transaction. La demande de monnaie correspond à l’utilisation de la partie non consommée du revenu, on peut utiliser ce revenu soit en thésaurisant, soit en l’épargnant. La demande de monnaie spéculative dépend du taux d’intérêt :

Crise du pouvoir d’achat, hausse du prix du pétrole… Nous sommes tous victimes quotidiennement de spéculation de la part des grands banquiers mais la plupart d’entre nous l’ignorent. Dans son ouvrage La face cachée des banques, écrit en octobre dernier, le journaliste investigateur Eric Laurent nous dévoile l’envers du décor du monde financier. Il dénonce «l’avidité silencieuse» des maîtres de l’économie, ces grands banquiers qui manipulent les politiciens comme un jeu d’enfants. Avec une écriture

pas le traitement de la crise justement ? Tout d’abord on peut remarquer des parallèles en terme de spéculation, panique boursière et contagion de l’économie réelle ; ensuite il faut noter les différences dues à l’évolution du cadre économique mondial et au traitement de la crise. I. De véritables parallèles peuvent être établis entre ces deux crises économiques majeures. A. Spéculation boursière et rôle du crédit Une frénésie spéculative, dans les années 1920 comme dans les années 2000